Tablette d'argile

communication. Les médias sont des dispositifs techniques permettant aux hommes de transmettre l’expression de leur pensée, leur percée prend donc place dans l’histoire des techniques, de plus en plus perfectionnées, depuis le premier signe gravé sur une tablette jusqu’aux réseaux informatiques du XXe siècle. La pierre, l’argile et la peau furent les premiers supports de l’écriture, remplacés par le papier lorsque l’imprimerie permit aux livres de se diffuser en masse et au savoir d’être compilé dans les

citoyens à utiliser des jetons en argile (calculi) de différentes formes pour dénombrer des objets lors des transactions commerciales. Les calculi, à l'origine simples formes coniques, devinrent plus complexes, décorés, et insérés dans des enveloppes d'argile séchée. Ce procédé était destiné à vérifier la justesse des transactions12. Ainsi, si une personne A doit envoyer six chèvres à une personne B, elle confie les six chèvres à un intermédiaire avec une enveloppe contenant six calculi. À l'arrivée,

apparaît : le système sexagésimal. Pendant près de deux mille ans, les mathématiques vont se développer dans la région de Sumer, Akkad puis Babylone. Les tablettes datant de cette période sont constituées de tables numériques et de modes d'emploi. C'est ainsi qu'à Nippur (à une centaine de kilomètres de Bagdad), ont été découvertes au XIXe siècle des tablettes scolaires datant de l'époque paléo-Babylonienne (2000 av. J.-C.)[2] . On sait donc qu'ils connaissaient les quatre opérations mais se sont lancés

Apres plusieurs fouilles l’archéologue Heinrich Schliemann pense avoir découvert la ville des récits Homériques (détruite vers 1250 av J-C). Elle est organisée de riches palais ainsi que de villes fortifiées entourées de murs (cyclopéens). Des tablettes d’argile rédigées en en lineaire.B (ancienne langue grec déchiffré en 1952 confirmant ainsi le caractère grec de cette civilisation). Sa disparition reste mystérieuse néanmoins elle est située au XII siècles ce qui nous permet de faire un rapprochement

écrites ne nous sont parvenues qu’au bout de quelques décennies ; d’autant que ce que l’on sait, c’est qu’à la différence des livres définitifs, les brouillons d’auteurs étaient mis sur des supports effaçables et réutilisables à merci (c’était une tablette enduite de suie). Dans des textes en langues vulgaires, il faut savoir que les livres dont on dispose sont des livres en latin, pour la plupart religieux avec les moines ayant sur place dans les monastères avaient des ateliers d’écriture. Il faut

croyances qu'ils ont choisis. APPARITION DE L'ECRITURE: la plupard des element des hyrogliphes sont associer à des concepts, à des objets oudes sons. L'écritures cuniforme apparait ds l'euphrate. La langue était monosyllabique. Les premier tablettes d'argile que ns avons sont des livres comptables. Les acadiens ont une langue syllabique (PIRA). Ils construisent l'écriture à part entière. 3500 ans avant JC ils écrivent une quantité d'histoires. L'épopée du roi D'urouk qui cherche l'immortalité

l'heure actuelle comme étant la plus ancienne de l'humanité. Plusieurs versions ont été rédigées à travers le temps, la première remontant à la Babylonie du XVIIIe ou XVIIe siècle avant JC. Le récit est composé de cunéiformes inscrits sur des tablettes d'argile, et il s'inspire de plusieurs récits. Ces récits mythiques ont pour personnage principal Gilgamesh, demi-dieu et roi de la Grande Ourouk, antique cité mésopotamienne. Il est puissant mais cruel et opprime son peuple. Pour le punir, les dieux

d’Hammurabi (XVIIIème siècle avant notre ère). Il est difficile de dater les événements car les Mésopotamiens ne datent pas les événements à l’aide de valeur numérique mais par rapport à d’autres événements. Les Mésopotamiens écrivaient sur des tablettes d’argile, qui est un matériau : pas cher, non réutilisable donc chaque exemplaire peut être conservé sans risquer qu’il soit remplacé par un autre, facilement cassable mais résistant aux intempéries et à l’usure du temps. Les actes juridiques étaient

grands mystères pour beaucoup d'entre nous ; mais qui sont sans doute la clef de notre passé, notre présent et notre futur ! Mais alors que connaissons-nous véritablement de cette civilisation dont bien des secrets se cachent encore derrière des tablettes d'argile ? Les Mésopotamiens nous auraient-ils apporté plus que les lettres et la soif du savoir ? Nous possédons de nombreuses connaissances ou notions de maths, de sciences, d'architecture, etc... Cependant, peu sont ceux qui savent d'où ces précieuses

18,60m sur 16,40m. Un grand espace central est flanqué de 5 pièces latérales dont l’une possède un escalier menant au toit en terrasse. Au centre se trouvent deux foyers. Le sol fut découvert jonché des vases en pierre et en céramique, des cônes d’argile provenant de mosaïques décoratives et de calculi. Plutôt que de temples, il s’agirait d’édifices de prestiges appartenant aux clans supérieurs de la ville car leurs plans rappellent ceux des constructions privées de la ville basse. Les trois phases