Tartuffe Le Dénouement

comprendre, mieux le lecteur comprendra l’enseignement qu’il doit tirer. Les personnages allégoriques permettent au lecteur de s’intéresser à l’histoire et de le pousser à lire jusqu’à la fin car il sera plongé dans le suspens et voudra connaitre le dénouement. C’est ce que l’on retrouve encore une fois dans les fables de La Fontaine dans lesquelles il personnifie les animaux ou les parties du corps qui représentent des classes sociales ou alors un homme en particulier tel que le Roi associé à l’Estomac

l’humanité contrairement au discours. Il frappe par son pessimisme. S’ouvre sur une longue intro sur la peste du vers 1 au vers 14. Propos rapportés au discours direct et indirect : il s’agit pour les animaux d’établir le coupable de ce fléau. Dénouement extrêmement rapide qui consiste en la mise à mort de l’innocent et suivit par 2 vers sur la morale. I- Utilisation de la symbolique traditionnelle au service de la satire et une dénonciation morale plus générale. 1) Le bestiaire et la progression

pour s’apaiser puisqu’elle propose une action qui séduit son dénouement heureux. Le spectateur sait que tout finira par s’arranger, il peut rire sans arrière-pensée des ennuis qui semblent pourtant inextricables. De plus, la comédie met en scène des sujets légers par opposition à la gravité de la tragédie ; des personnages ordinaires, généralement des bourgeois, règlent des soucis du quotidien. A l’exemple de la scène 1 de l’acte I de Tartuffe de Molière où l’on est témoin d’une dispute d’une famille

rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux. Le registre comique s'applique à des sujets ordinaires, traités dans un style familier, où souvent domine l'intention satirique et morale : la comédie "châtie les mœurs en riant", tournant en ridicule des caractères ou des vices à la mode

poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction ? 3 - Acte III scène 1 : itinérance baroque et considérations sur le monde – Sganarelle : un médecin malgré lui ? 4 - Acte V scènes 5 et 6 : le dénouement – une dramatisation surprenante des vanités ou une fin attendue ? Documents complémentaires - une œuvre picturale choisie personnellement par les élèves sur le thème de la vanité. - une œuvre picturale sur Sardanapale – Eugène de Lacroix -

moyen d’acteurs qui ne doivent pas avoir l’air de parler pour lui, lui annoncer le sujet, le temps et le lieu de l’action, lui en présenter les personnages, en expliquer les ressorts, les intérêts et les passions en présence, faire entrevoir le dénouement, avec les moyens qui ramènent et les obstacles qui s’y opposent. Les Anciens avaient, pour échapper aux difficultés au début, inventé le prologue. Dans cette exposition de l’enfance de l’art, le poète ou un personnage appelé l’acteur-prologue

DOM JUAN [ Dom = dominus , le maître , Don = titre espagnol] Présentation : 1665 = Tartuffe interdit. Dom-Juan pièce écrite dans l’urgence (difficultés financières )Il choisit le thème à la mode de D.J. ( il s’inspire de Tirso de Molina) D.J. est une pièce de combat : M. reprend ses attaques contre les faux dévots : on retrouve les thèmes de la religion , de l’hypocrisie , de l’argent , des privilèges de la naissance + le thème dominant de l’infidélité . Contexte historique : le XVII = grd siècle

Ainsi, la tragédie se propose comme visée de corriger les défauts des hommes en présentant, dans le but d’apporter une morale, des situations sans issue : les personnages, tourmentés par de fortes passions ou par un dilemme, ne peuvent éviter un dénouement malheureux. Mais la comédie, malgré son apparence légère, est, elle aussi, appropriée à corriger les vices des hommes. Tout d’abord par sa dimension critique, notamment au niveau social. En effet, le comique permet de faire passer une critique

L’auteur lui-même prend soin, alors qu’il rédige ses pièces, de mettre des indices, des didascalies ou des descriptions du personnage, mais celles-ci sont faites pour l’adaptation au théâtre de l’œuvre. En effet, les effets spéciaux, durant le dénouement de Dom Juan, prennent toute leur ampleur avec les jeux de lumières ; le jeu des dialogues, dans le malade imaginaire par exemple, ou les personnages se coupent la parole, parlent en même temps. Cette cacophonie, à l’image des éclairs ou des mouvements

amoureux 1658 : Le docteur amoureux 1659 : les Précieuses ridicules 1661 : L'Ecole des maris 1662 : L'Ecole des femmes 1664 : Tartuffe (interdite) 1665 : Dom Juan 1666 : La Misanthrope, Le Médecin malgré lui 1667 : L'imposteur (deuxième version de Tartuffe qui sera aussi interdite) 1668 : Amphitryon, Georges Dandin, L'Avare 1669 : fin d'interdiction de Tartuffe, Le Bourgeois gentilhomme. 1671 : Les fourberies de Scapin, les femmes savantes 1673 : Le Malade imaginaire. INTERET DRAMATIQUE