Sébastien Japrisot L été Meurtrier

1 Un Long Dimanche de Fiançailles Fiche technique Film français Réalisateur : Jean-Pierre JEUNET Scénario et adaptation : Jean-Pierre JEUNET et Guillaume LAURANT Dialogues : Guillaume LAURANT D’après le roman de Sébastien JAPRISOT Musique originale : Angelo BADALAMENTI Genre : drame Durée : 2 h 14 Sortie : 2004 Principaux interprètes : Audrey TAUTOU (Mathilde), Gaspard ULLIEL (Manech), Dominique PINON (Sylvain), Ticky HOLGADO (Germain Pire), André DUSSOLLIER (Pierre-Marie Rouvières), Jean-Pierre

FIANCAILLE-SEBASTIEN JAPRISOTQUEL REGARD MATHILDE PORTE-T-ELLE SUR MANECH ? La guerre est l’aboutissement de la bêtise humaine. Elle enlève des vies, pas seulement par le biais de la mort, aussi par ses séquelles, physiques tout comme mentale. Dans les deux cas, cette monstruosité qu’est la guerre dont nous avons besoin, nous, l’espèce humaine pour obtenir la paix, brise des vies entières. Par exemple, pendant la première guerre mondiale, certains

Un long dimanche de fiancaille par Sebastien Japrisot 1) Introduction Dans ce travail d’analyse sur le roman : « Un long dimanche de fiançailles » nous ferons une analyse complète de ce livre écrit par Sébastien JAPRISOT. Nous avons pour but de trouver les caractéristiques du roman d’amour et de les développer. Nous commencerons donc par analyser le paratexte, la couverture, le résumé apéritif,… Ensuite nous analyserons la structure du texte c’est à dire l’intrigue, les personnages, le temps

Un long dimanche de fiançailles de Sébastien JAPRISOT 2) Analyse de la structure de texte 2.1) La C1  2.1.1) Le titre Un long dimanche de fiançailles, ce titre peut servir de piste de réflexion pour nous aider à comprendre l’histoire. Déjà nous pouvons voir fiançailles, ceci nous montre que ce livre est sûrement une histoire d’amour, ou s’en rapproche. Ensuite nous voyons long, cela peut vouloir dire que cette histoire sera longue. Déjà avec ce titre nous pouvons en déduire que

rendre fidèlement les effets de style, les descriptions ou les émotions ressenties par le lecteur. Dans certaines œuvres classiques, la mélodie des rimes, la musicalité des mots, peuvent être unique. Peau d’Âne, est un conte de Charles Perrault qui a été écrit en 1694. Dans ce conte nous pouvons remarquer des rimes croisées, « Peau d’Âne … frais ; » et des rimes plates, « Elle … moment ». Les rimes de ce conte sont enrichissantes et ont une parfaite mélodie, c’est pour cela que dans le téléfilm elles

de la Première Guerre mondiale lors de la période dite des tranchées… Les 20 premières pages ont d’abord été publiées en album sous le titre « Trou d’obus » en 1983. La première publication de l’album intégral sous le titre « C’était la Guerre des Tranchées date de 1993. La guerre est décrite d’un point de vue interne, avec ses habitudes, son quotidien, son langage, ses combats meurtriers. 4 II TECHNIQUES EMPLOYEES  Le dessin L’œuvre est entièrement réalisée en noir et blanc. La technique

peut nous aider à poser la bonne question, à formuler notre problème ; c’est son boulot. Sans cela, impossible de le résoudre. Il faut bien savoir poser nos questions : Ex. : « Une femme, atteinte du SIDA à cause de son mari qui avait préalablement été voir ailleurs, n’est pas contente. La personne lui répondant au téléphone lui demande si elle est en colère, façon de faire reconnaître à cette femme sa colère, pour qu’elle se calme ». Dans ce cas-là, la personne a posé la bonne question. Passer un

Plateau : plateau de Californie qui surplombe le village de Craonne. - les embusqués : hommes échappant au conflit. Opposition entre les civils protégés (civelots) et fantassins exposés (purotins) - rébellion : mutineries qui suivirent cet assaut meurtrier (500 condamnés à mort / 26 exécutés) - la mort omniprésente. - les sacrifiés : renvoie à l’idée de chair à canon. - les boches- habits militaires - baïonnette, grenade, masque- les tranchées, la terre, les talus - description des assauts - la mort-

. . . . . . . . . . . . . . Incantation d’Alice Hoffman . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Un long dimanche de fiançailles de Sébastien Japrisot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Œdipe roi d’après Sophocle de Didier Lamaison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

réel à distance pour l’interroger dans le contexte du début du xxe siècle. ■ Lire le projet réaliste Analysant le projet réaliste, Jacques Dubois1 a écrit : « On peut estimer à une centaine d’années la période pendant laquelle le roman français a été un extraordinaire instrument d’exploration du réel, de figuration du réel, de figuration de l’Histoire, d’analyse de la société. » Puis il précise qu’« il s’agira moins de dire le monde que de donner à voir une conscience en train de percevoir le