Syndicat national de l'édition phonographique

effet nous pouvons voir dans le Figaro une baisse conséquente du marché car la musique enregistrée a poursuivi son repli au 1er semestre 2012 avec un recul de 8 ,9 % sur un an, selon les chiffres rendus publics aujourd’hui par le Syndicat national de l’édition phonographique (SNEP). Les ventes physiques continuent à s’effondrer, avec un nouveau repli de 16.7% à 143.9 millions d’euros, ainsi les revenues issus du numérique (téléchargement, streaming…) ont progressé de 16.3% PARTIE 2 :

type de connexion permet à des millions d'internautes affiliés au même réseau de partager leurs fichiers stockés sur le disque dur de leur machine. _« Les gens qui téléchargent sont des terroristes » annonçait le président du syndicat national de l'édition phonographique. Surement parce que les maisons de disques ont tardé a développer l'offre légale de musique en ligne, la musique est la filière la plus touchée par le téléchargement illégal. Les majors ont donc tentés de recréer une rareté, non

(dominant dans certaines parties du globe) de produits de contrefaçon. Ces trois éléments organisent un système à géométrie variable produisant depuis 35 ans, de façon quasiment ininterrompue, des discours foisonnants sur la crise de l’industrie phonographique. Celle-ci touche, successivement ou simultanément, l’offre, la créativité artistique, la demande, les objets techniques, les circuits de distribution, etc.. La crise apparaît en quelque sorte comme une des composantes structurelles du secteur

distributeurs nationaux, comme Fnac. Comme la distribution se fait par Love Soul Productions, pour le début de l’activité, la vente d’albums physiques sur internet est une évidence pour compléter la vente numérique via son site mais aussi des plateformes de vente comme Amazon Market Place. 3. La diffusion médias Love Soul Productions souhaite promouvoir ses artistes grâce à des diffusions de leurs titres sur les radios régionales et nationales, mais aussi les clips sur les chaînes nationales et TNT

(Journal du net 2009) Les ventes de disques ont poursuivi leur chute l'an dernier. La filière place tous ses espoirs dans la loi Création et Internet prévue pour cette année. D'après les données provisoires du Syndicat national de l'édition phonographique (Snep), principal syndicat des producteurs, le marché du disque a chuté de 15 % en 2008, après être tombé de 17,4 % en 2007. Les ventes d'albums sur supports physiques, CD et DVD, s'effondrent pour leur part de 20 %. Quant au single, il a quasiment

semblerait que contrairement aux années précédentes, il ne serait plus en forte baisse mais en légère baisse (voire même stagnation selon certains). Nous allons tenter de comprendre pourquoi. I) II) LA DEMANDE D'après le Syndicat National de l'édition Phonographique (SNEP) et son rapport du 1er semestre 2010, voici l'évolution des ventes physiques: ⁃ d'albums: -2%par rapport à 2009 (169,8 M€) ⁃ de singles/titres: -3,8% par rapport à 2009 (2,5M€) Même si ces chiffres sont en légère baisse, ils

rouleau précédemment inventé par l'étasunien Thomas Edison, et est considéré comme l'ancêtre du vinyle. Le premier disque en vinyle est fabriqué et breveté par la société Columbia Records aux Etats-Unis (la plus connue et ancienne des entreprises phonographiques, aujourd'hui label de Sony Music Entertainment) en 1946 . Les premiers enregistrements sont des oeuvres de Tchaïkovski et Mendelsson et sont commercialisés à partir de 1948. RCA (autre grand label du disque) développera le single l'année suivante

indépendantes mais reliées par l’harmonie sont reconnaissables à l’écoute. Ou encore celle d’Ecosse avec ses musiques reconnaissables grâce à leur singularité créée avec des instruments spécifiques au pays comme la cornemuse par exemple. Même si l’instrument national est la harpe écossaise. L’Irlande elle, est représenté par deux styles de musique l’une qui rappelle les plaines verdoyantes et les vielles légendes du pays, ces musiques sont joués avec des instruments comme le violon la harpe ou la flute de pan

.............................................................................................. 9 b) Le producteur de disques....................................................................................................... 9 c) L’éditeur phonographique...................................................................................................... 9 e) Le distributeur (auprès des détaillants) ................................................................................ 9 f) Le détaillant

935,2 953 76,2 15 Nombre d'abonnements en haut débit 10 5 0 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 Année 77,2 88 Marché numérique Marché physique 819,2 Source: ARCEP 662 590 512 Source: Syndicat National de l'Edition Phonographique (SNEP) Comme nous pouvons le constater sur ce graphique, le marché de la musique fait face à une importante crise. En effet, les revenus de la musique ont diminué de 57,45% entre 2002 et 2010. Comme nous pouvons le voir sur ce