Techniques Dévaluation Des Masses Budgetaires

unité, universalité, spécialité et équilibre budgétaire Le principe d’annualité budgétaire I) Le principe de l’annualité budgétaire Le budget est voté pour seulement un an et chaque année. Ce principe de l’annualité budgétaire est appliqué dès 1817 mais consacré seulement par le décret de 1862 sur la comptabilité publique et dans la LO du 1/08/2001. A) Les fondements politiques Les fondements politiques du principe de l’annualité budgétaire sont le fait que :

crises monétaires et financières, un gouvernement d’union nationale mis en œuvre par POINT CARRË pour redresser la situation… retour au franc-Or = revenir à la situation d’avant-guerre. Accompagné d’une dévaluation, retour à la convertibilité pas avec la même parité d’avant-guerre, une dévaluation des 4/5 me. Une entreprise de redressement monétaire, elle a ces effets pervers négatifs : le recule commerciale, moins de compétition à l’exportation et la vente, car les autres pays ont dévalué aussi

par 3 -Politique de création monétaire qui continue après-guerre avec les coûts de reconstruction et pour verser des pensions pour les veuves, les mutilés -Répercussions monétaires = l’impact sur la valeur des monnaies [L’inflation mène à la dévaluation] La livre sterling perd le tiers de sa valeur, le franc français la moitié de sa valeur et le mark perd les trois quarts de sa valeur. -Substitution dollar/livre sterling pendant l’entre-deux guerres qui s’accentuent après WWII. c) Difficultés

des années 1990’ Plusieurs scénarios possibles après 1992-93 1. retour aux changes flottants (choix autonomie politique monétaire + liberté capitaux) : refus : < retour UE à simple ZLE, ↓ perspectives politiques communes ; < légimation dévaluations compétitives. 2. rerèglementation mouvements capitaux (choix autonomie politique monétaire + changes fixes) : Réalisations partielles : contrôle temporaire K par Espagne, Portugal, Irlande. Propositions non suivies : dépôts de garantie sur

accompagnés de progrès économiques variables. C'est 1 un concept quantitatif et unidimensionnel. Elle dépend à la fois de l'augmentation des quantités de facteurs de productions utilisés dans le processus productif mais aussi de l'amélioration de techniques permettant de produire plus de biens et de services avec les mêmes quantités de facteurs de production. La croissance économique, telle qu'elle est calculée, ne mesure que les variations quantitatives d'un agrégat économique, le PIS. Ainsi, l'instauration

contenue depuis 84 nettement en deçà de 5%/an grâce à la volonté politique (rigueur budgétaire, austérité salariale : options caractéristiques du libéralisme). La chute du cours des matières 1ères (et surtout le pétrole) influent favorablement sur les coûts de production et dc les prix. L’importante décote du $ depuis les accords de l’hôtel Plaza à NY en 85 amplifie cet avantage. Enfin, la modernisation des techniques de production entraine un redémarrage des gains de productivité du travail. Désinflation

positives et de surproduction d'externalités négatives, l'intervention de l'Etat est concevable et même admise. Pour le reste, l'Etat doit éviter de perturber les arbitrages et les décisions des entrepreneurs par des interventions monétaires et budgétaires de ce contrôle de l'évolution de la conjoncture. Dans cette perspective de neutralité, F. A. von Hayek va jusqu'à préconiser la privatisation de la banque d'émission de la monnaie. §2 Conception marxiste de l'Etat Dans une approche marxiste

de pourcentage du PIB du service de la dette va accroître l'investissement de 0,75 à 1 point du PIB et la croissance de 2 points de pourcentage. Enfin, ils concluent que si la moitié du service de la dette est annulée sans hausse du déficit budgétaire, la croissance augmentera dans quelques PPTE par 0,5 point de pourcentage par an. En plus, ils confirment cette thèse de la courbe de Laffer de la dette car ils trouvent qu'au-delà de 50% de la dette en valeur nominale sur le PIB et 20-25% en valeur

niveau de vie, notamment dans les pays occidentaux. A. Grande dépression et seconde révolution industrielle De la seconde moitié du 19ème siècle à 1919 : mutation des techniques de production. Passage des techniques caractéristiques de la première révolution industrielle (charbon, fer, machine à vapeur) à de nouvelles techniques propres à la seconde révolution industrielle (acier, électricité, pétrole, moteur à explosion). Mutations aussi dans l'organisation du travail industriel et du capitalisme

sectorielles ..................................................................................................17 II.4 – le plan d’urgence de redressement de la situation des Finances Publiques (Août 1993) 22 SECTION III - la période postérieure à la dévaluation du Franc CFA en 1994.......................24 III.1 - la situation macro-économique ........................................................................................24 III.2 Les réformes structurelles.....................................