Tais-toi !

; J'écoute à mon chevet murmurer une voix ; Un bel ange aux yeux noirs sourit à ma misère ; Je regarde le ciel, Ninon, et je vous vois ; Ô mon unique amour, cette douleur chérie, Ne me l'arrachez pas quand j'en devrais mourir ! Je me tais devant vous ; - quel mal fait ma folie ? Ne me plaignez jamais et laissez-moi souffrir.

; J'écoute à mon chevet murmurer une voix ; Un bel ange aux yeux noirs sourit à ma misère ; Je regarde le ciel, Ninon, et je vous vois ; Ô mon unique amour, cette douleur chérie, Ne me l'arrachez pas quand j'en devrais mourir ! Je me tais devant vous ; - quel mal fait ma folie ? Ne me plaignez jamais et laissez-moi souffrir.

recommence: assis, pas bouger, et tout le bazar, tout ça pour avoir le droit d’aller prendre un peu l’air « Le chien profite pleinement de sa sortie, tirant sur sa laisse et aboyant au passage des autres chiens. Le maître ordonne «  aux pieds !!!! TAIS TOI !!!:! » «  Encore et toujours des ordres , auxquels il faut malheureusement se soumettre , sous peine de privation » De retour chez lui, enfin seul , au repos dans son panier, le chien médite: «  telle est la vie d’un chien: on n’obtient

accompagn� � la porte. J'�tais un peu �tourdi parce qu'il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques mois. J'ai couru pour ne pas manquer le d�part. Cette h�te, cette course, c'est � cause de tout cela sans doute, ajout� aux cahots, � l'odeur d'essence, � la r�verb�ration de la route et du ciel, que je me suis assoupi. J'ai dormi pendant presque tout le trajet. Et quand je me suis r�veill�, j'�tais tass� contre un militaire

deuxième personne du singulier « tu », on voit grâce à cela qu’ils sont intimes mais aussi qu’ils s’accusent l’un l’autre. Les insultes fusent de la part de Clotilde « gredin, crapule, gueux, vaurien ». Les injures sont mises en valeur dans les phrases « Tais-toi donc, vaurien ! ». La phrase exclamative montre l’intensité du propos. Le nom « vaurien » est séparé du reste de la phrase pour le mettre en valeur. Clotilde utilise aussi des adjectifs dépréciatifs pour qualifier Bel-Ami « roué et dangereux »

s'affirme: -didascalie « murmura le regard perdu » + 5 questions au futur sur l'avenir - »Créon a un peu honte soudain » didascalie « Créon hausse les épaule »: aveu de perte de contrôle de la situation. c)la révolte - »tu es folle, tais-toi »+  « tais-toi » + « te tairas-tu enfin? » marquent, scandent l'impuissance de Créon. -vocabulaire d'Antigone: voc de l'intransigeance et de la véhémence: -négations « non »,  « je ne me tairais pas » -  « si je sais ce que je dis »: insolence

Chacun des prisonniers réfléchit de son côté en considérant les deux cas possibles de réaction de son complice. * « Dans le cas où il me dénoncerait : * Si je me tais, je ferai 10 ans de prison ; * Mais si je le dénonce, je ne ferai que 5 ans. » * « Dans le cas où il ne me dénoncerait pas : * Si je me tais, je ferai 6 mois de prison ; * Mais si je le dénonce, je serai libre. » « Quel que soit son choix, j'ai donc intérêt à le dénoncer. » Si chacun des complices fait

; J'écoute à mon chevet murmurer une voix ; Un bel ange aux yeux noirs sourit à ma misère ; Je regarde le ciel, Ninon, et je vous vois ; Ô mon unique amour, cette douleur chérie, Ne me l'arrachez pas quand j'en devrais mourir ! Je me tais devant vous ; - quel mal fait ma folie ? Ne me plaignez jamais et laissez-moi souffrir.

Tant j’ai grand peur, qu’on veuille secourir Le mal, par qui doucement je soupire. Il est bien vrai, que ma langueur désire Qu’avec le temps je me puisse guérir : Mais je ne veux ma dame requérir Pour ma santé : tant me plaît mon martyre. Tais-toi langueur je sens venir le jour, Que ma maîtresse, après si long séjour, Voyant le soin qui ronge ma pensée, Toute une nuit, folâtrement m’ayant Entre ses bras, prodigue, ira payant Les intérêts de ma peine avancée. Marie, vous avez la joue

combattre sur le même front qui est celui de la liberté qui ce jour était Chrétienne, Juive, Musulmane, Athée, Laïque … Je finirai par cette citation d’un journaliste étranger qui avait dit avant d’être sauvagement massacré par des terroristes «  si tu te tais tu meurs, si tu parles tu meurs : alors parles et meurs !» Ilyes SEKHRI