Tablette d'argile

qu’aujourd’hui l’enjeu majeur soit leur contrôle et leur sécurité. CHAPITRE 1 La monnaie n’est-elle qu’un intermédiaire dans les échanges ? 12 MONNAIE ET POLITIQUES MONÉTAIRES Les archéologues ont identifié des signes monétaires sur des tablettes d’argile en Mésopotamie 3 500 ans avant JésusChrist. Cette découverte témoigne de l’usage très ancien de ceux-ci et de leur utilité sociale. Dans les sociétés plus anciennes, la monnaie est directement associée aux marques de richesse dont elle constitue

qui ne peuvent lui résister et à qui elle fait peur par l’emprise qu’elle exerce sur eux. Pourtant la première mention du personnage de Lilith remonte au mythe mésopotamien de Gilgamesh, et le traducteur de la langue sumérienne utilisée dans les tablettes précisait qu’elle était désignée par le mot "Pure", qui avait le sens de PARFAITE, c’est-à-dire présentant l'absence de tout défaut. Mais pourquoi donc cette jeune fille pure et parfaite de la légende sumérienne estelle devenue un tel monstre dans

l’origine du droit. On prend l’exemple de la statue d’Hammourabi avec Shamash le dieu solaire et les lois qu’il a établi. Le dieu solaire remet des objets au roi. Bâton et cercle. Le bâton pourrait symboliser le bâton utilisé pour écrire sur les tablettes d’argile. Il pourrait donc s’agir d’une transmission d’autorité du dieu au roi d’écrire le droit. Partage de la création du droit entre dieux et Hommes. Les dieux l’initiative et le roi la formulation et l’application. Un droit inspiré des Dieux. Rapport

événements avec précision. À partir de 745, les chroniques babyloniennes consignent, année par année, sur des tablettes d’argile, les faits remarquables. Elles étaient rédigées à des fins historiques, mais aussi pour servir de base à l’établissement des prévisions astrologiques par les savants ; elles sont laconiques, précises, et fiables. Pour les époques antérieures, les tablettes administratives – datées selon l’acte royal considéré comme le plus important de l’année écoulée pour la fin du IIIe

les événements avec précision. À partir de 745, les chroniques babyloniennes consignent, année par année, sur des tablettes d’argile, les faits remarquables. Elles étaient rédigées à des fins historiques, mais aussi pour servir de base à l’établissement des prévisions astrologiques par les savants ; elles sont laconiques, précises, et fiables. Pour les époques antérieures, les tablettes administratives – datées selon l’acte royal considéré comme le plus important de l’année écoulée pour la fin du IIIe

qui est « internationale » on la retrouve de l’Egypte à la Turquie. - Ecriture alphabétique (- 1 400) : retrouvée pour la première fois sur le site de Ras Shamra, en Syrie. Sur le site, qui est en fait une école de scribe, on a retrouvé des tablettes en argile, où se trouvaient les lettres que les enfants devaient apprendre. Cet écriture alphabétique sera disséminée dans tout le bassin méditerranéen par les phéniciens, qui voyageaient beaucoup et ont donc largement influencé la Grèce et les latins

soit c’est un tronc avec ses nœuds. Son rôle dans la construction est minime car il ne supporte qu’une seule poutre de la toiture, mais il symbolise cette construction. Les murs ont une armature en bambou sur laquelle on pose le torchis compose d’argile de paille. Les fenêtres sont des cloisons coulissantes tendues de papier translucide. Le toit, dit « yane » en japonais, signifie « racine de la maison ». Les parois étant en grande partie mobiles et amovibles, c’est le seul élément qui permet

les collectionneurs et passionnés de compas, Lionel Royer et René Verstraete, ont consacré un livre entièrement dédié au compas. Ils nous révèlent l'histoire du compas. Un outil très ancien dont les archéologues ont retrouvé la trace sur des tablettes d'argile, datant de plus de 2000 ans avant JC, à Babylone, ils nous apprennent que l'étui de mathématiques des élèves de l'école d'architecture fondée par Salomon, contenait des compas. On peut y découvrir que l'outil ne se limite pas à sa forme la

d'écritures (-3300 ans) - Vers -3 300, les Sumériens (peuple Mésopotamien) inventent l’écriture afin de répondre à des besoins pratiques (comptabilité, distribution...). Elle apparaît tout d'abord sous forme de pictogrammes dessinés sur des tablettes d'argile (représentation de la vie courante) puis d'écriture cunéiforme (forme de coins). Les scribes cessent alors d'écrire de haut en bas pour écrire de gauche à droite. - A la même époque, les égyptiens utilisent les hiéroglyphes (passage du phonétisme

l’épreuve sur travaux, le jury évalue leurs qualités pédagogiques tout au long de trois épreuves censées les mettre en situation de « professer ». Sauf à apprendre qu’il a dû s’éclairer à la lampe à huile et remettre ses notes manuscrites sur tablettes d’argile, on peut penser qu’en 1936, Georges Vedel a été en mesure de préparer ses leçons dans des conditions matérielles assez proches de celles vécues par ses contemporains lorsqu’ils élaboraient leurs cours magistraux. Mais qui, dans la nouvelle génération