Taxi Driver

New York que d’habitude ! Il fronça les sourcils, regarda les piétons, les voitures, les immeubles, sans parvenir à repérer l’anomalie. Nerveusement, il tripota le bouton de la radio pour trouver une station locale : … des milliers de chauffeurs de taxi ont débrayé ce matin à Manhattan pour une durée de quarante-huit heures afin de protester contre le projet municipal de rendre obligatoires les navigateurs GPS et les terminaux de carte bancaire… Voilà ce qui manquait au décor et rendait la circulation

souvent assez froid voire mauvais. On les pense responsables de l’échec. Ils reviennent donc sans avoir obtenu une formation meilleure, hanté par les souvenirs du Vietnam. La mauvaise image de ce groupe est relayée par Hollywood avec un film comme Taxi Driver où le « Vet » est un psychopathe. 2 tendances existent : la marginalisation mais aussi la pitié : on les plaint, thérapies,… Une évolution est cependant notable avec le temps. * Les réfugiés arrivent du Vietnam, fuyant le communisme. Le gouvernement

contre des objets ou des personnes. 12 Collapse in a Garden, série Dream evokes Surrealism, 1995 © David LaChapelle 13 VIOLENCE AS ENTERTAINMENT LaChapelle reconstruit librement certaines séquences les plus connues de deux films cultes : Taxi driver (1976) de Martin Scorsese et Scarface (1983) de Brian de Palma. Les images sont le miroir d’une société violente dans laquelle la marginalisation et les frustrations apparaissent dans des plans parallèles. Des scènes de truands (gangsters), prostitutions

guerre est impopulaire, mais également à cause de la médiatisation télévisée du conflit. L’immédiateté des images séduit davantage que la fiction cinématographique. Après la fin de la guerre, le sujet passionne aussi peu les spectateurs, hormis Taxi Driver (M. Scorsese, 1976) et Le retour (Coming Home, A. Ashby, 1978) qui évoquent chacun différemment la condition des vétérans. A l’exception de ces deux oeuvres, les autres films passent inaperçus. Certains, comme Le merdier (Go Tell the Spartans

| | | | |-Etre vendeur à la sauvette | | | |Informel |-Faire la moto – taxi | | | | |-Appuyer les savoir- faire locaux | | | |Formation

est le fruit d’un coup de génie mené en main de maître par Dietrich Mateschitz, dandy autrichien qui découvre en Asie dans les années 80’ un sirop nommé Krating Daeng (buffle rouge en thaïlandais). Initialement consommé par les chauffeurs de taxi locaux et les routiers afin de rester éveillé, Mateschitz flaire tout de suite l’aubaine que pourrait représenter ce breuvage miracle dans les sociétés modernes où le temps est denrée rare et les villes sans cesse en activité. Il décide alors

effectivement "normaux" chez des personnes qui ont vu tant d'horreurs. Cependant, il s'agit de critiquer ce cliché du vétéran violent. Le vétéran américain n'est pas toujours le Rambo furieux chargé de détruire une ville, ou le justicier dérangé de Taxi Driver de Martin Scorsese ou de Land of Plenty de Wim Wenders. Cette violence est essentiellement dirigée vers eux-mêmes, liée au traumatisme des combats. Cette mythologie a contribué à la marginalisation des vétérans. Les vétérans sont oubliés à leur

Impact an, ein Film, in dem eine .44 Magnum vorkommt, dieselbe Waffe, die Vinz in diesem Moment bei sich trägt. In anderen Szenen imitiert Kassovitz amerikanische Filme. Vinz zum Beispiel spielt vor dem Spiegel eine bekannte Szene aus dem Film Taxi Driver (1976) von Martin Scorsese nach (Oscherwitz 2006:240). Neben all diesen Merkmalen, die La Haine mit dem cinéma de banlieue gemeinsam hat, finden sich allerdings auch einige Unterschiede. Ganz passt der Film nicht in das Genre der banlieue Filme

heure et demi pendant laquelle s’est concentré sur ses coups de bras, de mettre en place du jeu sous forme de duel où l’objectif est de laisser faire le corps. Le travail de l’acteur qui se documente et travail son rôle tel que Robert de Niro pour Taxi Driver. En conclusion, il faut trouver le bon équilibre entre la recherche et la créativité. Etre dans la zone, cela peut être : Je n’espère rien, je ne regrette rien, je suis libre. J’ai vidé mon esprit de tout jugement. Je suis plongé dans ma bulle

par les américains. En effet, les américains prônent leurs voitures, tous les déplacements se font via leurs voitures. Les aménagements sont faits pour engendrer ce phénomène comme par exemple les drives qui prennent une très grande place dans la vie des américains. Les infrastructures disposent de drives tels que McDonald’s, les pharmacies, les grandes surfaces de distribution, etc… La voiture aux Etats-Unis est aussi signe de prospérité et de réussite pour les américains, à l’image du pays grâce