Synecdoque

atroce attentat »(connotation du mot « attentat » par rapport au mot « crime » exacerbée par l'adjectif qualificatif « atroce »), • « , « l'auteur de ses jours « périphrase pour désigner le père dans le contexte « ".main meurtrière : synecdoque (La synecdoque (du grec συνεκδοχή / sunekdokhê, « compréhension simultanée ») est une métonymie (la partie pour le tout)particulière pour laquelle la relation entre le terme donné et le terme évoqué constitue une inclusion ou une dépendance, matérielle

métaphores positives, aux vers 15 et 16. La répétition de « plein de » insiste sur l’idée de profusion représentée de façon détournée, par un euphémisme sous la forme d’une griffure. L’expression « griffé d’un coup de feu » (v.17) est aussi une synecdoque, puisqu’un seul coup de feu symbolise toute la guerre. Le mot « mort » n’est pas prononcé : le verbe « tomber » est préféré au verbe « mourir ». Là encore, il s’agit d’un euphémisme. On remarquera toutefois que la versification met en relief ce

l’amour - Renversement étrange du temps : « filles de leurs filles » 2) Vision de l’amour et de la femme - Description de la femme comme dangereuse, toxique Dégradation de la beauté Envoûtement par les yeux mais mauvais Synecdoque : les « yeux » qualifient la femme toute entière ð // Cubisme - « vache » : image de la patience, de la lenteur ð l’amour se dégrade avec lenteur - « ma vie » : présence du temps - « enfants » : désir de retour à l’enfance

superlatifs variés. • Recherche lexicale : apologie, dithyrambe, épithalame, hymne, madrigal, panégyrique.   Séance 3.   Le blason Marot, Blason du beau tétin. • Définition du genre. • Procédés d'écriture : anaphore, apostrophe, synecdoque. • "Point langue" : les expansions du nom. • Écriture d'invention : Écrivez le blason d'une partie du corps humain en imitant le poème de Marot (anaphores, apostrophes, expansions du nom, rimes plates). • Élargissements : Ronsard

du meurtre -Résolution + hésitations -interrogations sur le choix de l'arme → souffrance intérieure, il est confronté (intérieurement) à lui même plus qu'à sa victime La victime : anonyme, présente à travers des éléments corporels seulement (synecdoque de « pied ») E) L'action Questions dès le début. -Focalisation interne (questions que se pose Tchen) -Ou focalisation externe (questions d'un narrateur qui refuse de voir ce qui va se passer) Les 2 questions initiales : ambiguité de l'ennoncé

l’étude : ‘ entra, suivi d’un nouveau’ (l.1). De plus à travers cette description péjorative, on retrouve un personnage bien plus que ridicule mais imbécile ; le personnage de Charles Bovary. Ce portrait péjorative est dresser notamment avec la synecdoque de la casquette de Charles Bovary : ‘ chapeau rond’ (l.22) + ‘bonnet’ (l.22) qui représentent la casquette et ‘habille en bourgeois’ (l.8) + ‘gars de la campagne’ (l.8) qui représentent Charles Bovary. Ici tout comme sa casquette, Charles essai

menace peut-être de se suicider au vers 18) ou un assassin envoyé par elle (ce qu’elle fera) ? La tonalité du passage : Lyrique, cette tirade décrit les sentiments d’Hermione prête à tout par amour. Le champ lexical de la passion s’y mêle à la synecdoque du coeur qui s’exprime ou qui s’absente vers l’être aimé. C’est une véritable déclaration d’amour. Élégiaque, elle présente une Hermione abattue, prête à accepter sa défaite et à mourir, soumise, résignée (v.16 : " achevez votre hymen, j’y consens

thèmes repris sans cesse dans ce recueil Un paysage-âme : le poème évoque un passage à l’intériorité d’abord saisi de l’extérieur mais les choses acquièrent progressivement une âme : les êtres de la première phrase évoqués par « masques verdeux » (Synecdoque : les êtres sont désignés par leur masque) + « bergamasque » évoque les danseurs + « jouant du luth » évoque des musiciens = les être sont évoqués par des silhouette. Les personnages n’ont pas l’air de croire à leur bonheur : la mélancolie sous-jacente

au silence. On a une gradation télépathique (« sentit, pénétra, devina la pensée nette »). Elle le perce à jour par le regard (« Tu es jaloux, toi. C’est honteux cela ») L’adverbe « soudain » marque la soudaineté de ce regard et sa brièveté. La synecdoque (« l’œil d e Mme Rosémilly » insiste sur la puissance de se regard « fixé » sur lui * L’absence de réaction de Jean : la fête est avant tout organisée en l’honneur de son héritage mais Jean ne prononce aucune parole dans cet extrait. Il est

texte. Il nous fait part de sa nervosité à se rapprocher d'elle, "j'étais un peu nerveux" (l.3) qu'on peut aussi assimiler à l'interêt particulier qu'il porte à cette femme. L'auteur nous fait aussi part de la fascination qu'il lui porte avec la synecdoque "et tes mains dessinaient un espace invisible" (l.5), comme si rien que ses mains seules étaient maître d'elles-mêmes. L'auteur nous explique aussi une sorte de liberté qu'il éprouvre lorsqu'il est avec elle "je pouvais bouger et déployais mon corps"