T. S. Eliot

classical idiom, not the standard repertory of the past. Since then, the American ballet scene has been a mix of classic revivals and original works, choreographed by such talented former dancers as Jerome Robbins (1918-1998), Robert Joffrey (1930-1988), Eliot Feld (1942- ), Arthur Mitchell (1934- ), and Mikhail Baryshnikov (1948- ). ARCHITECTURE America's unmistakable contribution to architecture has been the skyscraper, whose bold, thrusting lines have made it the symbol of capitalist energy. Made

poids, de sa valeur ou de sa contribution pour l’entreprise. Touts ces postes sont aussi successivement considérés l’un par rapport à l’autre et rangé selon un classement assez intuitif reposant sur une hiérarchie implicite des postes - la méthode Eliott Jacques : ici tous les postes sont évalués à partir du degré d’autonomie d’un titulaire vis-à-vis de son supérieur hiérarchique. Ce degré d’autonomie est évalué comme le délai maximum qui peut s’écouler avant que le chef hiérarchique ne s’aperçoive

s'appliquer à des pans entiers de la littérature du XXe siècle, à nombre d'auteurs, et à bien des variantes de la critique moderne hors des références au sublime. On pourrait tout autant lire ici une mise en perspective des thèses de Lukács, de T.S. Eliot, et des analyses de Massimo Cacciardi sur Kafka[19]. Il y a plus intérêt à voir ce qu'implique un tel constat d'impuissance de la littérature qu'à en mesurer la pertinence, et à ainsi caractériser en quoi consiste l'utilisation de la référence

(Etats-Unis). Avec Michael Redgrave (Thomas Fowler), Audie Murphy (Alden Pyle), Giorgia Moll (Phuong), Claude Dauphin (inspecteur Vigot), Bruce Cabot (Bill Granger), Fred Sadoff (Dominguez), Kerima (la sœur de Phuong), Richard Loo (M. Heng), Peter Trent (Eliot Wilkins), Clinton Anderson (Joe Morton), Georges Bréhat (le colonel français), Yoko Tani, Nguyen Long, C. Long Cuong, Tu An, Sonia Mauser, Vo Doan Chau, Le Van Le et Le Quyhn. Remake en 2003 par Philip Noyce sous le titre The Quiet American (Un Américain

27. Deguy, Michel : 7. De Kooning, Willem : 225, 297, 327. Delaunay, Sonia : 328. Deleuze, Gilles : 28, 270. Dickinson, Emily : 106, 179, 311, 321, 333, 363. Didi-Huberman, Georges : 53, 289, 300, 317. Durand, Gilbert : 126. Dürer, Albrecht : 113. Eliot, T. S. : 106, 286, 310, 311, 326. Emmanuel, Pierre : 172. Ernst, Max : 324. Faunce, Sarah : 288. Fédida, Pierre : 29, 39, 301. Fontana, Lucio : 219. François d’Assise : 187-188. Frost, Robert : 86. Gallet, René : 265. Gibson, Eric : 255. Gombrich,

l'avant-garde au cours de la Première Guerre mondiale (Chaplin, Eisenstein, René Clair, Jean Renoir, Marcel Carné, Fritz Lang), de même que le jazz. En littérature, les convictions réactionnaires étaient assez répandues en Europe occidentale (TS Eliot, DH Lawrence, L-F Céline). Le reportage et l'appareil photographique connurent après 1914 un âge d'or. A la fin des années 30, alors que le monde s'enfonçait dans la crise, jamais les spectateurs ne furent aussi nombreux à se rendre au cinéma. A

années 2010[modifier] Année Film Réalisateur(s) Casting 2010 30 Jours de Nuit: Jours Sombres Ben Ketai Mia Kirshner (Lilith), Kiele Sanchez (Stella Oleson) After.Life Agnieszka Wojtowicz-Vosloo Christina Ricci (Anna Taylor), Liam Neeson (Eliot Deacon) Black Death Christopher Smith Sean Bean (Ulric), Eddie Redmayne (Osmund) Butcher II Adam Green Kane Hodder (Victor Crowley), Danielle Harris (Marybeth Dunston), Tony Todd (Reverend Zombie) Captifs Yann Gozlan Zoé Félix (Carole), Éric

la critique biographique : pour eux, les poètes et les hommes de lettres ne sont pas l'objet de l'étude littéraire, mais la poésie et la littérature, ou encore la littérarité, suivant une proposition fondamentale très répandue au xxe siècle. T. S. Eliot jugeait ainsi que la poésie est « non l'expression d'une personnalité, mais une évasion de la personnalité » (« not the expression of a personality, but an escape from personality »). Les New Critics américains de l'entre-deux-guerres, qui voyaient

— Martin Esslin, Théâtre de l’absurde (Theater of the Absurd, 1962), traduit de l’anglais par Marguerite Buchet, Francine Del Pierre. [Paris], Éditions Buchet-Chastel, 1971, 1992, 464 p., 21.34 €. — Michael Edwards, Éloge de l’attente. T. S. Eliot et Samuel Beckett, traduit de l’anglais. [Paris], Éditions Belin, « L’Extrême contemporain », 1996, 128 p., 16.80 €. — Michael Edwards, Samuel Beckett, ou Le don des langues. [Paris], Éditions Espaces 34, « Espace international », 1998, 48 p., 4

l’intrusion de l’histoire et sa conséquence fut d’inaugurer dans l’intimité de tout Indien l’ère de l’ambivalence, la conscience du doute, le désert, le champ de ruines. Mais un désert très différent du sentiment de « champ de ruines » exprimé par Eliot quand il se décrit debout dans les décombres de la civilisation. Car pour moi en tant qu’Indien, l’histoire n’a pas tant ruiné ma civilisation qu’elle m’a inculqué le sentiment de la ruine en moi. Comme je n’avais jamais pu voir ma propre culture de