Taux de mortalité

assez d’actes chirurgicaux. Les allocations de ressources, est-ce que l’on en crée ou pas ? Tout cela peut être remis en question du jour au lendemain. Démographique : population jeune ou vieille, rurale, urbaine, mixte, féminine, masculine, le taux de migration… Economiques : ce que gagnent les personnes, sont elles en capacité de financer les soins (ophtalmologie et dentaire) Ecologiques et géographique : stress et pollution des villes, richesse naturelles du pays (eau, électricité, transport

hommes ? La première question peut trouver des réponses grâce à la démographie. A. Guillard : «Histoire naturelle et sociale de l’espèce» 1855. La démographie est l’analyse mathématique des populations, de leurs mouvements généraux (natalité/mortalité/...) et de leurs états (effectifs/Composition âge, sexe/...). Il y a à la fois une dimension qualitative et quantitative dans cette définition. Concernant la seconde question, seul le travail humain est en mesure de satisfaire les besoins, d’où

annuelles par mille hab Tx mortalité= nbe de décès annuels par mille hab Accroissement naturel= naissances-décès annuels par mille hab Voir le schéma d’Adolphe LANDRY de 1934. Ce schéma explique qu’il y a d’abord une période de pré transition, ctd d’un ancien régime démographique (celle de l’Europe est un taux de natalité et de mortalité très hauts, avec un accroissement naturel très bas), puis une période de transition démographique, à séparer en deux phases : • Phase 1 : le taux de natalité est quasi

est qualifiée de type ancien car elle à la fois une natalité et une mortalité élevée et aussi par une extrême sensibilité conjoncturelle. Le contexte politique ou climatique influençait considérablement la vie des gens. Une mauvaise moisson du à un mauvais temps déclenchait une crise de subsistance et une surmortalité de la population. C’est ainsi que la France avait une croissance très irrégulière en raison de ses crises de mortalité. A partir de 1750, on constate à la fois une croissance de la population

diminué de 16 %. De 1980 à 1993, le PNB du Sénégal a augmenté de 2,3 % par an, soit nettement moins vite que la croissance démographique. Le redressement des indicateurs macro-économiques après la dévaluation de 1994 ne doit pas faire illusion. Le taux de croissance de 5,5 % estimé en 1997 et 1998, résulte surtout d’un effet de rattrapage, les investissements ayant été trop longtemps repoussés. Les effets positifs de la dévaluation du franc CFA risquent fort de s’estomper rapidement2. C’est dans

développement économique. Cible 4 : Eliminer les disparités entre les sexes dans les enseignements primaire et secondaire d’ici à 2005 si possible et à tous les niveaux de l’enseignement en 2015 au plus tard. Réduire la mortalité infantile Au Sénégal, le taux de mortalité des enfants de moins de 5 ans reste élevé malgré une baisse très importante durant ces dernières années. Les principales causes sont les maladies diarrhéiques, la malnutrition, le paludisme, les infections respiratoires et

entre les évolutions démographiques françaises et anglaises Quelques indicateurs statistiques : accroissement naturel ou solde naturel (différence entre le taux de mortalité et le taux de natalité, en %), taux de mortalité infantile (nombre de décès d’enfants nés vivants avant qu’ils aient atteints l’âge d’un an), taux de natalité, taux de mortalité Notion à définir : Transition démographique Quelques idées : La France amorce sa transition démographique dès le XVIIIe siècle, bien avant les autres

population mondiale. II/L'essor de la population européenne -Longtemps, la population européenne a connu une croissance très lente. Une natalité et une mortalité très élevées expliquent cette situation. -Les XVIIIe et XIXe siècles marquent un tournant: les progrès de l'agriculture, de l'hygiène et de la médecine permettent de faire reculer la mortalité. La population européenne connaît alors une croissance exceptionnelle, avant de se stabiliser au XXe siècle du fait d'une baisse de la natalité. Elle

Au total, le taux de natalité est passé de 21,3 pour mille habitants en 1947 à 12,5 pour mille en 1995 ( graphique 2). Grâce aux progrès médicaux, la mortalité a reculé à tout âge de 1946 à 1995. L’espérance de vie à la naissance a gagné une quinzaine d’années, passant de 60 à 74 ans pour les hommes et de 65 à 82 ans pour les femmes. Le nombre de décès est resté stable, entre 500 000 et 550 000 par an ( tableau 1) . La population étant en constante augmentation, le taux de mortalité a baissé de 13

l'espérance de vie à la naissance, à 60ans ou à 65ans l'Oise à l'espérance de vie la plus élevéé de la picardie alors que l'Aine a la plus faible. b. La principale cause de mortalité et la mortalité par maladies cardio-vasculaires suivie par la mortalité par cancers, la mortalité prématurée, et la mortalité générale. La mortalité est plus importante chez les hommes que chez les femmes quelque soit la cause. c. Les principales maladies en Picardie sont les maladies cardio-vasculaires, les cancers