Séraphin Poudrier

accorde [G5] pas une importance capitale et se concentre uniquement sur ses propres besoins. Ensuite, Séraphin Poudrier dans l’extrait de l’œuvre « Un homme et son pêché » adopte une attitude inadéquate face à son épouse : étant excessivement avare, il refuse de « (…) payer une grand’messe pour l’âme de sa défunte.» (ligne 5) dans le but d’économiser. De part ce geste réprimandable, Séraphin priorise son amour pour l’argent par rapport au devoir qu’il avait de souligner le départ vers l’au-delà

l’attachement à la terre héritée des ancêtres est remarquable dans le roman Un homme et son péché. Ce n’est pas Séraphin, c’est-à-dire le personnage principal, mais plutôt son cousin, Alexis qui est préoccupé par ce thème. Alexis habite et cultive les mêmes terres depuis trois générations. Dans l’extrait suivant, il y a une comparaison entre Alexis et une «bête», qui définit le cousin de Séraphin comme un travailleur acharné : «Père de huit enfants, c’était un paysan par atavisme, travaillant comme une

nord du Québec vers la fin du dix-neuvième siècle. Le personnage principal, Séraphin Poudrier, est un cultivateur qui fait des prêts au gens du village lorsqu’ils l’ont besoin. Il est avare, donc ses prêts ont un intérêt très élevé. Donalda Laloge, est une jeune femme ménagère à qui Séraphin s’est marié avec l’impression qu’il pourrait en tirer de l’argent. Le mariage entre Donalda et Séraphin s’est fait à cause que Séraphin avait prêté de l’argent au père de Donalda et demanda de marier sa fille en

Claude-Henri, 1933,Un homme et son péché, Montréal : Stanké,, 215p Séraphin Poudrier est un viel avare marié avec Donalda Laloge, une belle et jeune femme qu'il a épousé en échange d'un prêt qu'il a accordé au père de Donalda. Pour Séraphin, Donalda n'est qu'un esclave, une bonne pour nettoyer la maison et l'entretenir la terre. Sa spécialité est de frotter les planchers au point qu'il brille comme de l'or, ce que Séraphin adore. Séraphin n'éprouve pas de sentiment pour Donalda et refuse de céder à la

œuvres vivent pareillement dans le vice , leurs actions n’ont pas la même importance . Cependant, c’est surtout dans l’impact sur leur entourage que le mépris suscité par Séraphin Poudrier se démarque de celui qu’inspire le frère de la Scouine. En effet, l’acte sexuel de Charlot et de l’Irlandaise ne concerne et n’influence personne d’autre. Ils sont enveloppés de « ténèbres profondes, épaisses comme celles qui durent exister

Certains gens sont très dégoutants et ils ne repectent pas l'église. La personne le plus dégoutant de toute la communauté c'est Séraphin Poudrier. Séraphin est usurier du village et plusieurs personnes lui doit de l'argent, comme M. Laloge. Puisqu'il ne peut pas repayer tout l'argent à Séraphin, il doit lui donner la main de sa fille, Donalda. Elle se mari avec Séraphin pour que son père ne soit plus en dettes et depuis qu'elle se mari elle est très malheureuse. Elle travaille fort et se fait abuser

l’avarice dont est atteint séraphin est un peu plus discret. Celui-ci ne vas pas extirper de l’argent de sa famille directement, mais plutôt à leur dépend. ‘’Séraphin, assis près de la table, pensait à demain, à l’argent qu’il, économiserait, aux profits qu’il réaliserait, à tous les marchés possible et imaginable. Il en jouissait intérieurement.’’ Malheureusement, les personnes qui l’entourent ne peuvent pas voir cette partie de lui, car il se parle dans sa tête. Séraphin qui est débordé par son

première met en scène Séraphin dans son rôle d’usurier. En 1890, dans une paroisse du comté de Terrebonne, Séraphin Poudrier mène la vie dure aux habitants des environs. Un jour se présente chez lui un certain Lemont, un fermier qui s’est fait prendre dans une affaire de mœurs. Il aurait été surpris avec une jeune fille de 16 ans, reconnue pour aguicher les hommes, lui un homme marié, père de famille. Pour garder le silence, les parents de la jeune fille lui réclament 100$. Séraphin finit par les lui

beaucoup d’enfant» (l. 38-39). Cet extrait démontre bien qu’un événement heureux va se produire bientôt. Tandis que dans l’extrait du roman Un homme et son péché, la cause de l’intervention du prêtre demeure douloureuse puisque Donalda, l’épouse de Séraphin Poudrier, est au seuil de la mort et reçoit la visite du curé du village, l’abbé Raudin. On peut ressentir l’ambiance désolante qui régnait : «Bertine regardait Donalda avec une désolation telle, que le prêtre ne put retenir une larme qui coula lentement

au contraire, Donalda l’a surmonte et persévère tout au long de son devoir à la maison. De plus, on peut voir l’idéal féminin lorsqu’on perçoit son amour pour les enfants. L’auteur peint les désirs profonds de cette dernière lorsqu’il écrit « […] Séraphin la posséda brutalement, mais refusa net de lui faire un fils qu’elle désirait avec tant d’amour de par hérédité la plus lointaine» (l.54-55), où l’on peut comprendre que Donalda, n’ayant point l’espérance de devenir mère, possède quand même l’amour