Tchétchènes

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couteau - persécutions ciblée ( opposants, fous, juifs, tsiganes, homosexuels) - déportation (Dachau et Buchenvabot) 1918: 1er camps de concentrat°, guerre civil, dékoulakisation, déportation minorités ethniques ( Polonais, coréen, ukrainien, tchétchènes, tartares de Crimée, éthiopiens) Il y a des camp de rééducation mais ils sont réservés au gens « rééducable », « russifiable » c.à.d. plutôt les paysans. Société embrigadée Loisir organisée , « après le travail » Education contrôlée, formation

la déportation des paysans. Synthèse : les victimes du régime sont nombreuses : - les paysans révoltés (et les victimes de la famine en Ukraine), pour peupler la Sibérie et aménager ces régions reculées. - Les déportés allemands et tchétchènes. - Les anciens compagnons de Staline (dont Boukharine) sont accusés de trahison, de complot et de sabotage lors de trois série de procès de 1936 à 1938 puis ils sont exécutés. - La police politique (NKVD) (1934) arrête, juge et envoie

sont des gens hostiles aux grands ministères issus de l’URSS. Ce parlement a élu Eltsine, lui a donné en novembre 1990 les pleins pouvoirs (c'est-à-dire que le président gouverne par décrets.) Khasboulatov est à la tête du gouvernement, c’est un Tchétchène. La situation en 1992 est favorable, sauf que les véritables alliés de Eltsine sont minoritaires et ne sont pas unis. Eltsine aurait du dissoudre le parlement après le putsch. Fin 1991 : velléités d’autonomie des différentes régions : le

des infrastructures arméniennes, routières, énergétiques, minières. - des échanges culturels avec les musulmans du Moyen Orient, pour le meilleur (…) et pour le pire (soutien des islamistes, en particulier d’Al-Qaïda, aux groupes islamistes tchétchènes, par l’envoi de combattants et d’un soutien financier évalué à 100 millions de dollars). B) À l’échelle régionale, les relations avec la Russie, entre stimulation de l’économie caucasienne et dépendance économique. a) le grand voisin russe

et les Tcherkesses. Les survivants arrivés à Deir ez-Zor sont parqués dans des camps de concentration dans le désert et sont exterminés, par petits groupes, par les tueurs de l’Organisation spéciale rassemblés avant le début de la guerre et les Tchétchènes spécialement recrutés à cet effet. Beaucoup sont attachés ensemble et brûlés vifs. A côté des Arméniens sont également déportés et massacrés les chrétiens assyro-chaldéens et syriaques du sud-est de l'Asie Mineure. Fin 1916, le bilan est celui

Russie, proclame son indépendance. Tolérée au début par Moscou, cette indépendance suscite cependant un premier conflit en 1994-1995 mené par les troupes russes contre les séparatistes tchétchènes qui opposent une farouche résistance. La paix signée en 1996 se révèle fragile. Les attentats perpétrés par les tchétchènes en Russie et même à Moscou déclenchent une nouvelle guerre en 1999-2000 que Moscou justifie comme une lutte contre les terroristes islamiques. Jusqu’en 2009 la Tchétchénie est restée

souffler… Cependant, les propos d’Egor Gaïdar sonnent faux lorsqu’il se réjouit d’avoir permis un éclatement de l’empire soviétique sans violence, grâce à une thérapie politique et économique de choc lorsqu’il était premier ministre. Du conflit tchétchène non réglé (avec une première offensive des forces militaires russes en 1994) jusqu’à la flambée de violence opposant Kirghizes et Ouzbeks en juin 2010, les conséquences de la désintégration de l’URSS, en 1991, ne sont pas encore toutes connues et

hydrocarbures par les Russes, forces militaires). Tchétchénie : Caucase nord, novembre 91 la république tchétchène se proclame souveraine. Pendant 3 ans Moscou tolère l’autonomie de fait puis à l’occasion d’une guerre civile en Tchétchénie la Russie intervient (déc 94). Trois années d’affrontement, sans pouvoir vaincre la résistance tchétchène. Mai 97 accord de paix signé entre le nouveau gouvernement tchétchène et Moscou. Reprise de la guerre été 99 avec violence encore plus grande. Destruction de la capitale

centaines de victimes à Moscou et dans d'autres villes de Russie et sont attribués sans preuves par les instances judiciaires russes à des terroristes tchétchènes du centre islamiste « Kavkaz »8. Ayant été hostile à la première guerre de Tchétchénie, l'opinion russe souhaite les nouvelles opérations militaires pour en finir avec les indépendantistes tchétchènes. Vladimir Poutine, qui bénéficie du soutien du président Eltsine et de l'état-major, ordonne, après ultimatum, la reprise des hostilités en Tchétchénie