Tartuffe Saint Sacrement

Dissertation Dom Juan de Molière Molière, à la suite de Tartuffe interdit, n’entend pas abandonner la bataille que la cabale de la Compagnie du Saint Sacrement lui a déclarée. Ainsi en 1665 il compose une nouvelle pièce : Dom Juan, inspiré du personnage développé par Tirso de Molina en 1620. Cette pièce fascine, séduit son auditoire. Son originalité et sa nouveauté ravissent l’avidité des spectateurs. Or, la question que beaucoup de personnes se posent est la suivante : Dom Juan est-elle une pièce

et un metteur en scène du XVIIème siècle né à Paris. Il est caractérisé pour avoir marquée l’histoire du théâtre et de la comédie française. Il a écrit de nombreuses pièces de théâtre, telle que « Le Tartuffe » en 1664, pièce qui a été censurée sous la pression de la compagnie du Saint Sacrement. Il s’agit alors pour Molière de faire vivre sa troupe. Il décide de créer rapidement une pièce en prose sur un sujet à la mode à l’époque. On ne trouve pas moins de trois pièces traitantes d’un personnage

pensée ? J’ai peur qu’elle ne soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. Introduction En 1665, Molière fait représenter Dom Juan ou le Festin de Pierre. Son Tartuffe a été interdit en 1664 suite à la cabale des dévots et il a des difficultés financières. Le sujet de Dom Juan est connu de ses contemporains, car la pièce de Tirso de Molina a déjà été adaptée en France, et a été appréciée. Molière semble viser un

et critiquer par les dévots qui visent à le condamner. En 1664 il écrit Le Tartuffe, il fait l'objet d'interdit de la part des autorités ecclésiastique. Le roi doit s'incliner devant les autorités religieuses et le gouvernement de Paris. Cette interdiction de Tartuffe laisse des traces. Molière doit ré-élaborer sa pièce. On passe du pièce de 4 à 5 axes. Molière enrichi son personnage mais le déporte un petit peu. Tartuffe est une pièce proche de la farce, centré sur le troisième et le quatrième acte

fonde l’esthétique qui sera plus tard celle de la génération classique. Malherbe commence par être le disciple de la Pléiade. Dans ses vers de jeunesse, il cherche l’élégance et la splendeur de l’image. Sa première oeuvre importante : Les larmes de Saint Pierre est insprirée d’un modèle italien. Avec le temps, il se tourne vers la simplicité. Dans ses oeuvres L’Ode à Marie de Médicis, La consolation à M. du Périer, Prière pour le Roi Henri le Grand, allant en Limousin, Sonnets à Caliste, il révèle

du classicisme et l’un des plus grands dramaturges français. Louis XIV est son mécène.L’œuvre : Molière reprend Dom Juan pour gagner de l’argent après la censure de plusieurs de ses œuvres comme Tartuffe. Son personnage et l’histoire sont tirés d’une pièce créée par un dramaturge espagnol en 1630 Tirso de Molina dans laquelle il met en scène les aventures d’un gentilhomme. Cette œuvre est aussi le symbole du libertinage dont Dom Juan

mores (en riant, elle châtie les mœurs) qui apparaît sur les tréteaux italiens dès les années 1620 en France, au sujet de la comédie. Fils de Jean Poquelin, riche marchand-tapissier établi rue Saint-Honoré à Paris, et nommé tapissier du roi, Jean Poquelin est baptisé le 15 janvier 1622 à la paroisse Saint-Eustache, vraisemblablement né le même jour ou la veille[5]. Deux ans plus tard, l'enfant, à la suite de la naissance d'un frère cadet également baptisé Jean, sera appelé Jean Baptiste. Sa mère

était fini. Ecoutons-le plutôt : « — Cet homme-là est inimitable, disait-il. Il y a un vis comica dans tout ce qu’il s’avise d’écrire que les anciens n’ont pas aussi heureusement rencontré que lui ! » On rejoua le « Bourgeois » à Chambord, puis à Saint-Germain. A la fin de novembre, Molière le reprit au Palais-Royal où il remporta un vif succès avec plus de vingt-quatre mille livres pour la campagne de 1670, se hissant ainsi à la première place sous le rapport financier. Extrait du roman biographique

jansénistes de l'oeuvre Monsieur de Sainte-Colombe Il aurait été en contact avec des familles protestantes. (source:Jonathan DUNFORD, musicien américain). A partir de ces quelques informations, Pascal Quignard imagine alors un personnage musicien, austère et intransigeant, proche du jansénisme. Bien qu'on ne sache pas précisément les dates de vie et de mort du musicien, s'il est né vers 1640, le roman commence "au printemps 1650", dans le livre, Sainte-Colombe est déjà veuf et père de deux

qu'il est jeune encore, et qu'il n'a pas le courage. GUSMAN. Un homme de sa qualité feroit une action si lâche ? SGANARELLE. Eh oüy ; sa qualité ! la raison en est belle, et c'est par là qu'il s'empescheroit des choses. GUSMAN. Mais les saints noeuds du mariage le tiennent engagé. SGANARELLE. Eh ! mon pauvre Gusman, mon amy, tu ne sçais pas encore, croy moy, quel homme est D. Juan. GUSMAN. Je ne sçay pas de vray quel homme il peut estre, s'il faut qu'il nous ait fait cette perfidie