Tellement proches

les idées que j'avais de vous et les retournais encore jusqu'à l'obsession puis il y a eu ces trois SIGNES marquants qui m'ont fait bien comprendre que votre vie allait enfin s'illuminer… 1er SIGNE: d'abord votre cas m'est revenu à l'esprit avec tellement d'intensité comme si une force puissante m'obligeait subitement à le reprendre en urgence, 2ème SIGNE: puis il y a eu ce flash éblouissant qui m'a montré une nouvelle vie pour vous, oui, ma chère Bénédicta je vous ai vu clairement dans un vie très

la solitude de la vie urbaine, l’enfant misérable lui, est resté par la force des choses beaucoup plus proche de la nature et du naturel, chose qu’il partage avec notre narrateur. Je n’ai pas été dérangé à aucun moment en lisant le Spleen de Paris. Je n’ai pas eu le sentiment que Baudelaire parle de haut à propos de ses sujets. Au contraire, combien même, j’ai sentis qu’il est très proche d’eux et parfois faisant parti intégrante de leur misère. Entre autre, une chose qui nous vient à l’esprit

Première enfant d’une famille bourgeoise. Deux ans et demi après, un autre bébé vient de naître, une deuxième fille. La maison où elle est née est décrite en quelques petits détails. Ensuite, Simone nous parle de la bonne, Louise, qui était très proche d’elle et qui lui procurait sérénité et protection. Elle nous parle brièvement de la mère dont l’affection couvrait l’auteur et du père qu’elle ne voyait pas souvent. Elle dresse un portrait physique très concis de celui-ci et dit qu’il n’avait pas

pour le petit-déjeuner, il y avait de la tresse. J’engloutis vite fait une tranche et partis pour l’école. Quand j’arrivai sur les lieux tous les nouveaux de Villars étaient déjà là… J’aperçu un beau jeune homme, rigolant avec ses amis. J’espèrai tellement le voir dans ma classe quand j’entrerrai. La sonnerie rententit et tout le monde alla en cours et quand je passa le seuil de la classe, je ne le vis pas, j’étais très déçue. Mon professeur est très gentil, nous fîmes les présentations et quelques

c’est ce qu’il me faut, j’ai tellement hâte. Il ne reste plus qu’à attendre …. En ce moment la socialement je dirai c’est le point mort. Si l’on fait un point sur l’année, ça n’a pas été très facile ; du côté des amis sa peut aller Ophélie, Mathilde, Amélie sont toujours là et heureusement d’ailleurs sans elle tous ces souvenir ne serait pas là, je n’aurais sûrement pas avancé comme sa non plus. J’espère ne jamais les perdre ! Ces derniers temps je suis plus proche de Mathilde je ne sais pas on

Le suicide peut être un acte de lâcheté. Mais quand une personne qui décide de mourir, cette personne qui souffre tellement chaque jour, à un tel point que l'on ne peut imaginer décide de commettre cet acte, on ne peut en aucun cas dire qu'elle était lâche. Parce que cette même personne, cette fille, qu'on peut voir chaque jour, chaque moment sans lui prêter attention. On peut la regarder dans les yeux et en voir les larmes qui coulent discrètement sur son visage, ces larmes qui crient au secours

dicte de ne pas respecter cette règle qui me semble aussi stupide qu’injuste ! Je serais responsable de nombreux chagrins … Mon amour, Hémon ne me pardonnera sûrement pas. Pourra-t-il recommencer à aimer ? J’ai tellement mal de le savoir aimer une autre femme que moi. Je l’aime tellement. Comment oserais-je lui faire le moindre mal ? La vie n’est qu’une succession de choix, de devoirs ; or choisir c’est renoncer, renoncerais-je au bonheur ou à ma conscience… Si je ne fais pas ce qu’il faut pour

Grâce au nouveau temps de parcours entre Bruxelles et Londres, 1h51, Londres devient proche, très proche, extrêmement proche... ou comme dit très simplement : “au coin de la rue”. C’est le point de départ que l’agence de publicité TBWA\Group et Eurostar ont choisi comme base pour développer cette campagne historique. Grâce à cette expression, Eurostar s’approprie un slogan fort, simple, clair et en plus tellement juste qu’il est facilement mémorisable par un très large public. Tout est résumé dans

retrouvait enseveli sous les décombres Elle est rassurée quand elle se rend compte qu'elle n'est pas seule et qu'elle est toujours à l'hopital Elle cherche à se souvenir de ce qu'il s'est passé et pourquoi elle est là son mal de tête cherche des proches et des soignants elle est dans l'incompréhension 2/Des picotements au bout des doigts 13 juillet 2009 jour de son hospitalisation pour une migraine portrait d'une femme active, dynamique, au caractère optimiste, plutôt en bonne santé et qui

31 décembre 2007, le réveillon en famille, ce que j’attendais depuis tellement longtemps ! Ce merveilleux moment avec tout ses proches, famille, amis… tellement conviviale ce jour ! Joie, rires, pleurs, nostalgie… La fin d’une année qui a été plutôt longues, et ennuyante pour une nouvelle année qui sera, peut être, qui sait ? Magnifique, voir extraordinaire ! L’odeur délicieuse de cette dinde qui était entrain de se laisser dorer dans le four depuis maintenant quelques heures, ces marrons aussi