Tails

empoisonnent notre environe nement naturel ; – des d´chets industriels et domestiques qu’il faut stocker ; e – des d´chets recyclables (d´chets organiques, ferrailles, carrosseries, pae e pier, verre, mati`res plastiques, etc.). e Sans entrer dans les d´tails, retenons qu’il est ind´niable que : e e – l’utilisation massive de l’´nergie d’origine fossile (charbon, gaz naturel, e p´trole) entraˆ un effet de serre qui est ` l’origine de la hausse de la e ıne a temp´rature de l’atmosph`re terrestre. On peut

L’analyse a ´t´ appliqu´e aux cantons de Gen`ve et Vaud. Le r´sultat est ıt”. ee e e e pr´sent´ par les figure 6.38 et 6.39 . Afin d’avoir un aper¸u de l’ensemble, l’image est pr´sent´e ` e e c e e a grande ´chelle, ce qui ne permet pas de lire les d´tails. Les combinaisons sont indiqu´es verticalee e e ment ` gauche et tri´es en fonction du nombre croissant de produits constituant la combinaison. a e En haut est mentionn´ horizontalement le temps. Les traits gris correspondent aux p´riodes o` e e u

b[). Par continuit´ a e monotone de P , on en d´duit que (6.15) s’´tend au cas de r´els a, b > a e e e quelconques de [0, 1] : il suffit de consid´rer deux suites de d´cimaux an ↑ a et e e bn ↓ b et de noter que [a, b] = ∩n≥1 [an , bn ] (d´tails laiss´s en exercice). e e Nous voyons maintenant que le probl`me de la construction de (F , P ) est e exactement celui de la construction d’une fonction d’ensemble σ − additive prolongeant la fonction longueur d’un intervalle. Ce probl`me est

b[). Par continuit´ a e monotone de P , on en d´duit que (6.15) s’´tend au cas de r´els a, b > a e e e quelconques de [0, 1] : il suffit de consid´rer deux suites de d´cimaux an ↑ a et e e bn ↓ b et de noter que [a, b] = ∩n≥1 [an , bn ] (d´tails laiss´s en exercice). e e Nous voyons maintenant que le probl`me de la construction de (F , P ) est e exactement celui de la construction d’une fonction d’ensemble σ − additive prolongeant la fonction longueur d’un intervalle. Ce probl`me est

b[). Par continuit´ a e monotone de P , on en d´duit que (6.15) s’´tend au cas de r´els a, b > a e e e quelconques de [0, 1] : il suffit de consid´rer deux suites de d´cimaux an ↑ a et e e bn ↓ b et de noter que [a, b] = ∩n≥1 [an , bn ] (d´tails laiss´s en exercice). e e Nous voyons maintenant que le probl`me de la construction de (F , P ) est e exactement celui de la construction d’une fonction d’ensemble σ − additive prolongeant la fonction longueur d’un intervalle. Ce probl`me est

b] ou ]a, b[). Par continuit´ a e monotone de P , on en d´duit que (6.15) s’´tend au cas de r´els a, b > a e e e quelconques de [0, 1] : il suffit de consid´rer deux suites de d´cimaux an ↑ a et e e bn ↓ b et de noter que [a, b] = ∩n≥1 [an , bn ] (d´tails laiss´s en exercice). e e Nous voyons maintenant que le probl`me de la construction de (F , P ) est e exactement celui de la construction d’une fonction d’ensemble σ − additive prolongeant la fonction longueur d’un intervalle. Ce probl`me est celui

libre. Sur la figure 2.13, on observe les bandes d’´nergie e e e e selon le type de mat´riau. On y observe que la bande ` ´nergie minimale des conducteurs e ae n’est pas compl`tement remplie contrairement aux autres. e Sans entrer dans les d´tails, la vitesse de mobilit´ des ´lectrons libres v e est propore e e tionnelle ` une constante µe pr`s, au champ ´lectrique appliqu´ : a e e e v e = −µe E . (2.11) Le courant ´lectrique r´sultant du mouvement des ´lectrons sera d’autant plus

avant (1976 :1 ` 1985 :12). Et votre vae a riable muette est l` ! Souvent, les variables muettes sont des variables saisonni`res. Dans ce cas, Eviews a e a d´j` des fonctions pr´programm´s. Veuillez vous r´f´rer ` la fonction @seas(n) pour plus de d´tails. ea e e ee a e 10. Maintenant, il ne reste plus qu’` faire la r´gression en n’oubliant pas d’ajouter la variable muette comme a e variable explicative pour prendre en compte l’incident nucl´aire. Regardez le graphe des r´sidus. Que e e constatez-vous

m'aperçus que j'étais en prison, étendu sur un grabat, entouré de gardiens, de verrous, de barrières et de tout ce qui se trouve dans un cachot. C'était un matin, je me le rappelle, quand je me rendis compte de ma situation. J'avais oublié les dé– 209 – tails des événements que j'avais vécus et il me semblait seulement qu'un grand désastre s'était abattu sur moi. Mais, alors que je regardais alentour et voyais les fenêtres pourvues de barreaux et l'exiguïté de mon cachot, tout me revint en mémoire et je

quantique, quantit´s nomm´es les “observables”, sont des valeurs moyennes e e d’une fonction par rapport au carr´ du module de la fonction d’onde dans l’ese pace des positions ou celui des impulsions — voir l’introduction du chapitre 9, ou, pour plus de d´tails, le cours de J. Dalibard, Introduction ` la M´canique e a e Quantique, chapitre 3. Les consid´rations qui pr´c`dent montrent que l’id´e de remplacer la notion e e e e de fonction comme r`gle associant une valeur ` tout point de l’espace par la e a