Tamarinier

caoutchouc. On fait ici référence aux pneus des voitures qui leur permettent de se déplacer silencieusement et confortablement. 5. asphalté : recouvert de bitume. 6. torpédos : automobiles anciennes décapotables. 7. tamariniers : grands arbres pouvant atteindre vingt mètres de hauteur, poussant dans les régions tropicales. 8. « les palmiers et les garçons en pots et en smokings » : la phrase précédente éclaire le sens. Les indigènes ont été « déguisés » et

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers (1), Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers (2). Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Spleen et Idéal », 1857. 1. Arbres exotiques. 2. Marins. I - Découverte du poème: - À première vue, quel est

est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers (1), Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers (2). Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Spleen et Idéal », 1857. 1. Arbres exotiques. 2. Marins. I - Découverte du poème: - À première vue,

et des femmes, qui en ai tué plusieurs, et qui ai connu le goût sauvage des chasses à l'homme victorieuses, j'ai senti comme un frisson me parcourir, sous le regard fixe du supplicié. On l'a brutalement arraché à sa torpeur pour le lier face au tamarinier, le nez contre les mains coupées de ses compagnons. Et deux esclaves, aidés du bourreau, ont commencé à le frapper. J'avais déjà vu punir des voleurs de quelques coups de fouet, mais je n'avais jamais vu flageller quelqu'un à mort. Les premiers

 » « Noël n’était pas comme toutes les fêtes. Il n’aimait pas à courir les rues, à danser sur les places publiques, à s’installer sur les chevaux de bois, à profiter de la cohue pr pincer les femmes, à lancer des feux d’artifices au front des tamariniers. » « Ce qu’il lui fallait c’était toute une journée d’affairement, […] puis le soir une petite église pas intimidante […] et l’on rit, et l’on chante, et les refrains fusent à perte de vue comme des cocotiers : « Alleluia Kyrie eleison…leison…leison

olfactive qui sert de point de départ au voyage intérieur de Baudelaire. – "les yeux fermés" ; "quand" ... et le pouvoir magique du "parfum" - Les cinq sens 2° § L'évocation de ce "voyage" est de plus en plus précise. – "rivages"... "arbres" ... tamariniers". 3° § Mais surtout le poète passe du monde physique et de la vie des sens à la vie de l' "âme". La fusion des perceptions aboutit à l'extase de son "âme". Le parfum a ouvert la voie d'un univers idéal qui parle à l'âme plus qu'à la sensibilité

L’histoire d’Onitsha se clôt après le départ d’Oya, la déesse du fleuve. L’épave – le cœur du fleuve, sombrera dans les profondeurs et Onitsha sera détruite lors de la guerre du Biafra en 1968. Nous apercevons un parallèle entre la disparition du tamarinier et celle de l’épave. La disparition du cœur soit physiquement soit au sens symbolique, signifie toujours la mort : « Maintenant qu’Oya et Okawho étaient partis, tout allait changer, disparaître comme l’épave, s’en aller dans les alluvions dorées

mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. ------------------------------------------------- ANALYSE On se trouve dans un univers assez imaginaire qui est accentué par un climat de chaleur

corps est mince et vigoureux, Et des femmes dont l'œil par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur vers de charmants climats, Je vois un port rempli de voiles et de mâts Encor tout fatigués par la vague marine, Pendant que le parfum des verts tamariniers, Qui circule dans l'air et m'enfle la narine, Se mêle dans mon âme au chant des mariniers. TEXTE 5 - « Spleen LXXVIII », Les Fleurs du Mal, BAUDELAIRE, 1861 LXXVIII - Spleen 1 5 10 15 20 Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle

/est mince et vigoureux, Et des femmes dont l’œil /par sa franchise étonne. Guidé par ton odeur /vers de charmants climats, Je vois un port rempli /de voiles et de mâts Encor tout fatigués /par la vague marine, Pendant que le parfum /des verts tamariniers, Qui circule dans l’air /et m’enfle la narine, Se mêle dans mon âme /au chant des mariniers.    « L’odeur » suscite des images visuelles en accord avec elle, correspondance de sensations, synesthésie, grâce à la même impression tactile de « [chaleur] »