Tais-toi !

! Tu n'en aurais pas fait autant, toi, avec ta croix d'honneur ! Je l'ai plus méritée que toi, vois-tu, plus que toi, et j'en ai tué plus que toi, des Prussiens!...Il demeurait stupéfait devant elle, frémissant d'indignation. - Ah ! tais-toi... tu sais... tais-toi... parce que... ces choses-là... je ne permets pas... qu'on y touche... Mais elle ne l'écoutait guère : - Avec ça que vous leur avez fait bien du mal aux Prussiens ! ça serait-il arrivé si vous les aviez empêchés de venir à Rouen

chaîne. _ Le Toyotisme (apparue en Europe dans les années 1980), avec 3 principes : la polyvalence, la qualité et les flux tendus. Paul ARRIES (politologue) qui intervient dans ce film, traduit le taylorisme par : « travail et tais-toi » ; le fordisme par « travail, tais-toi et consommes » et enfin la phase actuelle qu’il nomme comme le « management affectif ». C’est avec l’apparition du taylorisme et du fordisme que la souffrance au travail s’est elle accentuée, notamment à cause du travail

dépossédé du « j'ai » j'obéissais désormais à l'impératif du « tais » ». (Page 17) J'adore cette phrase car l'auteur joue avec la consonance des lettres du nom du narrateur. Grinberg était devenu Grimbert pour que le nom n'est plus une consonance juive. Ayant remplacé ces lettres, la haine avait laissé la place à l'amour. Mais le narrateur doit se taire, ne pas remuer le passé d'où: « « j'obéissais » […] à l'impératif du « tais » » . Je trouve que l'auteur a trouvé d'excellents jeux de mots

sujeitos-professores. Revelando os dados: primeiros apontamentos Pesquisas sobre professores/as vêm ganhando destaque no cenário nacional e internacional a partir dos anos 1980 e 1990. Tais estudos, apesar de heterogêneos, têm o mérito de (re)colocar estes sujeitos no centro da investigação (Nóvoa, 1992). Dentre tais pesquisas, destacamos aquelas que se dedicam à compreensão do processo de produção permanente da docência e do trabalho docente, ao que chamamos “condição docente” (Arroyo, 2007, p. 195)

Scène 6, Page 104-105 : « Orgon, à tartuffe. Mon frère, c’en est trop. A son fils. Ton cœur ne se rend point, Traître ? Damis Quoi ? Ses discours vous séduiront au point… Orgon Tais-toi, pendard. A Tartuffe. Mon frère, eh ! Levez-vous, de grâce ! A son fils. Infâme ! Damis Il peut… Orgon Tais-toi. Damis J’enrage ! Quoi ? Je passe… Orgon Si tu dis un seul mot, je te romprai les bras. Tartuffe Mon frère, au nom de Dieu, ne vous emportez-pas. J’aimerai mieux souffrir

finale ne parlerait pas autrement ! Ecoutez cette voix sévère. C’est celle de saint Gabriel qui ne peut donner que de bons conseils. Père Ubu. — Oh ! ça, en effet ! Mère Ubu. — Ne m’interrompez pas ou je me tais et c’en sera fait de votre giborgne ! Père Ubu. — Ah ! ma gidouille ! Je me tais, je ne dis plus mot. Continuez, madame l’Apparition ! Mère Ubu. — Nous disions, monsieur Ubu, que vous étiez un gros bonhomme ! Père Ubu. — Très gros, en effet, ceci est juste. Mère Ubu. — Taisez vous, de

chéri, ô mon coeur, mon chat aimé ta poulette" etc... Elle ne se rend pas compte de la maladresse qu'elle dégage par ses paroles qui entre autre son peu valorisante pour son amant et qui par la même occasion montre la sa niaiserie. "Sois belle et tais toi" L'amant de Sophie est misogyne. Il exprime un préjuger envers les femmes "Si tu es Belle,tu es bête". Il ne supporte pas le language employé par cette dernière. A travers sa missive, il va humillié Sophie, la rabaisser, en se prenant pour quelqu'un

Anonyme, sois jeune et tais-toi. On parle de Mai1968 un ensemble de mouvement et manifestations survenus en France, en mai-juin 1968. Ces événements constituent une période et une césure marquante de l'histoire contemporaine française , caractérisée par une vaste révolte spontanée de nature à la fois culturelle, sociale, et politique. Enclenchée par une révolte de la jeunesse étudiante parisienne, puis gagnant le monde entier. L'affiche de « Sois jeune et tais toi » nous montre l'ombre

souvenir de toutes les indications que j'ai donné hier, ok ? Ensuite... (son téléphone portable sonne) oh putain ! J'ai oublié de le couper, bon pousse-toi. Quoi ? Non Maxime, j'ai pas dit, ah non j'ai dit « putrin », je suis dans le putrin... chut, tais-toi tu comprends pas. Je vais le mettre sur vibreur on ne sait jamais. (imitant un enfant qui a envie de faire pipi) Aaah, maîtresse Nadège... hmm... ouuuuuh... aaaah, ouuuh, maîtresse Nadège !!! Mais qu'est-ce que t'as Dimitri ? Mais oui mais,

Hermione Tais-toi, perfide,Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes Grecs admirer ta fureur, Va ; je la désavoue, et tu me fais horreur. Barbare, qu'as-tu fait ? Avec quelle furie As-tu tranché le cours d'une si belle vie ? Avez-vous pu, cruels, l'immoler aujourd'hui, Sans que tout votre sang se soulevât pour lui ? Mais parle : de son sort qui t'a rendu l'arbitre ? Pourquoi l'assassiner ? Qu'a-t-il fait ? A quel titre ? Qui te l'a dit ? Oreste O dieux ! Quoi ? ne m'avez-vous