Tableaux D Orphée

d'abord bâclés, puis supprimés ; transport des cadavres dans des tramways, vers des crématoires en dehors de la ville. 2. La mort • La maladie est généralement suivie de mort. Celle-ci est décrite en tableaux poignants, qui vont crescendo : celle du concierge, puis celle du chanteur (qui joue Orphée). À l'épisode révoltant de la mort d'un enfant succède celle d'un prêtre puis celle de Jean Tarrou, l'un des principaux personnages. 3. La séparation, l'exil et la solitude • La ville pestiférée est

meurt par la morsure d’un serpent. Prisonnière du royaume des morts, Orphée descend aux Enfers pour tenter de la ramener avec lui, mais à condition qu’il ne se retourne pas pour la regarder. N’ayant pas pu résister, Orphée perd à jamais Eurydice. Dans la version de Marcel Camus, Eurydice, jeune fille timide et innocente, tente de fuir la mort et trouve refuge chez sa cousine Serafina à Rio de Janeiro. Elle rencontre alors Orphée, conducteur de tramway dont on admire les talents de danseur et guitariste

silhouettes. La tendance classique de la peinture française se manifeste plus tard et son premier représantant est Nicolas Poussin. Poussin distribue au contraire la lumière dans ses tableaux de manière égale, à la façon des peintures de la Renaissance. Ses oeuvres religieuses ou mythologiques, comme Orphée et Eurydice, dans les quelles le paysage d’Italie aquièrent pas moments une puissance remarquable. Toutefois c’est dans le portrait que le Classicisme français s’exprime le mieux. Philippe

dues à une défaite totale des allemands, on y trouve bcp de pessimisme (plus de désespoir, dégoût, angoisse...). La culpabilité et l'agonie sont supports d'expressionnisme. Le corps est né pour se désarticuler. La violente expressivité de certains tableaux rends compte de désorganisation de société. Le but de ce courant est d'en finir par violence, s'il faut, avec la langue des maîtres, des arts, des armes et des lois et de couper le cordon avec la mère. Après 1945, défaite de l'Allemagne, il n'est

Sommaire Introduction I- Au-delà de la trivialité du récit, que nous racontent les mythes grecs ? a) Prométhée ou le mythe de l’humanité b) Oedipe et Antigone, le destin de l’homme c) Orphée ou la création artistique II- A quoi servaient les mythes grecs ? a) Fonction sociale b) Fonction politique c) Fonction psychologique et religieuse III- En quoi les mythes grecs nous concernent-ils ? a) Un répertoire d’images b) Une

(Entendre/Pimandre). Conclusion : En étudiant le texte nous pouvons conclure que le poète mêle tradition et modernité dans sa réécriture. Orphée n’est qu’un prétexte pour parler de sa revendication personnel de la poésie. Un travail sur la simplicité et la liberté. Le personnage d’Orphée est joyeux et chanteur contrairement à l’image que donne les tableaux de Alexandre Séon et Gustave Moreau.

plastiques, rappellent la peinture. Dans ses der- niers raffinements, le cinéma muet finissant mettait en scène des sortes de tableaux uniquement visuels. C’est ainsi que Cari Dreyer réalisa les images de son film la Passion de Jeanne d’Arc. Il utilisa largement l’immobilité et exprima le drame par de gros plans statiques de visages dont certains rappellent les tableaux flamands. La peinture est présente au cinéma de façon plus directe avec l’intervention de peintres, de dessinateurs, d’illustrateurs

Séance 6 : Histoire des arts Peinture et photographie : donner un cadre au réel Exemple des frères Caillebotte (Gustave et Martial) : mise en évidence du point de vue et du cadrage qui définissent les deux écritures artistiques, « tableaux parisiens » à rapprocher de Baudelaire et de l’écriture de la modernité. Séance 7 : Évaluation, production écrite Commentaire texte et tableau à organiser autour de deux axes d’analyse : représentation et interprétation du réel. Séquence

mythologiques. Il réalise plusieurs œuvres célèbres comme « Œdipe et le Sphinx » (1864), « Orphée » (1865), « Jason et Médée » (1865) et une peinture à l’aquarelle représentant l’allégorie de la mort: « Le jeune Homme et la Mort » qui est datée vers 1881. Ses œuvres sont connues pour représenter les personnages mythologiques grecs de façon moderne, il réadapte alors à sa façon les personnages comme Médée ou encore Orphée. Ses techniques sont principalement de la peinture à l’aquarelle mais il utilise

demeure tension vers le sacré, le « mystère » de la vie, dans une œuvre qui reste pour Mallarmé « musicienne du silence ». C’est peut-être pourquoi « les mots se lèvent avant leurs sens » pour René Char, chargés des mystères (divins ?) dont seul Orphée, le « rêveur sacré » a le secret… (cf. Cocteau et l’importance du rêve et de l’inconscient pour les poètes surréalistes ; Jean-Baptiste Pontalis, Le Dormeur éveillé). « J’ai seul la clé de cette parade sauvage », « Parade », Illuminations, Rimbaud