Taux effectif global

l’analyse quantitative - l’analyse qualitative I. ANALYSE QUANTITATIVE 1. Analyse descriptive du compte de résultat Il y a deux formules pour calculer le résultat global d’une entreprise : Résultat global= situation nette au 31/12/N – situation nette au 01/01/N Situation nette= actif nette comptable (richesse au 31/12- richesse au 01/01) Résultat global= total produits -total charges Ces deux formules présentent l’inconvénient de ne pas fournir les composantes du résultat. Pour pallier à cette insuffisance

économique Le marché = le lieu de rencontre de l’offre (production) et de la demande (consommation). Les caractéristiques d’un marché : * Degré d’atomicité: pour l’offre (ou la demande) c’est le nombre d’offreurs (ou de demandeurs) et leur poids effectif c'est-à-dire leur part de marché. * Cela permet de savoir qui maîtrise le marché et les rapports de force entre les entreprises. * Degré de fluidité: un marché fluide = on peut en sortir ou y entrer facilement (pas de barrières). *barrière

du personne/volume de production ou d’activité….). Parmi les indicateurs susceptibles de la mesurer on pourra retenir : D’abord, le ratio d’efficience : résultats obtenus(économiques) et ensuite, la mesure des rendements, la valeur ajoutée/effectif, le cout des ressources Moyens humains Humaines/résultats économiques (VA, production…). L’efficacité sociale d’une organisation vise à mesurer la performance sociale ou en d’autres

secteur, mais les perspectives globales se maintiennent à un niveau bas. Le secteur du Bâtiment et des Travaux Public se trouve dans un climat défavorable pour la première fois depuis fin 2010, avec une perte de deux points. Selon les entrepreneurs, cette baisse devrait se poursuivre. L’activité passée a été plus faible que l’activité prévue à trois mois et les effectifs ont diminués de 3 à 4%. L’activité d’octobre ne permet d’assurer que 6,6 mois de temps plein des effectifs. Parallèlement à une difficulté

L’impôt sur le revenu (IR) a connu d’importantes réformes au cours de ces dernières années. Abaissement du taux marginal d’imposition, refonte des tranches du barème et de leurs taux, relèvement de l’abattement pour frais professionnels..., les changements opérés sont nombreux. Leur but était d’améliorer le pouvoir d’achat du consommateur marocain et de réduire les charges salariales pour les employeurs en vue de booster les créations d’emplois. L’impact a été concret, et des centaines de dirhams

être domestique ou international, par transfert de fonds ou notionnel Les sociétés d’un même groupe sont amenées à mettre en commun leurs disponibilités financières afin d’optimiser la gestion de la trésorerie globale. Objectifs - Réduire l’endettement global à court terme - Optimiser les soldes créditeurs (dans les pays où la rémunération des soldes créditeurs est interdite) - Optimiser les soldes débiteurs par l’élimination des découverts, générateurs de frais financiers

EMPLOI 11 - Effectifs • Effectif total au 31/12 (I1) : tout salarié inscrit à l'effectif au 31/12 quelle que soit la nature de son contrat de travail • • • • • • • • Effectif permanent (I) : les salariés à temps plein, inscrits à l'effectif pendant toute l'année considérée et liés par un contrat de travail à durée indéterminée (on Nombre de salariés liés par un contrat de travail à durée déterminée au 31/12 (I) Effectif mensuel moyen de l'année considérée (I) : Somme des effectifs totaux

d’informations financières, ¾ Les personnes qui les établissent seront jugés sur l’information qu’ils fournissent, que ce soit dans ou hors de l’entreprise. Pour résumer ces différences on peut dire que le business plan est une technique de prévision globale à moyen terme qui traduit les grandes évolutions stratégiques de l’entreprise. Par contre, le budget est une prévision à court terme, élaboré dans l’objectif de mettre la gestion de l’entreprise sous contrôle. Partie II : Le business plan, un

DISTRIBUTION AMELIORER L’EFFICIENCE OPERATIONNELLE AMELIORER LA GESTION DE LA DEMANDE Renforcer les processus et la performance du management logistique Développer un Management global de la gestion des flux 49 14/02/15 Aligner la stratégie des unités opérationnelles sur la stratégie de l’entreprise ORGANISATION GLOBALE RENFORCER LE RD RENFORCER ER DEVELOPPER LE PARTENARIAT FOURNISSEURS 50 RENFORCER LE MARKETING RENFORCER LE COMMERCIAL DEVELOPPER L’ECOLABORATION RENFORCER LA DISTRIBUTION DEVELOPPER

L'euro trop fort Le taux de change effectif (Le taux de change effectif est le taux de change d'une zone monétaire, mesuré comme une somme pondérée des taux de change avec les différents partenaires commerciaux et concurrents) s'est apprécié de 30% depuis 1999 alors que celui des autres grandes devises a baissé. D'où un problème de compétitivité des entreprises françaises sensibles à la compétitivité prix. En outre, depuis l'introduction de l'euro, on ne peut plus jouer sur le taux de change pour doper