Tautologie

Autrement dit P ⇔ Q vaut V si et seulement si P et Q ont la même valeur. D’après le paragraphe précédent, pour toute proposition P , (¬¬P ⇔ P ) vaut vrai. Une proposition qui est vraie quelle que soit la valeur de vérité de ses composants est une tautologie. En Pascal, l’équivalence s’exprime avec l’opérateur “=” comme dans l’instruction : “if (i=0)=(j=0) then dosomething;” P 0 0 1 1 Q 0 1 0 1 P ⇔Q 1 0 0 1 mais attention à ne pas confondre cette égalité avec l’égalité numérique3 ! Exercice : Quels

............................................................................... 3 les Pléonasmes ............................................................................................................................................... 3 Tautologie...................................................................................................................................................... 4 les Anglicismes ...........................................................................

« Comment faire la science si on n'accepte pas la validité des inférences inductives ? » La tautologie : Si A et B sont identiques alors A=B : conclusion supposée dans l'énoncé, c'est un cercle sans fin. La tautologie traduit un principe d'identité. Les tautologies sont des inférences logiques parfaites. La réponse est en quelque chose comprise dans la question. Une proposition analytique, une tautologie est distincte de la proposition synthétique. Cette distinction est reprise de Kant, précurseur

(Copernic) la première hypothèse, soit elle invalide la question suggérée pour son intérêt, soit elle réduit la question à une tautologie ce qui revient à la même chose. Soit la question visait à celle du possible dans le champ des possibles de l'univers et donc démontre la mal formulation de la question. La deuxième hypothèse si l'on veut éviter le piège de la tautologie, nous contraint non d'étudier la question de la possibilité qu'il me serait faite à moi-même de penser, puisque nous avons déjà

La stylistique 1. Figures de mots. a. L'allitération: «Une saucisse sachant sécher doit sécher sans s'assécher.» répétition de 2 consonnes le e et le s. b. Tautologie: «elle est bonne et en plus elle est bonne.» il s'agit d'une fausse démonstration affirmation redondante. c. Homéotéleute: «pas d'erreur, c'est lessieur.» c'est une figure de diction dans laquelle on utilise des mots de même sonorités finales dans des fins de phrases ou des membres de phrases. d. Paronasme:

jalousie Si elle est laide, elle déplaît Donc il ne faut point se marier ! - les arguments de mauvaise foi : la tautologie est un raisonnement en cercle vicieux ; le prétexte est une fausse raison invoquée pour se tirer d'un mauvais pas ; l'argument ad hominem s'appuie sur la personnalité de l'adversaire pour le condamner. Exemples : 100% des gagnants ont tenté leur chance ! (tautologie) Rousseau est un mauvais philosophe, parce qu'il a abandonné ses enfants à l'hospice. (argument ad hominem).

n’arrive pas à annoncer la tragique nouvelle), s’oppose à la crudité de la réplique suivante « Votre mari est mort » (l.6) énoncée sans émotion, sans aucun pathos. Enfin, la tautologie « le pauvre défunt est trépassé » (l.8) prête à rire et brise le tragique de l’interjection qui précède « hélas oui » (l.8). De plus, cette tautologie constitue un euphémisme inutile et dérisoire puisque Toinette a déjà annoncé brutalement la réalité. Par conséquent, Toinette met en place une scène de comédie dans la comédie

celle-ci ne s’applique que sur des propositions déjà admises ou démontrées. Elle est donc en un mot : trouver sans faire trop d’effort. A cela, elle associe donc une tautologie, une rigueur et une fécondité. II-2-1-1-Déduction et Tautologie. Si donc la déduction est de trouver un résultat sans fournir d’énormes efforts, la tautologie quant à elle est celle qui fait voir qu’une proposition a été démontrée. Autrement dit : « démontrer une proposition, c’est faire voir qu’elle est tautologique par

réel, ce qu'elles expriment est plutôt la forme de notre pensée. ne dit rien de ce qui existe : dans tous les mondes possibles l'expression est vraie. C'est une tautologie logique : sa table de vérité ne donne que la valeur « vrai » (ou 1). Le statut que le Tractatus confère à ces énoncés est très original. En réalité les tautologies ne sont pas littéralement « vraies ». Pour qu'une proposition soit vraie il faut qu'un fait lui corresponde. La proposition vraie situe le monde réel dans l'ensemble

souligner une idée par effet de contraste. (ex : “a vaincre sans péril, on triomphe sans gloire”) Comparaison : figure de style qui consiste à rapprocher un comparé et un comparant, par l’intermédiaire d’un outils comparatif. * Tautologie/double sens : Tautologie : répétiion d’une même idée en termes différents. (ex : monter en haut, au jour d’aujourd’hui, 100% de nos clients achètent chez nous, …) Double sens : figure de style semblable au calembour, dans lequel une expression orale peut être