Séduction Dialogue Théatre

accepter votre corps, d’enlever certains complexes physiques et de diminuer votre timidité. Vous pouvez faire de la danse, du sport (de préférence de combat) du théâtre… vous avez un panel de choix très vaste, regardez, choisissez et débutez. Je vous conseille de faire un sport de combat pour le renforcement du mental ou du théâtre d’improvisation pour son aide à la communication et à l’expression des émotions cela va vous permettre de dépasser vos limites, essentiel pour la confiance. 15

qu'on retrouve toujours dans les réécritures de Dom Juan: - Héros séducteur - Groupe des femmes séduites - Statue du commandeur, moral, force transcendante, ombre de la mort. II- Place dans l'oeuvre de Molière 1. Créée le 15.02.1665 au théâtre du Palais Royal, exemplier 4. Très grand succès, Molière joue Sganarelle. Mais le parti Dévot( croyant) est contre la pièce et reproche que la morale soit dite par un valet. Peut de temps après la querelle de Tartuffe, considéré comme un faux dévot

le voir dans cette scène le rôle de thérapeute « nous entreprenons de vous guérir » dit-il dans la scène 2. Sa fonction est donc de résoudre le conflit qui oppose maître et esclave, par le jeu (inversion des rôles, travestissement) et la parole = théâtre libérateur. Ce portrait constitue donc une épreuve pour les 2 acteurs principaux: C et E et sa fonction est définie plus haut. Le double but de ce portrait satirique: - Permettre à la servante en exprimant sa colère par la parole de sa libérer: (A

amour véritable dont s'offense la Merteuil qui le met au défi de rompre. Se sentant pris d'un regain de convoitise pour la comtesse, il abandonne la présidente qui en meurt de chagrin. La Merteuil peut alors se venger de lui en révélant à Danceny la séduction dont a été victime Cécile. Le chevalier, se transformant en vengeur de la morale, tue Valmont en duel. Cécile entre au couvent. La Merteuil, ruinée et défigurée par la variole, réprouvée par toute la bonne société, s'exile en Hollande. Analyse

contradictions et les affirmations péremptoires du compte jouisseur, révélées par la comtesse, suffisent à comprendre la logique de celui-là. Le comte expose une conception de l’amour essentiellement fondée sur le plaisir et la nouveauté c’est-à-dire une séduction passagère plutôt que durable. La conception de l’amour révélée par le comte est donc une conception de grand seigneur, libertine et considérant avant tout la femme comme un plaisir. Le bonheur selon le comte est associée à la jouissance et notamment

avouer que "le Pelican" n' arrive plus, de nos jours à nous donner une idée exacte et de Musset et de son oeuvre. Par contre, le théâtre de Musset a été, pedant très longtemps, oublié et consideré comme la partie la moins importante de son oeuvre. Aujour d'hui, nous étudions l'oeuvre et son auteur sous une optique totalement changée et, c'est dans cette mesure, que le théâtre de Musset nous interesse, comme le témoignage de Musset sur lui-même et sur siècle, en même temps, qu'il nous frappe par l'extraordinaire

a) Différences de réception selon les genres Les quatre textes se distinguent d’abord en deux textes de théâtre (texte 1 de Tirso de Molina et texte 2 de Molière), un texte d’opéra-bouffe (texte 3 de Mozart-Da Ponte) et un texte poétique (texte 4 de Baudelaire). Premier partage des genres : les deux premiers textes sont destinés à être dits et interprétés – et reçus par un public de théâtre - ; le troisième texte est destiné à être dit et chanté – et reçu par un public d’opéra - ; le quatrième texte

construire un dialogue fictionnel (l. 106-123). Cette prudence ne l’empêche pas de faire preuve de franchise dans ses reproches : « se jouer ainsi d’un mystère sacré » (l. 98), « les libertins ne font jamais une bonne fin » (l. 102-103), « le Ciel punit tôt ou tard les impies » (l. 122). D’ailleurs, la transposition fictionnelle qu’il met en place pour se protéger est tellement transparente qu’elle fait sourire. b. Pour faire entendre ses reproches, Sganarelle se livre à un véritable jeu de séduction. Relevez

récit, l’apologue court cependant le risque de manquer son objectif, et d’obscurcir son propos. A ce défaut possible, s’ajoutent d’autres faiblesses qui apparaissent quand on le compare aux autres genres argumentatifs comme le traité, l’essai, ou le dialogue. Nous verrons ainsi en première partie les qualités de l’apologue, qui font de lui une forme d’argumentation particulièrement efficace, puis nous montrerons en seconde partie qu’il court cependant le risque d’être ambigu. Enfin dans une troisième

récit, l’apologue court cependant le risque de manquer son objectif, et d’obscurcir son propos. A ce défaut possible, s’ajoutent d’autres faiblesses qui apparaissent quand on le compare aux autres genres argumentatifs comme le traité, l’essai, ou le dialogue. Nous verrons ainsi en première partie les qualités de l’apologue, qui font de lui une forme d’argumentation particulièrement efficace, puis nous montrerons en seconde partie qu’il court cependant le risque d’être ambigu. Enfin dans une troisième