Taux de mortalité

million en 1900). Une fois ce constat réalisé, différentes raisons s’imposent a nous. Le recul de la mortalité infantile, est effectivement très important. En effet, en 1700, le nombre de décès d’enfants de moins de 1 ans pour 1000 naissances est de 300. Ce nombre de décès chute à environ 140 en 1900, il a donc était divisé par plus de 2 en l’espace de 2 siècles. Parallèlement a ce phénomène, le taux de natalité a certes suivi la même courbe mais de façon beaucoup moins importante. De ce fait, nous

suppose qu’il n’y a pas de migrations. L’évolution de la population est donc décrite suivant l’équation : dN (t) = naissances − morts dt De plus, on suppose que le taux de natalité et de mortalité de la population sont proportionnels à la taille de la population. Ainsi si l’on note respectivement b et d le taux de natalité et le taux de mortalité on a : dN (t) = bN (t) − dN (t) dt Ce qui nous donne en mettant en facteur N (t) : dN (t) = rN (t) dt avec r = b − d On obtient ainsi une équation différentielle

publique basées sur l’observation et la description d’une situation sanitaire précise (épidémiologie descriptive). Ce type d’approche de l’épidémiologie, privilégiant la description d’une association entre mode de vie et une maladie, compare le taux de mortalité ou morbidité de sous groupes de la population. Exemple : choléra. Epidémiologie étiologique : consiste à démontrer des hypothèses. Dans le cas du choléra, l’hypothèse est : l’eau d’un tel village est plus mortelle que celle d’un autre. Pour

qui n’ont pas travaillés il y a le minimum vieillesse (=RSA) Marché du travail : C’est un lieu fictif, l’offreur est l’actif et le demandeur est l’employeur. Papy-boom : vieillissement de la population. Taux de natalité : naissance sur 1 000 Taux de mortalité : mort sur 1 000 Taux de fécondité : nombre d’enfant par femme Productivité : C’est la capacité de production à produire. Les facteurs de production sont : le travail, le capital variable (: matières premières) et l’innovation.

Competition intraspecifique C’est le moteur principal de régulation des populations, elle varie en intensité suivant la densité de population. La competition intraspecifique est tout le temps negative mais n’engendre pas desuite un mortalite. On en distingue 2 types : Competition de reproduction Competition de combat Competition de combat_ : _ Un individu, un couple, ou une pop.. s’approprient un territoire qu’ils defendent contre des individus differents ou

est-on ? 1. 1990 :87% 2. 2011 :97% 3. 2015 :100% Objectif 4 : Objectif en détail Mortalité infantile:réduire le taux de mortalité infantile des enfants de moins de 5 ans de prés de 2/3 Enjeux : Essayer de réduire le taux de taux mortalité chaque année pour les enfants de moins de 5 ans qui sont évitable. Améliorer les conditions d'accouchement et la santé maternelle. Réduire le taux de pauvreté pour que les risque de décès diminue dans les zones rurale. Où en est-on ? 1990:89%

être atteinte Nombre de personnes décédées Incidence = Population totale pouvant décéder Nombre de personnes atteintes Prévalence = Population totale pouvant être atteinte Ici, sont résumées les 3 principales unités de mesure. L’incidence et la mortalité servent pour la connaissance précise de la maladie cancéreuse et de ses causes. La prévalence a surtout un intérêt pour étudier les besoins en soins d’une population. / an / an / an Statistiques en France Certificats de décès Les certificats

Implications Programmatiques Malnutrition et mortalité infantile : I M P L I C AT I O N S D E S N O U V E L L E S D O N N É E S P O U R L E S P RO G R A M M E S Introduction Généralement, les interventions nutritionnelles visent des enfants souffrant de malnutrition grave. Les coûts élevés du traitement et de la récupération de ces enfants ne laissent que peu de ressources pour traiter de problèmes de malnutrition moins graves. Et pourtant, une analyse récente de 28 études épidémiologiques publiée

l'industrialisation, ce qui permet de nuancer les liens entre démographie et révolution industrielle. La transition démographique correspond à une période de déséquilibre entre les taux de natalité et les taux de mortalité. Avant que ne débute la transition démographique, le régime démographique traditionnel est celui d'une natalité et d'une mortalité fortes qui se compensent. Les progrès humains se caractérisent par la raréfaction des famines et le meilleur traitement des épidémies, parfois combinés à une absence

population européenne. Longtemps, la population européenne a connu une croissance très lente. Une natalité et une mortalité élevées expliquaient cette situation. Au XVIIIe siècle, le taux de mortalité devient plus faible grâce aux progrès agricoles, à ceux de l'hygiène, à la découverte de nouveaux vaccins. La population en Europe connaît alors une croissance exceptionnelle, car le taux de natalité demeure élevé. Plus tard, lorsque le nombre de naissance diminuera et rejoindra le nombre de décès, c'est-à-dire