Séduction Dialogue Théatre

happy end à proprement dit, car au final tout le monde reste à sa place initiale. La fille du maître n'épouse pas le valet, le maître reste un puissant, peu agréable durant ces épisodes de sobriété. . Brecht reprend un motif largement exploité au théâtre : celui de la relation maître/valet. Toutefois, il en complexifie la trame, puisque maître Puntila n’est pas « un » mais « deux » : prévenant lorsque l’alcool irrigue ses veines, il devient un maître odieux dès qu’il est à jeun. Quand au valet Matti

Rênal vit de loin un paysan, homme de près de six pieds, qui, dès le petit jour, semblait fort occupé à mesurer des pièces de bois disposées le long du Doubs, sur le chemin de halage. » 3. Dialogues. Il y a trois interventions au discours direct prononcées par le père Sorel. Mais on ne peut réellement parler de dialogue puisque à ces exhortations (les trois interventions contiennent des impératifs) ne correspond aucune réponse de son interlocuteur Julien. Le seul discours de Julien est une réflexion (monologue

à l’étude se compose d’une tragédie Bérénice, de Jean Racine (1670), de deux comédies de Molière, Le Malade imaginaire, une comédie-ballet plus précisément, représentée en 1673, et de Dom Juan ou le festin de pierre, (1665) ; ces trois pièces de théâtre offrent donc une synchronie, ayant été écrite au siècle dit « classique ». La troisième, quant à elle, se nomme drame romantique, dans la mesure où Victor Hugo en composant sa pièce en 1838, entend rompre avec les règles classiques édictées par Nicolas

*Délibérer : C’est discuter sur un point précis en cherchant les avantages et les inconvénients d’une proposition, peser le pour et les contre. -Enjeux du discours argumentatifs : parvenir à faire changer d’opinion son interlocuteur par le dialogue et la « séduction ». -Les différents types d’arguments : *L’autorité (religieuse, politique, morale, littéraire…) *La logique (analogie, relation causale, définitions) *Les valeurs morales -La valorisation des arguments : *Le développement et le

liaisons Dangereuses est un roman épistolaire, écrit en 1982, par Choderlos de Laclos. Il s’insère dans la société du 18ème, ou les anciens amants libertins, la Marquise de Merteuil et le Vicomte de Valmont, se livrent à une histoire de pouvoir, de séduction, de manipulation et d’apparence. A travers cette intrigue, les deux sexes se jettent dans une bataille sans merci, sans aucune pitié pour leurs victimes, la jeune Cécile de Volanges et la chaste et pieuse Présidente de Tourvel. Constitué de 175

précisément le Valmont de papier et celui sur pellicule : 2°UNE DIMENSION DE COMÉDIE SOULIGNÉE dans le film : certes il y a du théâtre dans le roman, du théâtre théorisé comme fait social (théâtre du monde), des leçons de comédie, des personnages comédiens et metteurs en scène ( cf mon cours) mais par le choix d’un spectacle Frears a été tenu de montrer le théâtre à l’œuvre ( dès le générique et jusqu’au démaquillage de la fin-à vous) et non théorisé ou raconté de l’intérieur par Mt comme avec

Introduction: La Loreley et un poème du cycle Rhénans écrit en 1902 par apollinaire (1880-1918) âgé de 38 ans puis publié en 1904 Ce sont des rimes suivies en alexandrins, structure de la chanson de toile médiévale, bref récit entrecoupé de dialogues. 19 distiques, thème de la puissance maléfique de l’amour qui conduit à la mort Reprise de la légende d’une femme qui séduisait les bateliers et leurs bateaux se brisaient sur les rochers. Lorelei vient de l’allemand: - « lüren » : épier

démonstratif et la situation animalière réduite au minimum. 2) Donc il y a d’autres aspects de la fable qui peuvent séduire. a) Le plaisir de la situation. Avec La Fontaine on a de véritables petites pièces de théâtre qui mettent en scène une intrigue, des personnages, des actions, des dialogues qui nous charment. En une vingtaine de vers le fabuliste nous décrit, tout en opposition, les deux personnages de Le Curé et le Mort, on suit les pensées guillerettes du curé qui accompagne le mort et on assiste

les choses avec des dehors attirants ou repoussants selon l’effet que l’on veut produire. Pat exemple, quand Roméo et Juliette veulent s’embrasser, ce n’est qu’en apparence qu’ils convoquent de bonnes raisons de le faire mais dans le jeu de la séduction, ils se persuadent l’un l’autre qu’ils ne font rien de mal, mais que leurs embrassades même sont plus sacrées que la religion. Pour reprendre une formule de Blaise Pascal, on dira que « l’amour a ses raisons que la raison ignore ». L’amour comme

• Le succès des apologues, le plus souvent plaisants, confirme le pouvoir de séduction et de persuasion de l’humour. C’est ce qu’avait bien compris Voltaire qui, dans ses contes philosophiques, aborde sur le mode plaisant, en les agrémentant de péripéties rocambolesques, des sujets comme l’esclavage ou la tyrannie. Ainsi, il compose un dialogue plein de vivacité et d’ironie pour parler de l’inégalité homme-femme, dialogue mené par une maréchale pétulante. 3. Le rire « fait passer » la critique