Tartuffe Scène Catharsis

qui le premier définit les règles théâtrales et les conventions que le théâtre se doit de respecter. Il se sépare en deux genres, la comédie, genre «bas», populaire qui est destiné à faire rire, et la tragédie, «genre noble» destiné à provoquer la catharsis, marquée par la mort et la souffrance des protagonistes. Au cours de son évolution, le théâtre a traversé de nombreux genres, des tragédies antiques représentant des mythes célèbres, il a évolué vers la farce au Moyen-Âge, puis la représentation

« Madame, mes camarades et moi-même tenons à vous exposer notre point de vue concernant cette pièce de théâtre que vous voulez nous faire lire. En effet, nous pensons qu’il est inapproprié de faire lire une pièce de théâtre alors que la mise en scène joue un rôle primordial. Les premières pièces n’étaient-elles pas jouer et non écrite pour le grand public ? N’étaient-elles pas des « scripts » au vrai spectacle ? C’est un fait, les pièces sont jouées depuis l’antiquité, seul le modernisme de notre

I. Dans une certaine mesure, OUI. - les libertés du metteur en scène, de l'acteur (d'ailleurs aussi appelé interprète) - le théâtre de l'absurde II. Dans une autre mesure, NON. - les contraintes du théâtre classique : règle des 3 unités, règle des bienséances - la censure - les contraintes matérielles (espace fermé, acteurs réels, temps limité... ) III. C'est l'imagination qui permet de passer à travers - les conventions du théâtre Introduction L’artiste se veut libre et a recours

Lecture analytique n° : Séquence 3 – Acte III, Scène 4 : Un retournement de situation. Molière : Jean Baptiste Poquelin, XVIIe, Classicisme. (Tartuffe, La Malade Imaginaire, Le Misanthrope) Catharsis : Façon de se soulager d’être cocu. Provient de la bourgeoisie marchande parisienne, sa famille est en ascension sociale (Père tapissier) Il a fait du droit. A 21ans, il commence le théâtre. Louis XIII lève l’interdiction de jouer. Le roi a sa troupe fixe : Troupe de l’hôtel de Bourgogne. Molière

joué, tournait en ridicule les travers humains. Il le dit lui-même  : « On veut bien être méchant, mais on ne veut pas être ridicule ». Il s'est ainsi moqué entre autres du pédantisme dans Les Femmes savantes, des faux dévots et des crédules dans Tartuffe ou l'Imposteur, de l'avarice dans L'Avare et des faux savants - il y vise en particulier la médecine - dans Le Malade imaginaire. La tragédie tente, elle aussi, de corriger les vices des hommes, ou plutôt leurs passions, de deux manières : d'abord

comiques d'une pièce de théâtre (texte et représentation) ne servent-ils qu'à faire rire ? » Par son origine religieuse, le théâtre, dès ses lointains débuts, sut jouer du sérieux et de la dérision. Si la tragédie relevait très clairement de la catharsis, la comédie n'était pas en reste pour « corriger les mœurs en riant. » Aussi est-il logique de nous interroger sur cette fonction et de nous demander « si les aspects comiques d'une pièce de théâtre (texte et représentation) ne servent qu'à faire

a. en les faisant rire b. en leur racontant une histoire c. en leur offrant des textes frappants (langage) II. Mais il permet aussi de faire naître une réflexion sur le monde (= instruire) a. En purifiant le lecteur de ses passions (catharsis) b. En transmettant des idées (fonction didactique) c. En représentant le combat de l’homme face au monde (fonction métaphysique) 2. OU un plan jouant plus sur les sens du « divertissement » (cf. Pascal) I. L’affaire du théâtre est

Ressentir des émotions II) Mais aussi pour s'instruire a) Le théâtre peut représenter la réalité b) Le théâtre est aussi un moyen de critiquer/dénoncer la société actuelle c) ? Mes textes du corpus : Racine, préface de Phèdre, 1677 Molière, Tartuffe, "premier placet présenté au roi, 1664 Aristote, La Poétique, Chapitre XIV "de la terreur et de la pitié" (Facultatif : Préface de Ruy Blas, Victor Hugo) Merci d'avance pour votre aide smile Hullaballo Delia 09/03/2013 à 14:43 Et vous, pourquoi

s'appliqua à élaborer nombre de pièces destinées à « corriger les mœurs par le rire ». Dans la préface du Tartuffe de 1669, il écrit : « Les plus beaux traits d'une sérieuse morale sont moins puissants, le plus souvent, que ceux de la satire ; et rien ne reprend mieux la plupart des hommes, que la peinture de leurs défauts. » Ainsi souligne-t-il la valeur curative du théâtre, amenant la catharsis par l'empathie du spectateur. Par exemple, dans L'Avare dudit Molière, Harpagon véritable personnification

ressente de cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie ». On retrouve cette idée de dignité dans l’expression de la souffrance notamment dans la scène 4 du premier acte d’Andromaque de Racine, un dialogue entre Pyrrhus, roi d’Epire, et sa captive Andromaque, princesse troyenne, dont il tombe amoureux. Cette scène offre au lecteur un visage de Pyrrhus impétueux égaré par l’amour, mais aussi manipulateur, contrastant avec l’image d’Andromaque, majestueuse, admirable, qui représente