Tatou

ces wagons à bestiaux pendant quatre jours et quatre nuits ensuite nous sommes passés par ces endroits aux noms étranges Des noms polonais Là il y avait beaucoup de wagons à bestiaux Ils étaient bourrés de monde Ils nous ont rasé Ils nous ont tatoué un matricule sur le bras Des flammes montaient vers le ciel - il y avait de la fumée Different Trains est une commande de Betty Freeman pour le Kronos Quartet[]. La première mondiale de l'œuvre fut donnée par cet ensemble le 2 novembre 1988[]. En

pendant la Seconde Guerre mondiale. Il explique à partir de son quotidien dans le camp, la lutte et l'organisation pour la survie des prisonniers. Ils luttent tous contre la déshumanisation dont ils sont les victimes : on leur retire leur nom, ils sont tatoués comme du vulgaire bétail. Tout au long de ce récit, Primo Levi montre les horreurs de la déshumanisation des camps. Il utilise son argumentation pour faire partager son point de vue, tout en utilisant les émotions et les sentiments pour atteindre

dix minute à pied de chez lui, il doit passer par la rue du trépas. Ce chemin ne lui inspire pas confiance, surtout le soir quand il rentre tard, car il y a toujours deux personnes louches, l'un balafré au visage, on l'appelle Jack, et l'autre tatoué sur tout le corps, on l'appelle Joe. Il opte pour cette rue plutôt que par le boulevard des étoiles car cela lui évite une perte de temps et d'énergie. Jean-Mi, comme l'appelle ses deux seuls amis, est un très bon élève, sage et appliqué dans tout

hors de lui est d'emblée culturel. La culture est l'acte par lequel l'homme se pose comme dist inct de la nat ure. Ainsi, les travaux des ethnologues nous montrent que les indiens d'Amaz onie passent de longues heures à s'épiler, à se parer, à se tatouer, pour se différencier le plus possible des animaux : l'homme interpose entre lui et l'animalité des symboles et des rites qui constitueront le monde humain. Exercice n°3 PDFmyURL.com 5. Comment penser le rapport nature / culture ? • Là où commence

n’avait même pas à penser étant enfant : de l’eau et de la nourriture. Comment son ancienne petite ville tranquille, son pays, le monde, en est-il arrivé là ? Elle s’écroule à bout de force et s’évanouit, la dernière image qu’elle voit est l’arbre tatoué sur son poignet droit. La situation Flashback, Colline a huit ans et vit dans une petite ville de la région parisienne. 7h30 du matin, elle s’éveille en nage et en panique. Son cauchemar était tellement réel. Dans son lit elle pose les yeux

fins fonds de ma mémoire, et dans chaque moindre mouvement j’évoquais ta finesse et ta présence qui me sont indispensables et nécessaires. Tes gestes, tes paroles, tes sourires, tes rires, tes regards, tes traits et tes larmes sont éternellement tatoués sur ce cœur qui t’a choisie sans ultime combat et qui ne pourra jamais se résigner ou te nier. Toi, NAWEL, le tout pour moi, et tout ce qui me resterais après avoir tout perdu dans cette vie. Toi, qui m’as appris que l’amour peut me faire sortir

artistes considèrent que l’art est un produit de consommation. Les œuvres doivent être dupliqués et touché le grand public. Elles doivent être attractives. (Andy Warhol). f) Land Art (1960-now) C’est une forme d’art éphémère (Christo) g) Body Art Tatou, peinture sur corps h) Art conceptuel (1912-now) L’artiste remet en cause la notion de beauté. On ne demande plus à l’œuvre d’être belle mais d’avoir du sens. La beauté se trouve d’avantage dans l’idée que dans l’œuvre. Les objets du quotidien

enfants et les personnes âgées sont envoyés de suite pour les chambres à gaz. Primo Levi, lui, est " apte " au travail et part pour le camp de Monowitz. Une fois là-bas, les prisonniers subissent les étapes destinées à la " perte de l'identité " ; On tatoue un matricule sur leur bras, on leur supprime tous leurs biens ainsi que leurs vêtements. On rase également leurs cheveux et on les passe aux douches désinfectantes (seule et unique douche qu'ils prendront durant leur internement). Après ces

penser au mur de Berlin séparant en 1989 Berlin-Est et Berlin-Ouest (la RDA et RFA), à des caisses empilées évoquant les cimetières espagnols ou des urnes funéraires. Ici, les personnes sont que des numéros, cela fait peut-être référence aux déportés tatoués par les allemands qui les considéraient comme des numéros, sans nom, sans identité. On peut aussi faire le lien avec le titre "Personnes" qui évoque l'anonymat. Sur le mur, on peut apercevoir les ombres des visiteurs qui sont projetés formant ainsi

étaient vingt et cent". On le voit aussi dans le deuxième couplet: "Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres". En effet les hommes et les femmes déportés étaient privés de leurs identités. Ils étaient rasés et avaient un numéro tatoué sur leur bras pour être identifiés. Il semble qu’à travers cette chanson, Jean Ferrat cherche à leur redonner une identité. Dans le quatrième couplet, les déportés ne sont plus "Ils", ils sont "Jean-Pierre", "Natasha" et "Samuel". Jean Ferrat parle