Tamarinier

parent du cognassier d'Europe, le figuier des Banians, venu de l'Inde, le jacquier au port majestueux. Çà et là un plant de café, un muscadier, un giroflier rappellent les cultures des grandes habitations de l'ile, et sur les flancs des coteaux le tamarinier et le bois noir, avec le filao, ce pin des tropiques, manient leurs sombres ombrages. Dans les jardins, les rosiers de toute espèce, les lianes aux fleurs multicolores, l'arbre du voyageur, ouvrant ses feuilles en éventail et retenant l'eau entra

pour relier Gorée au reste du continent. (...) * Toubab Diallao Entre plages de sable fin, falaises d’argile et collines de pierres, Toubab Dialaw est (...) * Dakar Ancien village de pêcheurs Lebou et Wolof, Dacar ou Dahar qui signifie « tamarinier » (...) * Cap-vert La presqu’île du Cap-Vert, qui abrite Dakar, la capitale du pays, constitue le point le (...) * Petite Côte La Petite Côte s’étend sur près de 70 km au sud-est de Dakar, entre Rufisque et Joal (...) * Région centre

dense + « charmants climats »  un printemps éternel, un pays sans hiver - présent itératif  tout se répète sans cesse, c’est éternel + présent de descrip° ailleurs  tout dure tjrs. - « soleil monotone » été éternel, toujours beau - « verts tamariniers »  des arbres tjrs verts, jamais automne ni hiver dans ce rêve. CONCLU : (SYNTHESE) Ainsi, nous avons pu voir dans ce poème un lieu paradisiaque, édénique, que B montre bien comme un rêve d’idéal. Ce paradis est tt entier contenu dans le parfum

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Baudelaire voyage grâce au simple parfum d’une femme : « guidé par ton odeur vers de charmants climats ». De plus, simplement en sentant l’odeur de la

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l’air et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. 6 « L’invitation au voyage » Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble !

rapproché, dense + « charmants climats » un printemps éternel, un pays sans hiver - présent itératif tout se répète sans cesse, c’est éternel + présent de descrip° ailleurs tout dure tjrs. - « soleil monotone » été éternel, toujours beau - « verts tamariniers » des arbres tjrs verts, jamais automne ni hiver dans ce rêve. CONCLU : (SYNTHESE) Ainsi, nous avons pu voir dans ce poème un lieu paradisiaque, édénique, que B montre bien comme un rêve d’idéal. Ce paradis est tt entier contenu dans le parfum de

des pages, se banalise aux yeux du lecteur. En effet, Birago Diop habitue le lecteur à des décors saugrenus et à des personnages très superstitieux. A la longue, voir une princesse se métamorphoser successivement en arbre, en cheval blanc et en tamarinier, situation que l’on retrouve dans le conte « Samba-de-la-Nuit », semble de moins en moins étonnant aux yeux du lecteur. Dans cet ouvrage de Birago Diop, plusieurs contes ont un minimum de magie, néanmoins chaque aventure relatée se distingue par

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'' il par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. Etude I - Vision de la femme par Baudelaire - Transformation par l'île et le port C'est la relation intime amoureuse qui provoque la vision intérieure

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. XXIII - La Chevelure O toison, moutonnant jusque sur l'encolure! O boucles! O parfum chargé de nonchaloir! Extase! Pour peupler ce soir l'alcôve

dérivée de l'expression wolof deuk raw signifiant « qui s'y installe sera en paix »5 ou encore de dekk-raw, une association de dekk (pays) et raw (s'échapper)6. Selon la même source, il pourrait aussi s'agir du terme wolof dakhar, qui désigne le tamarinier, un arbre très présent sur la côte à l'arrivée des Lébous au XVIe siècle. La localité étant évoquée dans certains documents7 sous le nom de "d'Accard", on a également pu y voir la référence à un négociant ou marin français peu connu de la fin du