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Cette histoire se passe en Russie. Alors qu’une fête se déroule au Palais-Neuf à Moscou, le Tsar apprend une nouvelle terrible : Ivan Ogareff, prévoit d’attaquer son frère, le Grand Duc, et d’envahir la Sibérie avec son armée, les tartares. Le Tsar fait alors appel à un de ses fidèles courriers, Michel Strogoff, pour aller jusqu'à Irkoutsk avertir son frère du danger. Dans le train pour Nijni-Novgorod, Michel Strogoff fait connaissance avec Nadia Fédor, une jeune livonienne partie à la recherche

se savent pas encore « Mongols », bien qu'ils aient déjà une certaine conscience nationale et aient tenté au XIIe siècle de se fédérer. Qui oserait miser sur Temüdjin ? Il n'a que peu d'atouts et les perd d'emblée. Son père est assassiné par les Tatars en quittant les Qonggirat. Sa mère, en charge d'enfants – cinq nés d'elle et deux d'une concubine de son mari – se fait expulser de son clan et doit mener avec eux une existence vagabonde, « se nourrir d'aulx et d'oignons sauvages », « se disputer

L’histoire se passe au 19ème siècle en Russie. Un exilé nommé Ivan Ogareff veut se venger du frère du Czar: Le Grand-Duc qui est à Irkoutsk pour cela il réunit les Tartares (peuple turcs d’Europe Orientale et d’Asie) et forme une armée pour envahir la Sibérie. Le Czar au courant des projets du traître (gagner la confiance du Grand-Duc pour le tuer) va essayer d’avertir son frère, par télégraphe mais les hordes Tartares ont coupé le fil qui rejoint Moscou à Irkoutsk.

Les Tartares lituaniensnote 1 étaient des combattants musulmans regroupés en une unité de cavalerie légère de la Garde impériale, créée par Napoléon Ier et ayant servi dans l'armée française de 1812 à 1814. Descendants de familles tatares originaires de Crimée, ils furent organisés en un escadron (qui comptait dans ses rangs un imam) au début de la campagne de Russie à laquelle ils prirent part sous les ordres du chef d'escadron Achmatowicz. À la suite de la mort de ce dernier à Vilna, le capitaine

au Palais- Alcide Jolivet, et Irkoutsk. Menace contre Neuf Harry Blount le grand-duc, frère du czar. . Un traître, Ivan Ogareff, doit être intercepté. Le czar réclame un courrier. II, 11-15 La même Cabinet Le czar, Informations sur le traître Russes et nuit du czar le grand maître à l’origine du soulèvement Tartares de la police des Tartares : Ivan Ogareff souhaite assassiner le grand-duc, responsable de sa disgrâce. Nécessité de rétablir le lien entre la Sibérie et Moscou : un courrier

déclara en 1334, dans la province chinoise du Hubei et se répandit rapidement dans les provinces voisines : Jiangxi, Shanxi, Hunan, Guangdong, Guangxi, Henan et Suiyuan, une ancienne province disputée entre les empires mongol et chinois. En 1346, les Tatars de la Horde d'Or attaquèrent la ville portuaire de Caffa, comptoir commercial génois, sur les bords de la mer Noire, en Crimée, et y établirent leur siège. L’épidémie, ramenée d'Asie centrale par les Mongols, toucha bientôt assiégeants et assiégés

D’où vient la culture industrielle chinoise ? Un livre écrit entre 1335 et 1343 par le Florentin Francesco di Balduccio Pegolotti, homme d'affaires et marchand, qui n'avait jamais mis les pieds en Chine mais avait recueilli scrupuleusement les récits des voyageurs vénitiens, est probablement le premier guide pratique des affaires en Chine jamais publié en Europe. Dés le début du Moyen Âge, la Chine a exercé une véritable fascination sur l'Europe qui, longtemps, ne l'a connue que par les récits

strogoff : résumé rapide Marfa Strogoff, la mère de Michel Pierre Strogoff, le père de Michel (décédé) Nadia Fédor, compagne de voyage et future épouse de Michel Strogoff Mme Fédor, mère de Nadia (décédée) Wassili Fédor, père de Nadia, exilé à Irkoutsk Harry Blount, journaliste anglais pour le Daily Telegraph Alcide Jolivet, journaliste français correspondant pour sa cousine, Madeleine (Il utilise l'appellation de « cousine Madeleine » pour ne pas dévoiler le nom de l'agence de presse avec

les seigneurs de la Ruthénie ont mené l'État kiévien au déclin : il se divise en différentes principautés. Kiev fut saccagée par la principauté de Vladimir (1169) durant la lutte pour le pouvoir entre les princes et plus tard par les Coumans et les Tatars Mongols aux XIIe et XIIIe siècles. Par conséquent, les principautés ruthènes durent reconnaître la souveraineté des Mongols. L'autorité mongole était très cruelle, notamment en matière pénale, et le peuple a souvent fui vers d'autres pays comme la

la Russie car le nom de russes ne convient que pour 4/5 d’entre eux →Correspondance entre habitat des minorités et circonscriptions administrative loin d’être parfait ; limites officielles datent souvent de 1930 →Groupe non russe plus nombreux : Tatars (5,5 M) ; puis Tchouvaches (1.8) ; Bachkirs (1.4) ; plus petit est celui des Nénets du Taïmir (6600 personnes) qui ont droit à leur district autonome →Dans la plupat des 20 républiques « ethniques » les russes sont en fait majoritaires ; + des 2/3