Tamarinier

le corps est mince et vigoureux,Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats,Je vois un port rempli de voiles et de mâtsEncore tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers,Qui circule dans l'air et m'enfle la narine,Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire Nous avons choisie ce poème car il nous fait voyager par l’intermédiaire d'une femme (Jeanne Duval) ce qui rend se poème presque intime

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Charles Baudelaire Le point commun de ces deux poème est la citation : « Ce qui est crée par l'esprit est lus vivant que la matière »

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers PIERRE DE RONSARD (1524-1585) Il est un des poètes français les plus importants du XVIe siècle, on l´appelle « Prince des poètes et poète des princes

vigoureux, Et des femmes dont œil par sa franchise étonne.     Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine,     Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers.

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'oeil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Parfum exotique, fleurs du mal Ce sonnet fait d'alexandrin est vraisemblablement dédié à Jeanne Duval, il fait partie de la section "spleen et idéal"

retrouve d'abord le verbe voir, qui nous rend témoins de du spectacle, d'un devoir que pérateur de vision et on à l'appel, aux différents sens avec je respire. Je vois que je respire d'orage, je vois la vue des fruits savoureux, le goût, le champ des Tamarinier Louis, l'emploi du présent dénonciation est, descriptif, permet d'actualiser la vision et de nous faire participer comme des acteurs à la sienne puisque la scène est actualisée, elle se déroule sous les yeux, le poids d'un jeu. Il apparaît à la

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne.Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine,Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. | PARFUM EXOTIQUE. * Introduction : Exotique : Ce qui est différent de ce que nous connaissons géographiquement, culturellement, tradition

blanche dans les hauts quartiers : périphérie du haut quartier : villas, larges avenues bordées d’arbres rares. centre : buildings, monde de la finance, immenses terrasses de café à l’ombre des tamariniers, magasins ne vendant rien d’utilitaire Ce quartier, où circulent les voitures, est délimité par les circuits des tramways remplis d’indigènes. La zone située entre les hauts quartiers et les faubourgs indigènes est occupée par les coloniaux indignes

du parfum de cette belle étrangère. L’exaltation des sens provoquent chez le poète des visions paradisiaques éblouissantes où l’on retrouve toutes les composantes du paradis exotique : le paysage tropical marin, la lumière du soleil, les verts tamariniers etc. Peut-on alors considérer que l’Ailleurs est le lieu d’une rencontre parfaite avec un Autre incarné par la femme aimée, le lieu de l’harmonie amoureuse ? Force est de constater que dans la femme s'efface très vite devant la puissance de son

ville où il est oppressé / il est arrivé dans un endroit - “ ton odeur” , “je vois”: synesthésie: - “vert tamariniers”, “parfum”: synesthésie: alli l’odorat et la vue - “m’enfle la narine”; “circule dans l’air”: v.13: met en évidence le mouvement du refus et qu’elle prend le nez de l’auteur - allitération en ‘m’ + assonance en ‘a’: marque l'unité entre les tercets, marque la douceur - “tamariniers”, “mariniers”: v.12-14 presque homophone: donne l’impression que tous ses sens sont en éveil Conclusion