Synode

l’habitude a été prise sur le plan religieux que l’évêque soit le juge ordinaire de son diocèse. En raison de la faiblesse du pouvoir laïque a la fin carolingienne, les tribunaux épiscopaux se sont développés (tribunaux synodaux) car rendue entoure de son synode. L’évêque se déplace avec ses auxiliaire et rend une justice itinérante. Les canonistes vont grâce a la redécouverte du droit romain élaborer des règles spécifique en matière de procédure. Grâce a ces technique procédurale, les justices ecclésiastiques

manne apportée par Dieu lors de la traversée du désert par les Hébreux (ne ramasser que ce dont on a besoin, ne pas faire de réserves) ont également été interprété comme des appels à la modération de la consommation. Pour l'Église catholique, le synode épiscopal qui a suivi Vatican II a déclaré que la cause philosophique de la société de consommation était un excès d'immanentisme, c'est-à-dire une forme de sensualisme porté exclusivement vers la vie matérielle[6]. Cette forme de matérialisme est

actrice principale, qui conduit cette mission que les évêques. La papauté est fragile, embourbée dans des affaires politiques. Elle est parfois instrumentalisée par l’empereur. Les vrais acteurs sont les évêques et les Eglises épiscopales, par des synodes et des conciles, réunis pour le choix des actions mais aussi pour la mise en application. Au sein de ces conciles, se fait place l’idée d’Isidore de Séville, au VII° siècle, auteur des « étymologies », (première encyclopédie). Il renforce l’idée

l’autre L’Eglise chrétienne qui est la seule à être véritablement organisée, elle est structurée, les évêques, qui ne sont pas isolés, se réunissent tous dans des assemblées générales, à peu près tout les deux ans, ces assemblées sont appelées « les synodes ». L’Eglise est en conflit ouvert avec les Burgondes et les Wisigoths, et il se trouve qu’à la fin du 5ième siècle, le roi Clovis, le roi des Francs, se converti au christianisme (en 496), il va ainsi sauver l’Eglise, l’aider à franchir un cap

leur rang et au VIII e siècle il en reste une douzaine. Leur pouvoir sont peu étendu, ils consistent à confirmer les eléctions épiscopales. Leur fonction se résume à consacrer les nouveaux élus, les nvx evêques. Ils ont pour fonction de présider les synodes. Des pouvoirs moindres. A cette époque on donne aux métropolitains le titre d'archevêque et ils recoivent une véritable juridiction sur les evêques de la province, ils sont les délégués du Saint siège, du pape. Ils vont donc recevoir un insigne spécial

| | |18° Dans les départements du Bas-Rhin, du Haut-Rhin et de la Moselle, l'évêque, le président du directoire de l'Eglise de la confession | | |d'Augsbourg d'Alsace et de Lorraine, le président du synode de l'Eglise réformée d'Alsace-Lorraine, le grand rabbin, le président de | | |consistoire israélite ; |

de Dieu. » (2 Corinthiens, VII, 19), car il n’y a plus « ni juifs, ni païens », mais un seul corps dans le Christ Jésus. Dans les siècles qui suivirent, les communautés juives chrétiennes, excommuniées par les autorités religieuses pharisiennes au synode de Jamnia (vers 90), se fondirent progressivement dans les autres communautés chrétiennes ou disparurent. Les autorités chrétiennes en vinrent progressivement à proscrire carrément la circoncision, même dans les familles chrétiennes d’origine juive

compétence du Pape - prendre des décrets. Nicolas II 1059, décide qu’à partir de cette date, l’évêque de Rome sera élu par les Cardinaux. - Les canons. => droits canonique. Décidé par les Conciles => Empire (réunion des métropolitains). (Synode => Diocèse = réunion représentants des églises). Assemblée non permanente qui va faciliter la prise du pouvoir su pape, qui intervient très peu. Ex : les derniers conciles sont ceux du Vatican I au 19ème siècle, et Vatican 2 dans les années 60. Fin

semblent pas s’en être souciés outre mesure. Les seules traces d’antagonisme sont indiquées par Sacchoni, qui assure que les écoles de Desenzano et de Concorezzo se seraient mutuellement condamnées. Tous les renseignements que l’on possède sur les synodes cathares, en particulier sur ceux qui se sont tenus dans le midi de la France, font principalement état de l’organisation des églises hérétiques. Il n’est jamais question de discussions sur des points de doctrine. La doctrine. – Nous ne saurions retracer

pouvoir, est perçue comme garantie contre le communisme et l’immoralité. - En 1933, a lieu un congrès des « Deutsche Christen », d’où sort un projet d’église unique ou « Reichskirche ». - Le 27 septembre 1933 un « Reichsbischof », est élu par un synode national pénétré par les nazis. Et ce « Reichsbischof » appartient au « Deutsche Christen ». - En septembre 1933, le pasteur Martin Niemöller, envoie à ses collègues 16 thèses contre les « Deutsche Christen » et constitue un groupe de défense des