Taylorisme Et Fordisme En Europe

les phrases citez en fin de discours politique ou écrites sur la monnaie. Les américains pensent avoir été choisis par Dieu pour jouer un rôle envers les autres nations et dictent leurs convictions. C’est ainsi que sont nés le TAYLORISME (séparation des travaux), le FORDISME (fabrication à la chaine) repris par l’ensemble du monde pour l’industrialisation. Les états unis ont aussi un PIB égal à 28% du PIB mondial, ils maitrisent la mondialisation en tenant le FMI et l’OMC ainsi que la plupart des

les années 1910, un nouveau mode de production appelé le fordisme. Celui-ci reprend en partie les théories de l’ingénieur Frederick Taylor (appelées Organisation scientifique du travail ou taylorisme) en généralisant le travail à la chaîne et l’intéressement des ouvriers afin de leur faire accepter l’augmentation considérable des cadences de travail. L’automobile poursuit son essor après la Seconde guerre mondiale, notamment en Europe, où les grands constructeurs se mettent à leur tour à

1932, lors de la conférence de Lausanne, supprime définitivement les réparationsÞ la Frce et la GB refuse de s’acquitter de leurs dettes envers les USA d- Les crises monétaires La GB est confrontée aux csq des crises financières en All et en Europe centraleÞson éco est fortement handicapée par la surévaluation de la livre qui se traduit notamment par une balance des paiement déficitaire Þle Gouv britannique est contraint de suspendre, le 21 septembre 1931, la convertibilité de la livre en or

les regles du ministere d'education. Ils sont elus par des concours Les organisation burocratiques se developpen au 20 e s, constitution des tres grandes administrations. TD4:la burocratie va se traduire dans l'entreprise par le Taylorisme et le Fordisme = leTaylorofordisme. Document 1: 1) Pour Taylor le principal problème de l'organisation traditionnelle du travaill est la flânerie des ouvriers qui ralenti la production. 2) l'origine de ce probleme est la mauvaise organisation

augmente puis on les revend). L’OST (organisation scientifique du travail) : elle est issue du taylorisme et se traduit par l’invention d’une nouvelle façon de travailler : le travail à la chaîne, il permet d’augmenter la productivité du travail (temps nécessaire à la fabrication d’un produit). Cette OST s’est développée dans l’industrie automobile : le 1er à l’avoir adopté est FORD en 1913, c’est le fordisme (travail à la chaîne + salaires élevés : le salaire des ouvriers leur permet d’acheter des voitures

parallèlement, faisant naître les « pays noirs ». Le phénomène industriel se diffuse assez vite à l’Europe du Nord, en particulier autour du Rhin qui constitue le grand axe industriel européen. Vers 1930, l’industrie s’est largement diffusée en Europe (surtout au Nord cependant), et s’est diversifiée : on trouve des usines textiles, sidérurgiques, mais aussi de plus en plus des usines de construction automobile, ferroviaire, chimiques… L’Europe se couvre de routes et de chemins de fer indispensables

développement durable. Investissement immatériel, investissement public. – Épargne, innovation de procédé, de produit et organisationnelle, recherche-développement (R & D), autofinancement, financement externe, destruction créatrice. – Qualification, taylorisme, fordisme, toyotisme. – Contrat de travail. – Rendements croissants, marché interne/ externe du travail. 2. Inégalités, conflits et cohésion sociale : la dynamique sociale Thèmes – Stratification sociale et inégalité (durée indicative : 5 semaines)

l’accroissement de nombreux facteurs de production. Elle prit son envol au Royaume-Uni sous l’époque victorienne, grâce aux innovations technologiques et aux nouvelles inventions telles que la machine à vapeur. Elle se dispersa un peu plus tardivement en Europe occidentale et aux Etats-Unis, n’empêchant pas ces derniers de prendre la place au Royaume-Uni de leader économique après 1918. Cependant, cette croissance n’a pas toujours été continue et reste nuancée. Elle fut marquée par plusieurs événements la

« troisième révolution industrielle » des années 1970, la révolution Internet, qui marque déjà une première rupture en ce sens qu’elle suppose une nouvelle organisation du travail. Celle-ci, et ce sera notre deuxième rupture, se distingue du taylorisme et du fordisme de l’ère industrielle, anéantis par des contradictions à la fois interne et externe ; elle repose pour sa part sur le toyotisme et se veut un modèle qui s’adapte rapidement à la demande dans un processus productif optimisé et de qualité.

armées de l'OTAN, voyage en URSS, reconnaît la chine de Mao (communiste), mais cependant De Gaulle reste du côté Ouest notamment en condamnent l'URSS lors de la crise de Cuba. De Gaulle se méfit aussi de la constitution Européen, il veut bien une « Europe des patries » où l'Allemagne et la France serait les moteurs mais refuse l'entré de l'Angleterre qu'il qualifie de « cheval de Troie » des Américans. Mais le plus important est qu'il achève la décolonisation de l'Afrique en douceur en 1960 et devint