Tellement proches

ressemble à l'eau .En effet quand l'eau de la mer et poussée par le vent , des rouleaux se forme ce qui crée l'ondulation.Comme sa phrase est prononcé , on pense réellement que le plancher s'ondule mais cela est dû à l'imagination. Son imagination est tellement forte que le narrateur croît réellement que le plancher s'ondule. b. La phrase dans le deuxième paragraphe est « Sous le plancher l'eau molle ondulait »L11 .Le changement est que dans la première phrase le plancher est le sujet de « ondulait » alors

est reflété par un champ lexical de souffrance : deséspoir (v.3), malheur (v.18) et pleurs (v.20), ses phrases sont courtes (v.6,9) et elle le repousse pqr la violence de propos : non (v.9). Il y a même une image de mort (noie (v.20) car elle est tellement amoureuse (v.22). Le crime c’est qu ‘elle est l’a trop aimé et elle croit avoir perdu l’amour de Titus. Bérénice est une femme blessée au point qu’elle ne veut plus voir Titus (v.4) et en même temps l’aime mais le repousse. Elle montre la force

A ce moment là ma femme de me regarda avec un air de pitié elle semblait perdue…Je suis allé faire mes affaire en 5 minutes sans rien dire. J’embrassais ensuite mes 2 filles, Camille et Léonie, et ma femme pour la dernière fois, c’était un bisou tellement intense et puissant, on ne pouvait plus se lâcher mais l’officier me rappela et je m’en allai comme un voleur dans ce camion kaki. Ma femme me manquait déjà mais j’essayais de faire abstraction en me disant je me devais me sauver l’honneur de ma

Biograpie de Jean-Philippe Moiseau Jean-Philippe Moiseau  est né en 1962, à Pétionville, proche banlieue de  Port-au-Prince  (Haïti), sous  le signe du Verseau.
Si, de son signe zodiacal, lui vient sa grande curiosité, qualité qu’il cultive avec assiduité, un contact facile et le don de la complicité et de la communication,  c’est de ses parents qu’il tient son caractère droit et intègre,  son souci de la sincérité,  sa sensibilité,  et son horreur de la médiocrité  et des faux-semblants.
   Tout

instant maman, je ne pouvais même pas m'imaginer ce qui m'attendait. Quelque chose d'imprévisible.. Maintenant je suis ici, gisant sur le sol et j'entends les policiers parler. Le garçon qui était dans cette voiture est saoul.. Maman, les sons sont tellement lointains ..! Mon sang est partout et j'essaie de toutes mes forces de me retenir pour ne pas pleurer. Je peux entendre les médecins :«La fille ne va pas tenir le coup». Je suis sûre maman que le garçon qui m'a accidentée n'a pas voulu me blesser

c’est à la dernière question « qu’est-ce qui se passe ? il y a une femme dans ta vie ? » Qu’il va la répondre « Oui, Monique, il y a une femme dans ma vie. » à ce moment là que se commence la crise entre le couple. Au premier temps Monique est tellement choquée, après la conversation qu’elle eu avec son amie Isabelle et les conseils qui la donnée, Monique essaye d’être plus compréhensive de la situation mais en vain, la tâche devient plus difficile pour elle, surtout quand Maurice va accorder plus

la perfection. Et cette image erronée nous empêche de la reconnaître ! Beaucoup diront naïvement que la perfection se reconnaît au moindre coup d'oeil, car la perfection crève les yeux, c'est l'évidence même, la perfection serait tellement différente du reste, tellement remarquable, qu'elle serait immédiatement reconnue comme telle, à l'unanimité. Mais de telles affirmations sont autant de préjugés sans fondement. Pour avoir une réelle idée de ce qu'est la perfection, il faut tout d'abord savoir

mort ou celle d'Aurélia. Le même soir, il fit un rêve : il erre dans un vaste édifice avec plusieurs salles, il passe d'une salle à l'autre, se perd, vit un homme ou une femme voltigeant avec difficulté, cela ressemble à un oiseau coloré. Il est tellement surpris qu'il cri et c'est cela qui le réveille. Le lendemain, il se prépare à «sa mort» en faisant ses adieux à ses amis. L'un de ses amis le raccompagna chez lui, mais de Nerval ne désire pas rentrer et erre dans les rue en suivant l'étoile la

des yeux noisettes et des lèvres fines. J'étais mince, petite avec beaucoup de souplesse. Au quotidien, mon courage, ma générosité, mon optimisme m'aidaient à faire face aux difficultés de la vie. Cependant ma sensibilité demeurait toujours. Ma plus proche amie, Émilie, une fille dynamique et sympathique, aux cheveux longs, noirs et lisses m'accompagnait dans cette aventure. Mon meilleur ami, Valentin, grand, mince, les cheveux châtains, clairs et frisés se montrait toujours réservé mais très efficace

se réjouir ou se méfier de l'émergence récente des notions de sollicitudes et de solidarité familiale dans l'arène politique ? Qu'un gouvernement décide de reconnaitre l'activité jusqu'alors occultée de millions de concitoyens au bénéfice de leur proche dépendant mérite a priori d'être salué. Qu'un grand parti d'opposition se saisisse du concept anglo-saxon de care pour en faire l'un des piliers de son projet de rénovation sociale peut a fortiori intriguer. Pourquoi cet intérêt soudain pour une solidarité