Tais-toi !

se convaincre. Or, Antigone « l’agresse » avec des raisonnements qui l’inquiètent. D’ailleurs il n’arrive pas à se faire entendre et à trouver les mots pour calmer une Antigone en furie. Il usera alors sans succès d’ordres répétitifs : « Tais-toi » ligne 32, « Tais-toi », encore, ligne 52, « Te tairas-tu enfin ? » ligne 63. Il essayera pourtant ligne 39 un changement de stratégie pour se retournera contre lui, un changement de sujet pour clore le débat, « Tu aimes Hémon ? ». Antigone, pleine de répondant

par provoquer Lepidus en abordant le sujet de son fils qu’il a tué, puis s’adresse brièvement à Cherea (« Parlons d’autre chose, maintenant. Voyons, Cherea, tu es bien silencieux ») pour lui intimer de se taire immédiatement après (« Parfait. Alors tais-toi. »), puis il chicane Mucius sur sa femme (« Eh bien, parle-nous de ta femme. Et commence par l’envoyer à ma gauche. ») = Il se conduit en tyran exigeant et capricieux, content de disposer de ce que la didascalie lX nomme des « marionnettes ». *

mangeait tranquillement dans une calebasse. Ne pouvant plus se contenir Songolo éclata en sanglots, se saisi d'un morceau de bois et frappa son fils ( ... ) Mari-Djata saisit le morceau de bois et dit en regardant sa mère: - Mère, qu'y a-t-il ? - Tais-toi, rien ne pourra jamais me laver de cet affront. - Mais quoi donc ? - Sassouma vient de m'humilier, pour une histoire de feuille de baobab. A ton âge son fils à elle marchait et apportait à sa mère des feuilles de baobab. - Console-toi, mère

cette mauvaise paroles, passe dans la trappe ». Cela nous montre qu’Ubu n’exécute pas seulement les Nobles fortunés mais tout le monde. Le lecteur va rire en voyant cette réponse et va trouver Ubu ridicule mais à la fois rigolo. A la page 69, « Allons, tais-toi bouffresque ! »On remarque une périphrase pour désigner la Mère Ubu. Ce terme va la dévaloriser en quelque sorte et va avoir tendance à faire sourire le spectateur. Enfin, page 70, le mot « merdre », que le Père Ubu utilise régulièrement, va donner

est finit, tous rentrent à Paris, Hannah, Simon et Robert ne reviendront pas. Tania et Maxime se marient et ont un fils. Au terme de ce récit, le narrateur est libéré de l’emprise de ce frère imaginaire. Il connait le secret de ses parents, mais se tais par amour pour eux. Tania développe une grave maladie, Maxime décide de mettre fin à ses souffrances. Le narrateur et son père ont un chien Echo, celui-ci finit par mourir par la faute de Maxime. Le fils concède à son père cette responsabilité mais

pardonne le mien. Mais si tu m'obliges à dire la vérité, écoute et je te la dirai : j'ai dupé la duchesse Isabela, et je l’ai possédée… DON PEDRO Ne poursuis pas, arrête ! Comment l'as-tu dupée ? Parle bas, ou tais-toi. DON JUAN J'ai feint d'être le duc Octavio. DON PEDRO N’en dis pas plus, tais-toi, assez ! (A part.) Je suis perdu, si le roi apprend cela ! Que faire ? Dans une affaire aussi grave, il me faut ruser. (Haut.) Dis-moi, scélérat, n'était-ce pas assez de commettre en

tête ». Sans doute « les hommes » dont il s’agit méritent-ils un tel traitement ; le personnage ne s’en situe pas moins à l’opposé du docteur noir, s’efforçant de guérir Stello de ses maux de tête…. « il est encore capable de dire à Chatterton : tais- toi, ami, tais- toi, arrête.- calme, calme, ta tête brulante » mais vainement. Tout comme Chatterton dans son ultime monologue, essaiera vainement d’ « arrêter », ses « idées noires »- non sans savoir, en lui-même, à son tour, adressé une remarque ironique

personne ne nous aime. Surtout l'affreuse maîtresse, chaque jour elle prend plaisir à humilier les personnes sur qui on figure. Un jour elle a même dit à Sarah (la petite sœur de Danny) alors que la petite levait innocemment la main pour répondre, "tais-toi petite d'indésirable", qu'elle vielle peaux celle-là, elle aussi je la hais. Boum, boum, boum" c'est quoi ce bruit? On frappe à la porte, pourtant il est très tard, qui ça peut bien être à cette heure tardive? On va ouvrir, puis j'entends une

des autres. Rousseau a pensé le statut de la conscience morale. Il la définit comme un juge qui ne peut être trompé par les préjugés, qui demeure le même. Dans la vie courante par exemple il nous est impossible de dire à notre père ou notre mère " tais-toi ". Aussi lorsque nous parlons nous avons tendance à utiliser des euphémismes pour raconter un récit " son mariage était vraiment très ennuiyant " le recours à l'exageration traduit encore une fois un sentiments. Mais était-ce vraiment ce qu'on

10¾ La réponse est : "des chous" (orthographe correcte : "des choux"). 11¾ "Je ne pense pas qu'il ait perdu ses clés" (verbe "avoir", subjonctif présent). „„„ Connaissances générales : corrigé du test „„„ 3 12¾ "Quelles que soient tes opinions, tais-toi". On écrit "quel(le)(s) que" en deux mots devant un verbe. 13¾ "Qu'en ont dit tes parents ? Est-ce qu'ils nous ont vus ?" Il s'agit, dans les deux cas, de l'auxiliaire "avoir". 14¾ "Il n'est pas près de se marier mais le plus tôt sera le mieux"