Tais-toi !

cette mouvance ne font que feindre leur caractère fortuit, ou alors que le choix de l'absurde veut lui-même dire quelque chose, par exemple sur la perte du sens dans les sociétés modernes : c'est le cas de Rhinocéros de Ionesco. II Sois belle et tais-toi ! On peut toutefois se demander si ce critère est réellement pertinent et s'il est légitime de reprocher à une œuvre d'art de ne vouloir rien dire : cela ne signifierait-il pas que l'on réduit l'art à un moyen de communication ? * Le jugement

riñón de una patada. Anna - (en criant) - Maman, je suis en train de parler de quelques tendinites, déchirures musculaires, une perte de vision d'un oeil, ce fils de pute lui a déplacé le rein d'un coup de pied. MADRE : - ¡ Cállate, Ana ! La mère- Tais toi, Anna. PILAR : -¡ Callaos las dos ! (Arranca el vestido de las manos de su madre y lo echa al vacío .) Pilar - Taisez vous tous les deux ! (En arrachant la robe des mains de sa mère et en la jetant dans le vide) MADRE : (acercándose a ella)-Pero

la liberté d’expression qui perdra de sa valeur. Car le prix qu’elle payera n’est autre que le silence irrémédiable et définitif. Un proverbe chinois illustre cet état de fait : «Si ce tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, alors tais-toi. » Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, peut-être à votre plus grand dam, je ne me tairai pas. Pas de sitôt en tout cas et je vais plutôt poursuivre encore, peut-être pur certains, de longues minutes. Qui, parmi vous, nierait ne pas

lever à onze heures. – Et je me recouchai, sans lire le reste. » « - On m’a parlé de Paludes ! - Qui donc ? demandai-je excité. - Des amis… Tu sais : ça n’a pas beaucoup plus ; on m’a même dit que tu ferais mieux d’écrire autre chose. - Alors tais-toi. » « A six heures, entra mon grand ami Gaspard. Il revenait de l’escrime. Il dit : « Tiens ! Tu travailles ? » Je répondis: « J’écris Polders… »

été aussi heureux de toute ma vie ; il répondit qu’il n’avait jamais été aussi heureux de toute sa vie. Elle affirma : la crise se prolongera jusqu'à l’année prochaine ; elle affirma que la crise se prolongerait jusqu'à l’année avenir. Il hurla : « tais-toi et sors d’ici. Je ne veux plus te voir. » ; il lui hurla de se taire, de sortir de là, et lui dit qu’il ne voulait plus la voir. 3. La narration. Généralement, la narration est un récit au passé ou est employé un registre soutenu. On peut

médecin coordinateur, le Directeur, je suis passible d’une peine de 3 ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende. En tant qu’étudiante, il n’est pas facile d’arriver dans un lieu de stage et d’être témoin d’une situation inacceptable. Si je me tais, j’ai plus de chance que le stage se déroule sans hostilité, d’entretenir des rapports agréables avec les équipes soignantes et de favoriser mon intégration. Mais je ne suis pas en stage pour me faire des amis, je suis ici en tant qu’étudiante afin

limitam-se, rigorosamente, a mantê-los em funcionamento por meio de consertos sucessivos. Possuí-los em nossos dias, só por compra de segunda mão ou por herança. A guarda e o cuidado com os instrumentos de trabalho necessários à fiação e à tecelagem, tais como roda, dobadeira, caneleira, lançadeira, urdideira e o tear, mantêm viva esta tradição que é o patrimônio da tecelã, o qual tem sido transmitido às gerações mais novas. Estes teares, desde sua composição mais artesanal nas formas verticais e horizontais

monts et désastres, ruines ou glaciers, Jusqu’à toucher encore cette merveille de nous, Entre visions et reflets mon amour. POEME N°3 (Pablo Neruda) J’ai faim de tes cheveux, de ta voix, de ta bouche, Sans manger je vais par les rues, et je me tais, Sans le soutien du pain, et dès l’aube hors de moi, Je cherche dans le jour le bruit d’eau de tes pas. Je suis affamé de ton rire de cascade, Et de tes mains couleur de grenier furieux, Oui, j’ai faim de la pâle pierre de tes ongles, Je veux manger

plus. Ils sont heureux ! j'envie Leur fosse où l'herbe pousse, où s'effeuillent les bois. Car la nuit les caresse avec ses douces flammes ; Car le ciel rayonnant calme toutes les âmes Dans tous les tombeaux à la fois !» Et je lui dis : «Tais-toi ! respect au noir mystère ! Les morts gisent couchés sous nos pieds dans la terre. Les morts, ce sont les coeurs qui t'aimaient autrefois C'est ton ange expiré ! c'est ton père et ta mère ! Ne les attristons point par l'ironie amère.

Colette, et cependant vous allez épouser Blaise ? COLETTE Vraiment, ça me fâche assez ; car ce n’est pas moi qui le prends ; c’est mon père et ma mère qui me le baillent. BLAISE, interrompant et pleurant. Me velà donc bien chanceux ! MERLIN Tais-toi donc, tout ceci est de la scène ; tu le sais bien. BLAISE C’est que je vais gager que ça est vrai. MERLIN Non, te dis-je ; il faut ou quitter notre projet ou le suivre. La récompense que madame Amelin nous a promise vaut bien la peine que nous