Tartuffe Séduction

de la personne dont on est amoureux. Nous attendons du réconfort, de l'attention, d'être aimé, du bohneur ... Généralement on veut un partenaire qui nous complète. Souvent cela se passe même sous la forme d'un jeu ( qui peut s'appeler le jeu de " séduction " mais pas tout le temps ), dans ce jeu on joue avec " le feu ", on peut avoir une copine et jouer ce jeu avec une autre personne, on veut attirer l'attention de cette personne, on veut qu'elle nous aime car l'Homme est comme ça, il veut être aimé

Lecture Analytique Madame Bovary Introduction : Gustave Flaubert est un écrivain français né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Croisset le 8 mai 1880. Il marqua la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme et par la force de son style dans de grands romans comme Salammbô, l'Education Sentimentale ou encore Madame Bovary dont nous allons analyser un extrait. Ce roman paru en 1857 nous raconte l'histoire d'Emma une fille d'un riche fermier

à observer sa musculature ou une femme dans les salons de coiffures ou les instituts de beautés, leur beauté physique cache un vertigineux vide intérieur. Les apparences sont parfois trompeuses. La sagesse populaire nous met en garde contre les séductions de paraître « il ne faut pas se fier aux apparences », « les apparences sont trompeuses » ou encore « l’habit ne fait pas le moine » dit-on. La beauté physique ne doit pas faire illusion, d’autant plus qu’elle est éphémère et sujette aux caprices

touche directement car c’est d’elle dont parle Arlequin sans le savoir. Arlequin se faisant passer pour Dorante utilise un langage familier « pardi ! » ; « la belle » est un caractère de séduction qui renvoie à la luxure propre au valet de la comédie du XVIIIème, il utilise aussi le vouvoiement (séduction) « entretenez vous dans ce sentiment là, il pourra trouver sa place », il a un manque d’éducation : Arlequin s’adresse d’abord à Dorante au lieu de Silvia qu’il ne connaît pas alors qu'ils sont

 HISOIRE DES ARTS Les escarpins de Marylin Thème: Arts, ruptures et continuité L'artiste : Joana Vasconcelos est née à Paris en 1971 mais part vivre à Lisbonne, elle est peu connue en France, mais au Portugal on la connait pour ces œuvres audacieuses et ses interprétations de la féminité.Suivant les traces de l’artiste américain Jeff Koons, le français Xavier Veilhan

comme Sg. désapprouve sa conduite, DJ pour se justifier expose avec virtuosité sa conception de l’amour. Cette Tirade apparait comme la profession de foi du libertin. Nous verrons que DJ fait l’éloge de l’infidélité et qu’il expose sa technique de séduction. I . L’éloge de l’infidélité La critique de l’infidélité La fidélité est assimilé à la mort, comme l’indique les expressions hyperboliques (l.42) « on renonce au monde », (l.45) « s’ensevelir pour toujours », (l.46) « être mort dès sa jeunesse »

simplement chargé d’un travail de copiste, d’organisation, et de sélection des lettres. - Il met en évidence le but didactique : l’ouvrage dénonce les stratégies et la corruption morale qui nuisent aux personnes vertueuses. Double mise en garde : la séduction des libertins et le piège des confidences.  Laclos conclut un pacte avec le lecteur : il n’est pas le destinataire de l’œuvre mais se fait voyeur indiscret en lisant des lettres privées. Cependant l’avertissement de l’éditeur brouille les pistes

JULIE ROMAIN Suivant à pied un chemin longeant la Méditerranée, le narrateur découvre une jolie villa qui appartient à Julie Romain, une ancienne comédienne. Il décide de lui rendre visite... Je suivais à pied, voici deux ans au printemps, le rivage de la Méditerranée. Quoi de plus doux que de songer, en allant à grands pas sur une route ? On marche dans la lumière, dans le vent qui caresse, au flanc des montagnes, au bord de la mer ! Et on rêve ! Que d'illusions, d'amours, d'aventures passent

Séquence n° 1 TEXTE n°1 :LA PRINCESSE DE CLEVES, MADAME DE LAFAYETTE, (1678) manuel P. 190). On considère souvent La Princesse de Clèves comme le premier roman français. Ce n'est pas que le roman n'existe pas comme genre (il y a des romans au XVIIème siècle : le roman précieux notamment avec L'Astrée d'Honoré d'Urfé, mais aussi Le Roman Comique de Scarron, Le Roman bourgeois de Furetière, L'Histoire comique de Francion de Sorel) mais sa structure est très différente de celle que nous connaissons

comportements naturels. Immoralité du libertin appuyée lorsque Don Juan parle de sa satisfaction à prendre la vertu d’une femme : « à combattre [.. .]l’innocente pudeur ». Un libertin en action qui tire un plaisir à la fois physique et intellectuel de la séduction. b) Un éloge paradoxal. transformation de l’infidélité qui est un vice en vertu. Il dévalorise la fidélité : « faux honneur », soulignant l’hypocrisie d’après lui de la fidélité, par contraste l’infidélité apparaît comme véritable et