Synesthésie

chaleureux/Rivage heureux Sensualité , erotisme : des hommes et des femmes libres , nus. Le poéte est alangui dans un lieu clos : l'île est paresseuse. (hypalage) Cet hypalage suggére l'oisiveté du poéte et de sa belle. - La rêverie se déploie par les synesthésies. Vue : les rivages , le port , et les verts tamariniers. C) La rêverie aboutit à une extase spirituelle. Les perceptions sensorielles conduisent le poéte à une élévation spirituelle. L'âme du poéte est un creuset ou se mêle les élements et

poète doit donc renouveler et réinventer une nouvelle langue, en effet rimbaud nous dit dans la lettre à paul demeny « Cette langue sera de l’âme pour l’âme, résument tout, parfums, sons, couleurs. » (référence ?), riche en images sensorielles et synesthésies, succession d’images, de métaphores tentant d’approcher au plus près les visions, les sensations de ce qu’il rapporte de là-bas. Ainsi lorsque Rimbaud réinvente la langue, il ne respecte pas les impératifs esthétiques et moraux de l’époque.

Il y a une synesthésie (mélange des sens) qui est un jeu d’analogie entre les sens et une hyperbole de la vue et du touché. C’est une description vivante par les sens et avec Julien au milieu. « silence autour de lui

écriture spécifique qui valorise le pouvoir évocateur des mots par : 1. des effets stylistiques : figures de style, telles les antithèses, anaphores, répétition, accumulation, oxymore… 2. des effets ludiques : associations surprenantes de mots, synesthésie, jeux de mots. Pour que la poésie soit une véritable pensée musicale, « une hésitation prolongée entre /e son et /e sens « telle que la définit Paul Valéry dans Tel quel, il ne s'agit pas d'abuser de procédés scolarisés, mécanisés qui ne correspondraient

sont associées à des effets d’harmonie, le calme renvoie à la volupté, l’ordre à la beauté. Conclusion Nous voyons donc à travers cette poésie comment le pouvoir de la femme s’exprime à travers le poète par la correspondance des sens, synesthésies, et quel idéal d’évasion elle suscite. Nous ressentons à la lecture de cette poésie une impression de plénitude contrairement à la majorité des poésies du « spleen et idéal » qui reflètent le mal de vivre du poète . Les « miroirs profonds » évoqués

 35 – 40 °C  induit chez les gens de la mollesse. LANGUEUR : mollesse mais il ne fait pas forcément chaud (mollesse naturelle). Il y a 2 types de paresses : délicieuse et ……….. Couleur : < vert> Odeur : < parfum>, . Odeur  Parfum : synesthésie correspondance. Les correspondances de Baudelaire a permis de la faire connaitre dans le monde entier. < M’enflamme la narine >  Hyperbole odeur très forte, fonctionnement vitale.

plus connues, comme le fameux sonnet Correspondances. En effet, dans le premier quatrain des 2 poèmes, la forêt est associée à une cathédrale, à un temple. Mais Correspondances est surtout le poème dans lequel Baudelaire présente sa théorie des synesthésies, dont Obsession nous offre un magnifique exemple au vers 10 : Dont la lumière parle un langage connu ! Si on a étudié L’Albatros, on pourra aisément rappeler un autre thème très baudelairien, celui du poète maudit : l’adjectif apparaît à la

théâtraliser certains aspects de la vie . -« invitation au voyage » , Baudelaire s'adresse à la femme aimée et l'invite à un  voyage  particulier, à la fois réel et imaginaire mais aussi poétique à l’aide de la synesthésie qui domine le poème «  mon enfant , ma sœur , songe à la douceur » Synthèse : -Les fleurs du mal , est la quête d’un combat du poète contre son spleen , à travers différentes thématiques , ( les différentes sections du recueil ) , toucher

correspondances  : c'est une théorie héritée des romantiques qui postule la liaison symbolique des éléments visibles aux choses de l'infini (correspondance verticale) et la confusion harmonieuse des perceptions sensibles (la synesthésie) qui fonde l'unité du monde sensible (correspondance horizontale) cf «  Correspondances »L’influence de Gautier et du parnasse  : dédicace « au poète impeccable ». Le poète est un artisan

qui semble à présent apaisé. 3/ A mesure que la lumière se retire avec ses couleurs, l'oeil ne perçoit plus guère que du noir. Alors les autres sens, délivrés de la tyrannie de la vue, peuvent percevoir à leur tour d'autres sensations en synesthésies : "une fraîcheur obscure / dont on recueille le parfum rapide avant le jour" (v.39-40) (toucher, absence de vue, odorat). Remarquer le chiasme des sonorités [par /rap] au centre du vers. Le monde, décomposé dans un multiple infini durant le jour