Synesthesie Serpent

sur le villageois et le serpent Jean de la Fontaine est poète du 17 eme siècle, il appartient au mouvement classique. Le texte que nous allons étudier est la   treizième fable du livre VI des Fables qui est situer dans le premier recueille de Jean de la Fontaine qui a était publié en 1668, Le villageois et le serpent illustre cette redoutable efficacité de l’apologue qui, au travers de la rencontre improbable d’un manant et d’un serpent ici, nous invite à réfléchir

ultra-rapide, les perroquets, les grandes frégates noires avec le jabot rougeoyant des mâles,etc… Les batraciens et reptiles comptent plusieurs espèces : grenouille ou gros crapaud (le “Chicken Mountain”), de nombreux lézards et des iguanes. Les serpents sont moins nombreux mais représentés par une variété très dangereuse tel que le trigonocéphale ou “fer de lance” à tête triangulaire. 
Dans les quelques variétés de mammifères, nous trouvons le Racoon ou raton-laveur et l’agoupi, un petit rongeur

de la jeune Méduse au sein même d’un temple Athénien. La déesse blessée dans son orgueil décida de se venger et transforma la jeune femme, en une affreuse créature dotée de défenses de sangliers, de mains de bronze, d’ailes en or et de serpents en guise de chevelure. La malédiction lui interdisait également de regarder quiconque à raison de le changer en pierre. Quelque temps plus tard, Persée , fils de Danaé et Zeus fit la promesse au roi Polydectèstès de lui rapporter la tête de Méduse

Vérification : 18 lapin = 18 têtes + 72 pattes 32 lapins = 32 têtes + 64 pattes On peut constater qu’il y a bien 50 têtes et 136 pattes Enigme : Une semaine = 7 jours Par jour, nous avons : un serpent, une souri et un scorpion en moins On prend x, comme variable un serpent On prend y, comme variable un les souri On prend z, comme variable un les scorpion 1 jour = -1x -1y -1z 7jour = -7x -7y -7z Pour que aucun animal ne soit présent au bout du 7eme jour, il nous faudrait

les joncs tout un Léviathan! Des écroulements d’eaux au milieu des bonaces Et les lointains vers les gouffres cataractant! Glaciers, soleils d’argent, flots nacreux, cieux de braises! Echouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés des punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums! J’aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d’or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et

détache du monde terrestre par sa capacité à voler, ce qui le distingue des rampants, à l'image des serpents (le plus souvent malfaisants) que l'on retrouve de par le monde (nâga, aspic, ...)[2]. Ces derniers s'opposent, au contraire, aux créatures aériennes, physiquement ou symboliquement : Horus dieu faucon fils de Rê l'adversaire d'Apophis le serpent, Garuda aigle géant combattant les serpents nâga, ... Ses représentations varient cependant énormément en fonction des civilisations. Symbole

qu’ils désignaient sous le nom d’Erinnys (vengeresse). Ensuite, ils en ont désigné trois : Alecto, Mégère et Tisiphone. Leur représentation physique s’est souvent faite de la manière suivante : un corps ailé surmonté d’une tête avec une chevelure de serpents. Les Furies, leur équivalent romain, n’ont pris place que dans la mythologie poétique, et non dans le culte des Romains. Chaque auteur se forge une image différente de celles des autres. Ainsi, on leur attribue différents liens de parenté et plusieurs

quotidienne), ou la tortue serpent qui correspondent tous aux quatres points cardinaux. voici une photos de ses quatres animaux et de leur symbole Le dragon est une créature qui vole dans le ciel et qui perce les nuages. Parmis ces quatres animaux, on peut certainement citer le cerf qui est le symbole de la richesse, longevité, prospérité et de bonheur. On peut aussi nommer la tigresse qui est le symbole de la protection. Le Ming-Jui (tigre) est l'animal de guerre. Les serpents sont associers à

dans les joncs tout un Léviathan ! Des écroulement d'eau au milieu des bonaces, Et les lointains vers les gouffres cataractant ! Glaciers, soleils d'argent, flots nacreux, cieux de braises ! Échouages hideux au fond des golfes bruns Où les serpents géants dévorés de punaises Choient, des arbres tordus, avec de noirs parfums ! J'aurais voulu montrer aux enfants ces dorades Du flot bleu, ces poissons d'or, ces poissons chantants. - Des écumes de fleurs ont bercé mes dérades Et d'ineffables

l’incendie, N’ont pas encor brodé de leurs plaisants dessins Le canevas banal de nos piteux destins, C’est que notre âme, hélas ! n’est pas assez hardie. Mais parmi les chacals, les panthères, les lices, Les singes, les scorpions, les vautours, les serpents, Les monstres glapissants, hurlants, grognants, rampants, Dans la ménagerie infâme de nos vices, Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde ! Quoiqu’il ne pousse ni grands gestes ni grands cris, Il ferait volontiers de la terre un débris