Tablette d'argile

sans doute à l'antiquité. Antiquité L'écriture est le préalable à l'existence du texte et donc du livre. Il s'agit d'un codage permettant de transmettre et de conserver des notions abstraites. Les premiers livres ont pour support des tablettes d'argile ou de pierre. Ils ont été remplacés par des volumen, rouleaux de papyrus, plus légers et donc plus faciles à transporter. Le volumen est enroulé autour de deux axes verticaux en bois. Il ne permet qu'un usage séquentiel : on est obligé de lire

Cunéiforme : Ce nom, donné parles archéologues modernes, vient de la forme on s coin (du latin cuneus) de ce type d'écritures. Les scribes antiques utilisaient de fins roseaux (calames) dont l'extrémité était triangulaire pour écrire sur des tablettes d'argile crue, qu on mettait peut-être ensuite à cuire, ce qui fixait définitivement les textes ainsi écrits. Une pression de l'extrémité du calame imprimait un triangle prolongé généralement par un trait tracé avec le roseau penché, ce qui permettait

l’autre côté des montagnes, c’est-à-dire d’esclaves de sexe féminin (fig.2). On a dénombré à peu près mille cinq cents pictogrammes différents. Vers 2900 av. J.-C., les Sumériens prirent l’habitude, pour des raisons matérielles, d’utiliser des tablettes d’argile et des calames (roseaux taillés en pointe) pour écrire. Ces calames, qui sont les ancêtres de nos porte-plume et de nos stylos, étaient taillés en biseau. Ensuite, on imprimait dans l’argile fraîche des empreintes qui prenaient la forme de coins

Antiquité[modifier | modifier le code] L'écriture est le préalable à l'existence du texte et donc du livre. Il s'agit d'un codage permettant de transmettre et de conserver des notions abstraites. Les premiers livres ont pour support des tablettes d'argile ou de pierre. Ils ont été remplacés par des volumen, rouleaux de papyrus, plus légers et donc plus faciles à transporter. Le volumen est enroulé autour de deux axes verticaux en bois. Il ne permet qu'un usage séquentiel : on est obligé de lire

pensaient qu’ils étaient construits par des cyclopes. Les mycéniens accumulent un certain nombre de richesse. Cette civilisation maitrisait une sorte d’écriture : Le linéaire B. On a retrouvé des tablettes d’argile sur lesquelles étaient inscrites une écriture composée de 87 signes SYLLABIQUES. Ces tablettes ont été cuites lorsque les palais ont brulé. On peut retenir de leur société qu’ils donnent une forte importance aux scribes, au clergé, et enfin à la guerre. Ils devaient se défendre. Leurs palais

sur du parchemin tandis que la double page d'Etapes est imprimée sur papier. L'évolution des supports d'écrit s'effectuera tout au long de l'histoire. Les hommes, par nécessité d'expression, ont toujours cherché des supports d'écriture: des tablettes d'argile utilisées par les Sumériens aux parchemins utilisés par les Carolingiens. La recherche de la souplesse et de l'ergonomie engendrera des supports moins durs et plus souples comme le parchemin ou le papyrus, tous deux issus de fibre organique

: apparition de tablettes sumériennes où certains pictogrammes renvoient aux sons. De plus de 1,500 signes différents, on passe à 500 ou 600 (en comparaison, notre alphabet ne comprend que 26 lettres). L’écriture est donc une chose très complexe. Conséquences : autant en Égypte qu’en Mésopotamie, l’apprentissage de l’écriture exige de nombreuses années d’étude. L’accès à ce savoir est une question de privilège et de prestige. « On compte aujourd’hui au moins 500,000 tablettes en argile (mésopotamiennes)

conservation et le travail des textes. Ces lieux dépendent des pouvoirs religieux et politiques, en proportion variable selon les civilisations. À Ninive, les archéologues ont retrouvé dans une partie du palais des rois d'Assyrie, vingt-deux mille tablettes d'argile, correspondant sans doute à la bibliothèque et aux archives du palais. En Égypte, les maisons de vie, situées à proximité des temples, abritaient des bibliothèques où officiaient des bibliothécaires-enseignants dont les cours étaient réputés

magister Ludi commençait par enseigner les lettres, puis les syllabes, et enfin les mots. Il passait alors très progressivement de la lecture de phrases simples à de textes courts. On s'initiait au calcul avec l'abaque (abacus en latin), une tablette avec des jetons coulissant dans des rainures (entailles longues et étroites) ou avec de simples galets. [pic] Les châtiments corporels étaient pratiqués à l’école romaine. Plusieurs auteurs latins parlent de

Babylone et de Grèce utilisaient déjà des instruments de géométrie : équerre, compas, règle et fil de plomb …. Des dessins ou des schémas représentant des bâtiments de ces époques réalisées avec ces instruments ont été retrouvés gravés sur des tablettes d’argile ou sur des plaques de pierre ou de marbre .Pline l’ancien né en 23 après JC né à Côme dans le nord de l’Italie, nous apprend que c’est Théodorus, un Grec de Samos, artiste et bâtisseur (VIème siècle avt J.C.), qui inventa l’équerre