Tamarinier

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Les Fleurs du mal, « spleen et idéal », Charles Baudelaire , 1857. LXXV.     Pluviôse, irrité contre la ville entière,     De son urne à

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal, XIXème siècle Brise Marine La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Ce poème est composé de trois strophes de quatre vers et d'une strophe de deux vers et dispose de rimes croisées. Ce poème est un poème lyrique

Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, 4479925198120Edvard MUNCH, Madonna, 1893. Edvard MUNCH, Madonna, 1893. Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) VI. L’Albatros (1859)384564834404 Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Parfum exotique est un des premiers textes dans Spleen et Idéal, traitant de l’amour voir de la passion. Ainsi il se retrouve au commencement du cycle de

mince et vigoureux,
 Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,
 Je vois un port rempli de voiles et de mâts
 Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum de verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire (1821-1867) Exil Si je pouvais voir, ô patrie, 
Tes amandiers et tes lilas, 
Et fouler ton herbe fleurie, 
Hélas !
 
Si je

(v.10); enfin confondus avec les impressions visuelles: " vertscomme les prairies " (v.10). Parfum exotique : « Je voisun port rempli de voiles et de mâts » (v.10) => la vue « Pendant que le parfumdes verts tamariniers » (v.12) => l’odorat « Se mêle dans mon âme au chantdes mariniers » (v.14) => l’ouie   Baudelaire utilise l’exotisme, les paysages paradisiaques pour lui permettre une évasion. La Vie Antérieure : « C’est

odorante et vagabonde » (v. 7 « Le Serpent qui danse »), « Comme un navire qui s’éveille / Au vent du matin / Mon âme rêveuse appareille / Pour un ciel lointain » (v. 9 à 12 « Le serpent qui danse ») et d’exotisme « Pendant que les parfums des verts tamariniers » (v. 12 « Parfum Exotique »). Charles Baudelaire a beaucoup d’idéaux comme la femme « Des femmes se tordaient sous le noir firmament » (v. 6 « Don Juan aux enfers »), il les aime « Parcourir à loisirs ses magnifiques formes » (v. 9 « La Géante »)

aggravées par le déboisement, qui a aussi accéléré le ruissellement violent des pluies torrentielles. On est loin de l'île luxuriante d'Hispaniola découverte par Christophe Colomb, qui abritait cocotiers, manguiers, papayers, acajous, flamboyants et tamariniers. Les planteurs qui ont développé dès le XVIIIe siècle la production d'épices, de café et d'indigo ont certes jeté par terre beaucoup de forêts au profit de leurs champs et plantations. Et les sociétés étatsuniennes ont accentué la déforestation

sur le champ de bataille, ainsi que deux de ses fils et 78 de ses plus brave guerriers. Le Cayor disparait avec lui. - La mort de Lat Dior. Quand on le découvrit, Lat Dior gisait, sans vie, la face contre le ciel, au pied d’un tamarinier, la main encore serrée sur son fusil. A ses côtés, deux de ses fils et soixante-dix-huit de ses vaillants guerriers l’avaient suivi dans sa mort glorieuse. Ainsi, Lat Dior avait tenu parole : Ce soir, il dirait son Salam auprès de Maba Diakhou ;