Synesthesie Serpent

musique en 3 mouvements : - ouverture très brève (phrase 1, vers 1) - développement central passionné (jusqu’au vers 13) - final très brutal, heurté, chaotique, sans verbe Encore une fois, Baudelaire nous montre l'importance qu'il donne à la synesthésie, ici c'est la sensation auditive qui est mise en avant, autrement dit : l'ouïe. Pour le poète écouter de la musique revient à faire un voyage. De plus ce poème se trouve dans la partie spleen ou idéal, la musique permet d'échapper au spleen et d'accéder

Spleen qui le fait sombrer dans cet état de désespoir qu'il essaiera d'exprimer à travers ses quatre poèmes intitulés Spleen. De plus il est à la recherche de l'illusion, la réalité, la laideur, l'intelligence et les synesthésies, d'un certain idéal en fin de compte. 2. Le serpent qui danse : Ce poème est composé de 9 strophes composé de quatrains de huit et cinq syllabes à rimes croisées. Notons également l’alternance des rimes féminines et masculines. Cette régularité de la strophe et du

Correspondance entre la nature et l’état du poète // romantisme B. La rêverie, le lieu où se créent les correspondances « circulent », « se mêlent » : mis en valeur, retardés par les relatives puis rejetés en début de vers ; évoque le mélange des sens, les synesthésies (correspondance des sens) Les différents sens : vue (« verts tamariniers »), odorat (« odeur »), ouïe, (« chants des mariniers ») toucher (ballottement de la « vague marine ») C. La rêverie comme source d’inspiration poétique Inspiration à double

SOMMAIRE Préface ………………………….p.2-3 L’Albatros………………………p.4 Correspondances………………..p.5 L’Idéal…………………………..p.6 Hymne à la Beauté…………...…p.7-8 Le Serpent qui danse………...….p.9-10 Le Balcon……………………..p.11-12 Le Mort Joyeux………………….p.13 Spleen « Quand le ciel bas et lourd »………………………..….p.14 PREFACE Victor Hugo : « Au reste, le domaine de la poésie est illimité. Sous le monde réel, il existe un monde idéal, qui se montre resplendissant à l’œil de ceux que des méditations graves ont

Cour a garder Definition : Pléiade, bucolique, suprématie, morose, exacerbé, synesthésies, utopie, incancatoire, luxueux, propice, tryptique, accrostiche Comme on voit sur la branche – Ronsard * Poète de la pleïade, sonnet écrit en 1578 * Un poème de circonstance et de deuil demandé par Henri II à la mort de sa maîtresse mais suite à la mort de Marie Dupin. * Ronsard lui dédie ce poème. * Mouvement littéraire : La Pleïade Pourquoi peut-on dire que ce poème est

le poète en fixe le décor "au-dessus" " par delà" ; lieu mystique, d'immensité profonde, de nature liquide. "Correspondances" : est la clef qui permet d'ouvrir la porte de ce monde originel (correspondance verticale où réside l'Ideal) grâce aux synesthésies. "V" : dans la solitude, le poète évoque ce monde antique "époques nues" où les corps beaux et "robustes" étaient représentés. "Les phares" : hommage rendu aux grands artistes qui nous font goûter l'autre lieu ( lire originel). Ces deux poèmes

Le serpent qui danse : Que j'aime voir, chère indolente,             De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante,             Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde             Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde             Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille             Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille             Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle             De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent      

Les serpents de mer sont des monstres aquatiques mythiques proches des dragons européens, qui possèdent généralement des dimensions gigantesques, tels Jörmungand et l'Ouroboros dans les mythes et légendes. Ils sont mentionnés dans les témoignages d'équipages marins de plusieurs époques, qui concordent pour décrire des animaux marins inconnus de grande taille vivant dans les eaux glacées du nord de l'Europe1. Le terme de serpent de mer peut toutefois désigner des créatures assez différentes les unes

mouvement de la mer. Ce poème se trouve dans le cycle de Jeanne Duval la maîtresse métisse de Baudelaire. Le poème suit « Parfum exotique » comme le voulait B. poème pour Jeanne Duval = Parfum exotique, Sed Non Satiata (Jamais rassasiée), le serpent qui danse, Le Chat, Duellum L'inspiration exotique, de l'ailleurs vient d'un voyage fait en 1841 à L'île Bourbon (=île Maurice). Forme du poème = 7 quintils en Alexandrin. = peu habituelle. Le poème témoigne de la puissance du rêve, l'imagination

par la suite tomber dans l’oubli. Deuxième question : Dans votre dossier, vous citez et recopiez 3 poèmes évoquant chacun une femme différente, vous expliquez pour chaque poème comment vous savez qu’il s’agit d’une femme particulière. Le serpent qui danse : Que j’aime voir, chère indolente, de ton corps si beau, Comme étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux acres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s’éveille