Taylorisme Et Syndicalisme

l’organisation est aussi marquée par : Peur du face à face Peur du face à face Elitisme Elitisme Centralisation étatique Centralisation étatique Modèle culturel Modèle culturel Fidélisation du salariat Fidélisation du salariat Syndicalisme historique Syndicalisme historique Rojot : Une organisation c’est : * Unité/ Système * But/Création/Emergence * Liens/Interactions * Division/Regroupement/Coordination * Membres/Limites * Durée/Permanence Khandwalla : Repères comme

Actualité et prolongements. A- Les prolongements. 1- Taylor et Ford. Le 1er argument de Smith qui est l'augmentation de l'habilitée est repris dans le Taylorisme. Le 2éme argument qui est la diminution des pertes de temps correspondant également au Taylorisme. Et le 3éme argument qui est l'invention des machines est aussi repris dans le Taylorisme. Au delà d'un certain seuil on arrive à des effets contre productifs, c'est-à-dire à une baisse de la productivité. On a alors une crise du travail avec

firmes fortement concentrées qui permettront en outre de rendre plus docile la main-d'œuvre. *Une transformation sociale : la présence de forts syndicats a enrayé dans la dépression le processus de restauration du profit et on met en place le taylorisme pour concentrer la main-d'œuvre et ainsi mieux ma maîtriser. *Une transformation technique, culturelle et politique : on se lance dans la deuxième révolution industrielle (automobile, électricité) avec une nouvelle idéologie productiviste (fordisme

Ainsi au début du 20ième siècle, c'est le concept d'Organisation Scientifique du Travail (OST), développé par Taylor, qui est le référentiel en matière d'organisation. La division, la rationalisation et le contrôle du travail sont au cœur du taylorisme. Le taylorisme déshumanise complètement le travail, l'homme est réduit à la notion de " main d'œuvre ". Cependant, dès l'application des méthodes de Taylor, divers problèmes humains sont apparus, déstabilisant les organisations : conflits, grèves ou encore

enquêtes ont confirmé que l'implication est liée au concept d'appropriation. S'approprier un travail, c'est lui donner un sens, pouvoir le négocier et le modifier. Sans appropriation aucune organisation ne peut fonctionner. Attention dans l'absolu, le taylorisme ne conduit pas nécessairement à des résultats moins bons qu'une organisation plus participative. Il n'existe pas un modèle meilleur que les autres susceptible d'être copié. S'il est possible de s'inspirer les organisations qui ont le mieux réussi

Résumé théorie des Organisation : Chapitre 1 : les théorie « traditionnelles » Le Taylorisme et le travail manuel : Fréderic Winslow Taylor Division horizontale du travail défini et imposé Idée Principale : l’organisation scientifique du travail au moyen d’une analyse détaillé des modes et technique de production visant à établir « the one best way » soit la meilleure façon de produire, de rémunérer et d’obtenir le rendement maximum. La double division du travail : verticale et horizontale

classe ouvrière existe et est vécue par tous, à travers le parti communiste, appelé simplement d’ailleurs « le parti », (p 41). Il s’appuie sur les ouvriers d’industrie qui représentent alors un tiers de la population active. Eribon fait état d’un syndicalisme encore influent où le drapeau rouge des communistes est avant tout pour son père « le drapeau des ouvriers » et où ses commentaires devant le journal télévisé en 1965 pendant la campagne présidentielle, puis pendant et après les évènements de mai

juridique…etc.… Qu’est ce qu’une entreprise ? Définitions Petit Robert : « organisation autonome de production de bien ou de services marchands ». Syndicalisme ouvrier : « lieu où se forme elle partage de la valeur ajoutée et de redistribution de la richesse produite, qui ira au pouvoir d’achat des ménages, au financement de la protection sociale, à l’épargne. » Syndicalisme patronal : « entité de création d la richesse pour la Société, pourvoyeur d’emploi, lieu d’innovation et de développement, où souffle l’esprit

dont l’originalité tient à la conjonction de deux phénomènes inédits : une stagnation de la croissance d’une part, une forte inflation d’autre part. On parle de « stagflation ». Quelles sont ces causes ? - un facteur social : la remise en cause du taylorisme et du fordisme social : le système a montré ses limites, les slogans « halte à la croissance » fleurissent. Pour les entrepreneurs les salaires pèsent de plus en plus lourd, plombant le taux de profit. Le financement de l’investissement devient

compétence résulte de la crise du taylorisme et cherche à en pallier les insuffisances. Elle remet en cause l’atomisation du travail, la spécialisation du travail et propose un enrichissement des tâches, une valorisation de l’implication au travail et un développement de la mobilité professionnelle. C’est de ce point de vue une innovation managériale, car elle représente un enjeu économique et social au moment historique précis où le développement technologie rend le taylorisme contreproductif. La compétence