Talaat Pacha

la ville de Van le 7 avril 1915. La réaction est aussi immédiate que disproportionnée. En effet, le génocide des Arméniens de Turquie ordonné par les chefs du gouvernement jeune-turc, le ministre de la Guerre Enver Bey et le ministre de l'Intérieur Talaat Bey commence le 24 avril 1915 avec l'arrestation et l'assassinat de 600 notables arméniens à Constantinople. Les soldats arméniens sous l'uniforme turc sont désarmés, envoyés aux travaux forcés puis fusillés. Les Arméniens d'Anatolie orientale reçoivent

le Moyen-Orient: la domination britannique prend naissance avec l'Égypte en 1882 lorsque la flotte de guerre britannique est intervenue en Égypte pour mettre un terme au mouvement révolutionnaire mandé par un officier d'origine égyptienne, Urabi Pacha. Ce dernier est battu par les troupes a Tel elKebir le 13 septembre. Au début, Londres affirme que l'occupation sera provisoire, le temps de remettre de l'ordre dans l'administration et les finances égyptiennes, mais les affaires soudanaises sont un

demande à la Turquie de reconnaître la partie grecque pour pouvoir envisager une adhésion de ce pays à l’Union européenne. f. Le génocide arménien Le mouvement nationaliste des « Jeunes-Turcs » et l’un de leurs chefs le ministre de l’Intérieur Talaat Pacha ordonne l’assassinat des Arméniens d’Istanbul puis des arméniens de l’armée. Ainsi, Le samedi 24 avril 1915, à Istanbul, capitale de l'empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement. C'est le début d'un génocide

L'armée ottomane va multiplier les violences à l’égard des arméniens. Profitant de la défaite des ottomans, les arméniens vont déclarer leur indépendance le 7 avril 1915 et prennent pour capitale la ville de Van. Le premier ministre ottoman Talaat Pacha fixe la loi provisoire de déportation du 27 mai 1915 : permet de déporter les survivants et d'accaparer leurs biens. Dans les premières semaines les hommes sont massacrés pour qu'ils ne puissent pas se révolter. Puis, les femmes et les enfants

chrétienne. Cependant, cet empire connaît des revers d'origine Russes et Britanniques. Cela fournit aux Ottomans le prétexte qu'ils recherchaient pour mettre au pas la population arménienne. Ils organisent alors un génocide. Le ministre de l'Intérieur Talaat Pacha, ordonne l'assassinat des élites arméniennes de la capitale puis des Arméniens de l'armée, bien que ces derniers aient fait la preuve de leur loyauté. Il met aussi en place une loi de déportation déportant de nombreuses populations arméniennes

les blessures psychologiques ou physiques, veuves, orphelins... L'empire Ottoman entre en guerre en 1914 avec les allemands. Depuis 1908, les Jeunes-Turcs sont au pouvoir avec pour ministre de l'intérieur de l'Empire Ottoman pendant la guerre Talaat Pacha. Le gouvernement turc prétextent que les arméniens pourraient aider les russes alors ils sont déportés et tués. Ils ont été assassinés sur place pour l'exemple ou ils moururent au cours de la déportation (marches forcées ou dans des trains à bestiaux)

1) Les aspirations britanniques A l’aube du premier conflit mondial, une pensée selon laquelle l’Empire Ottoman, alors devenu vacillant, et les « grands » d’Europe pourraient trouver un intérêt mutuel à s’allier émerge. Ainsi, en août 1914, Enver Pacha parvient à entériner un accord avec Berlin, qui prévoyait principalement une opposition contre la Russie – celle-ci aspirant à une annexion de l’Anatolie. La menace russe et l’engrenage des alliances poussa l’Empire Ottoman à entrer en guerre, avec

Kurdes venus les rançonner pour la énième fois. Le sultan Abdul Hamid profita de cette occasion pour tester la réaction des puissances européennes. Il envoya sur Sassoun une véritable armada : la 4e armée turque et la 26e division commandée par Zeki pacha, forte de 12 000 hommes, ainsi que 40 000 Kurdes armés jusqu’aux dents, qui se livrèrent à une véritable boucherie qui dura plusieurs semaines. Les réactions des Européens, bien que parfois outragées, ne furent que verbales. C’est ce qu’attendait

 qui fait partie de la Triplice. Les Turcs,  connaissant des revers face aux Français et aux Britannique, sont dirigés par le gouvernement trè  nationaliste des Jeunes Turcs. Ils considèrent les Arméniens comme des traitres. En Juin, le ministre de  l’intérieur Talaat Pacha décide la déportation des Arméniens. Ces derniers sont déportés vers le sud en  plein désert, et beaucoup meurent de faim et d’épuisement. D’autres sont massacrés par les soldats turcs.  Le génocide s’élève à 1,5 milloins de morts sur les 2 millions d’Arméniens vivant dans l’Empire turc

patriotisme prégnant et se faisaient une idée nouvelle du nationalisme. Ainsi, « pour la première fois l’idée d’une identité turque, et non pas islamique ou ottomane » (comme sous Abdul Hamid II) se développe. Avec l’ascension du progressiste Midhat pacha, l’idée de réforme s’éleva jusqu’au sommet de l’Etat. Selon lui, pour éviter que l’Empire coure droit à sa destruction, il fallait encadrer le pouvoir du sultan. Ce mouvement réformateur permit la création d’une Constitution en 1876. Cependant, la