Taux marginal de substitution

X1 1. Préférences cardinales Les préférences cardinales d’un consommateur sont les préférences que ce dernier est capable de mesurer, de quantifier. Après avoir expliqué plus en détails ce principe, nous analyserons les concepts d’utilité marginale et de maximisation de l’utilité cardinale d’un panier de consommation. Nous aborderons également la distinction entre biens divisibles et biens indivisibles. * Concept d’utilité cardinale Dans ce chapitre, on supposera donc que le consommateur

⋅ x2 7 R = 50, 1.  2.  3.  p1 = 2, p2 = 5 Calculer le TmS. Ecrire formellement le problème du consommateur. En utilisant la méthode de substitution, trouver le panier qui maximise l’utilité. 1  2/02/10  Présentation générale Exercices Exercice 1 Exercice 2 Exercice 3 Exercice 4 1.  Taux marginal de substitution : taux auquel le consommateur est disposé à échanger une quantité de bien contre une quantité d’un autre bien, tout en conservant la même satisfaction. Satisfaction

consommées => « les fonctions économiques ne sont pas continues parce que la nature économique fait des sauts » Utilité totale et utilité marginale des biens : on raisonne sur un consommateur et un produit donc u = f(x) Quand la quantité de la consommation augmente, l'utilité totale augmente aussi mais d'une manière non proportionnelle, elle augmente à un taux décroissant. Quand la quantité de la consommation atteint le fameux point de satiété alors l'utilité totale atteint son maximum. Au-delà de

l’analyse néoclassique : * Le taux d’intérêt * La hausse des prix * Le cycle de vie * Le revenu permanant A) Le taux d’intérêt : La propension a épargné c'est-à-dire l’augmentation d’épargne induite par la hausse du revenu. Elle est considérée comme une fonction croissante du taux d’intérêt. Par ailleurs la hausse du taux d’intérêt entraine une augmentation de la rémunération des placements d’où une incitation à épargner. Enfin la hausse du taux d’intérêt, réduit le cours des titres

inférieure à 0. Il existe 3 raisons à cette décroissance de la demande : * raison relative : lorsque le prix d’un bien augmente, toute chose égale par ailleurs, mon revenu diminue. * L’effet revenu  * L’effet de substitution : le ménage va tenter d’opérer une substitution de ce bien par un autre lui étant équivalent. Il va donc essayer de trouver un produit moins couteux. * Fonction d’offre : Cette offre conduit à une fonction d’offre qui établit une relation entre la quantité offerte

Certains courants de pensée soutiennent cette thèse  l' exemple de l'école néoclassique.  Si dans une entreprise, il y a des inégalité de salaires, c'est à cause des différences de productivité. Car la rémunération se fait à la productivité marginale. Mais en même temps les inégalités sont facteurs de productivité. S'il y a une répartition inégalitaire, c'est la production qui augmente. La taille de la production est liée aux modalités de sa répartition.  Dans ce raisonnement il est normal

e,
le
bancor.
 1946
Crise
cardiaque
 Auteur
atypique
et
très
hétéroclite
dans
ses
fréquentations,
homosexuel,
homme
d’arts
 et
de
lettres
(fréquentation
des
artistes
de
son
temps)
==
pensée
riche.
 
 
 Sa
pensée
 Mots
 clés
:
 Demande
 effective,
 taux
 de
 salaire
 réel
 et
 nominal,
 chômage
 involontaire,
 Prolongements
:
causes
du
chômage,
rôle
de
la
demande
et
des
salaires.
 
 Keynes
est
un
auteur
entre
continuité
et
rupture.
 Continuité
 car
 il
 partage
 avec
 ses
 prédécesseurs,
 les
 classiques

principe de la rémunération des facteurs de production à la hauteur de leur productivité marginale. § 1 - L'analyse néo-classique de l'équilibre A) L'analyse en concurrence parfaite -1- Les offre et demande de travail a) L'offre de travail • L'arbitrage travail / loisir : à l'équilibre, le TMS travail - loisir pour l'individu est égal au taux de salaire du marché. • Selon que c'est l'effet de substitution ou celui de revenu qui prédomine, la courbe d'offre de travail peut être normalement croissante

individuellement. Elle s’intéresse aux individus, aux ménages et aux entreprises, et à leur comportement d’échange sur les marchés. -la macroéconomie qui étudie l’économie comme un tout. Elle s’intéresse aux grands agrégats économiques, comme le PIB, le taux de chômage, l’inflation, la croissance économique… Notion essentielle : la rareté : écart entre ce que les gens désirent et ce qui peut être produit. (les facteurs de production, travail, terre.., ne sont disponibles qu’en quantité limitées, il

le capital) soit égal à son produit marginal. Le salaire est donc considéré comme une dérivée de la production marginale du travail; le taux de profit (ou taux d'intérêt) est égal au produit marginal du capital investi. Un deuxième postulat de base veut qu'une variation dans le prix d'un facteur de production entraîne une augmentation de l'utilisation de ce facteur de production. Selon la loi des rendements décroissants, cette hausse réduit le produit marginal (habituellement équilibré). Piero