Synecdoque

Apodose con sacrée au peuple soumis  6 questions rhétoriques (début du discours)  Marquer la soumission du peuple au tyran.(b)  Inversion    Mots ou groupe de mots    Figures de styles  Anaphore des pronoms interrogatifs  Antithèses  Synecdoques    Parallélisme  Parallélisme qui s’inverse  Métaphore filée    Lexique  Champ lexical de la violence  Champ lexical de la débauche    Connotations péjoratives  Registre de langue courant  Vocabulaire concret  A partir de « vous meublez » à « la bride » 

remplacer un élément attendu par un autre « En avril, ne te découvre pas d’un Dim » Emphase Exagération à l’écrit Positive, élogieuse Néologisme Créer un nouveau mot = « mot valise » Ex : sport/formidable Sportmidable « on va fluncher » Synecdoque Désigner un tout par l’une de ses parties « Acheter un vison » = achetez un manteau fait en peau de vison Inversion Renverser l’ordre normal des mots « Cet hiver, la maille a la côte » Chiasme Construction en croix « Il y a de l’Urgo dans

syllabes. Rime léonine [oi-y-an-t] montre harmonie, cohérence. II L’évocation de la femme aimée a- Quasi absente du poème : - N’est pas destinataire directe - Pas d’éloge de sa beauté et pas d’évocation sauf « à ce bel œil » synecdoque. Œil= symbole coup de foudre, « vecteur » de l’amour. Adjectif laudatif « bel » mais 4 syllabes seulement ! b- Evoquée indirectement - Caractérisations personnifiantes de la nature décrivent peut-être la femme : blondoyantes, rousoyantes

miroirs jumeaux ». Par ailleurs, le deuxième quatrain est fondé sur la répétition du chiffre « deux » présentant deux êtres qui fonctionnent en paire et qui ne sont désignés que par deux pour montrer leur accord total « cœurs »/ « esprits ». Cette synecdoque montre une relation amoureuse et une passion platonique, montre un accord sentimental et une complémentarité des esprits. Les deux amants sont réunis dans une unité remarquable dans les tercets - Le poète utilise une opposition entre quatrains et

champs lexicaux La baignoire de la princesse de Guermantes - Marcel Proust Au Bonheur des dames – �mile Zola �TUDIER LES FIGURES DE STYLE Analyser les m�taphores Temp�te : Gros temps, la nuit - Victor Hugo Rep�rer les m�tonymies et synecdoques Futilit�s - Danielle Girard Figures d’insistance : anaphores, �num�rations, hyperboles La barricade de la rue Saint-Antoine -Victor Hugo Analyser une p�riode Suzanne au cin�ma - Marguerite Duras

la partie cache parfois le tout. Le processus de mise à la norme démocratique ne préjuge en rien d’une démocratisation du régime. Myriam Catusse et Frédéric Varel mettent en évidence, dans les actions du pouvoir marocain un effet de modèle et de synecdoque qui conduiraient à une démocratisation en kit Reprendre mot à mot les concepts et les notions développés par les organisations internationales en direction des pays en voie de développement crée un écran de fumée par son prestige talismanique quasi

Ressemblance établie par l’esprit (association d’idées) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents. 31) Stichomythie: Échanges verbaux rapides vifs en vers ou en paroles qui marquent une accélération dans le dialogue. 32) Synecdoque: Consiste à prendre le plus pour le moins, la partie pour le tout ou l’inverse comme “mettre les voiles” ou “quitter ces murs”. 33) L’écho: répétition d’une rime sur le vers suivant composé que d’un seul mot homophone. 34) Anadiplose: reprise du

un tableau sous nos yeux. C’est la France qui est peinte comme une femme, une mère de nourriciers, comme une femme protectrice qui aime ses deux enfants. Son attribut : « le sein », cette femme est décrite que par son sein (aspect nourricier) -> Synecdoque (partie pour le tout) -> vers 8, 4, 29, 32. Au départ, sa vocation est pacifique (« doux lait ») elle devait assurer la croissance (= économique) Mais c’est une mère qui souffre (dès le vers 1 « chargé », cause de son affliction, un fardeau

vous ai offert de me garder moyennant asile et nourriture. Si vous avez pas satisfaction, dites-le : la route est proche. De mon bord, si j’aime pas l’ordinaire, pas même le temps de changer de hardes et je pars. » (page 42), il est retrouvé une synecdoque au mot « ordinaire », pour lui attribué un sens plus large afin de représenté la vie habituelle des gens du pays, dont il ne peut s’y accrocher. Ensuite, cette liberté ressort par l’insouciance de l’avenir puisqu’il en décide au jour le jour. L’extrait

je méritais, vous l’avez emporté. Don Diègue. — Qui l’a gagné sur vous l’avait mieux mérité. Le comte. — Qui peut mieux l’exercer en est bien le plus digne. Don Diègue. — En être refusé n’en est pas un bon signe » (Le Cid, Corneille) | Une synecdoque | Remplacer un mot par un autre ayant une relation d’inclusion avec celui-ci (la partie pour le tout ou le tout pour la partie). Cas particulier de la métonymie | Acheter un vison = un manteau de vison |