Tapisserie

en profondeur Velasquez a axé la peinture de son tableau sur deux plans distincts. Le premier plan serait composé par les cinq fileuses du devant du cadre. Le deuxième plan serait composé quand à lui des dames de la noblesse madrilène et de la tapisserie représentant le mythe d’ « Arachné ». Pour permettre la distinction entre ses différents plans l’artiste utilise la taille de ses personnages pour donner l’impression de profondeur à son tableau (on le voit notamment en comparant la taille de la

déclarant aux prétendants qu'elle ne pouvait contracter un nouveau mariage avant d'avoir achevé cette tapisserie destinée à envelopper le corps de son beau-père Laërte, quand il viendrait à mourir. Ainsi, pendant trois ans, elle allégua cet ingénieux prétexte, sans que sa tapisserie s'achevât jamais ; car elle défaisait la nuit ce qu'elle avait fait le jour : de là est venue l'expression « tapisserie de Pénélope », désignant un ouvrage auquel on travaille sans cesse et que l'on ne termine jamais. Quand

soit l'actualisation d'un objet qui se transforme d'un élément matériel peint sur une tapisserie en une femme tangible, de laquelle le jeune narrateur s'est épris à l'âge de dix-sept ans. Cet événement illustre l'intérêt qu'il éprouve explicitement pour les figures ayant des allures féminines tracées sur des tableaux artistiques, soit Hercule et Omphale, puisqu'il « y avait bien d'autres personnages dans la tapisserie […] mais ils n'ont pas laissé dans [s]on souvenir une silhouette assez distincte pour

homonyme d’Alfred Tennyson. Ce poème raconte l’histoire d’une jeune femme qui n’avait pas le droit de regarder directement le monde extérieur et qui pouvait le voir seulement dans un grand miroir. Elle se mit à tisser tout ce qu’elle voyait sur une tapisserie. Un jour elle vit passer un dénommé Lancelot passer devant le miroir et tomba profondément amoureuse de lui. Elle se mit à le regarder directement ce qui déclencha une malédiction suite à laquelle elle embarqua dans un bateau sur la proue duquel

s'est installé un dialogue de sourd puis en montrant que ces textes relèvent de la comédie humaine. Tout d'abord, le comique de situation est présent dans chacun de ces trois extraits. Dans le texte de Musset, la Baronne, occupée à faire de la tapisserie, n'écoute pas l'abbé qui lui demande ce qu'elle a pensé de son dernier sermon, ce à quoi elle répond «C'est vert et rose, sur fond noir, pareil au petit meuble d'en haut.». Une situation similaire se produit juste après, lorsque l'homme d’Église

extérieur; elle était condamnée à voir le monde à travers un miroir et se mit à tisser ce qu'elle voyait sur une tapisserie. Un jour, elle aperçut le reflet de Lancelot, un des chevaliers de la table ronde, passer devant le miroir. Elle se lève, fait trois pas dans la pièce, quitte sa tapisserie, et regarde à travers la fenêtre, le monde, les fleurs...et Lancelot. Le miroir se brise. La tapisserie se déchire. L'instant est fatal. Elle sait que la malédication est tombée sur elle. L'amour mérite-t-il,

de Gautier est celle d’un partisan presque fanatique de Victor Hugo et d’un romantique échevelé. ( Il se rattache au courant littéraire et culturel du romantique et du fantastique.) Personnages :   réels : 4 ; fictifs : tous les personnages des tapisseries, plusieurs dizaines. Personnages principaux : _Théodore, le narrateur, à qui il arrive l’histoire. Il travaille dans un atelier et va passer quelques jours de vacances en Normandie. C’est lui qui parle, il n’y a donc pas de description de lui-même

diverse ( laine, peinture, papier journal, tapisserie … … ) Cette animation pourra se faire en plusieurs séances. Ces bâton de pluie pourront servir dans la salle Snoezelen, en tant qu'objet de relaxation. Cela pourra procurer une fierté de la part des résidents. PREPARATION DE L'ANIMATION : Matériels : 10 rouleaux de papier essuie tout Scotch Colle blanche Papier Cure dent Punaise Papier journal Peinture Laine Tapisserie Maïs Blé Semoule Perle Riz Ciseaux

baron est encadré par deux expressions valorisantes « un des plus grands seigneurs » et « Ils l’appelaient tous Monseigneur ». Elle est précédée par une énumération qui évoque un cadre et un train de vie luxueux : « château », « grande salle », « tapisserie », « chiens de ses basses-cours », « meute », « palefreniers », « piqueurs », « grand aumônier »- et par la répétition des adjectifs possessifs « son » et « ses » marquant que tout appartient au baron. Il est aussi dévalorisant : -« Ses palefreniers

l’histoire. Au tout début de l’extrait, Mélissa contemple la tapisserie de sa chambre et qualifie la princesse qui y est représentée comme «trop maigre» avec une robe « trop longue » (p.28). Mélissa qualifie la princesse et le faon de la tapisserie comme un « triste duo » (p.28). Ainsi, le champ lexical de la tapisserie démontre que la protagoniste n’est pas satisfaite de l’enfance et éprouve un certain dédain envers ce que la tapisserie de « petite fille » représente. Quelques lignes plus tard,