Temoignage Brut

financier, Secteur privé, et Infrastructure, MNA, Banque mondiale Office de la Formation Professionnelle et de la Promotion du Travail Organisation mondiale du commerce Project Enterprise Partnership – Middle-East and North Africa Produit intérieur brut Petite et moyenne entreprise Programme des Nations Unies pour le Développement Productivité totale des facteurs Société Financière Internationale Taxe à la valeur ajoutée Union Européenne United States Agency for International Development ÉVALUATION

relèvent de la réduction de la pauvreté (accès à la terre, redistribution des revenus, développement local…). Données générales sur les productions vivrières de base Le secteur primaire a contribué durant la période 1990-95 pour 20,8% au produit intérieur brut (PIB), dont 10,6% pour l'agriculture, 7,6% pour l'élevage, 2,1% pour la pêche et 0,5% pour la forêt. La part des secteurs secondaire et tertiaire dans le PIB était de l'ordre de 18,8% et 60,4% respectivement, faisant apparaître que le secteur tertiaire

nations unies pour le développement (PNUD) devaient compléter dans ce sens l’aide traditionnelle bilatérale Cependant, plusieurs facteurs suggèrent aujourd’hui que l’aide au développement est en crise. L’objectif de 0.7% du produit intérieur brut (PIB) fixé par l’Organisation des nations unies (ONU) en 1970 est loin d’être atteint par la grande majorité des contributeurs. Aussi, la récente montée en force des flux de capitaux privés à destination de certains pays du tiers monde, peut-elle

Etats-Unis accentua la récession économique du pays et l'entraîna un peu plus dans une phase défavorable de sa croissance. Cette dernière peut se définir comme une augmentation soutenue et durable d'un indicateur de production, comme le produit intérieur brut (PIB). Les Etats-Unis sont entrés dans un cycle récessionniste : le choc psychologique de la population a étiolé sa consommation et les entrepreneurs, voyant la demande s'affaiblir et devenir atone, ont ralenti leurs investissements. Cette récession

Économie générale Le développement implique quelque chose de plus que la croissance économique définie généralement comme l’évolution du Produit Intérieur Brut (PIB) d’une année sur l’autre. Il pourrait se traduire comme la croissance plus la transformation et se manifeste notamment par l’amélioration des performances des facteurs de production, par la densification et la modernisation du réseau d’infrastructures, par le développement des institutions et par le changement des attitudes et des

(ministère de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, SOeS). Dossier - Les comptes nationaux passent en base 2005 -1- Trois grands facteurs de révision, plus un changement de nomenclature En 2008, le produit intérieur brut (PIB) en valeur s’élève à 1 933,3 Md€ en base 2005. Il est revu de 15,3 Md€ à la baisse (- 0,8 %) par rapport à la base 2000 (figure 1). En France, il est estimé à partir de la somme des valeurs ajoutées dégagées par chaque secteur institutionnel.

Sanae KORAICHI 6 I. Le secteur touristique au Maroc : 1. Présentation du secteur touristique au Maroc : Le tourisme constitue une des activités majeures de l'économie marocaine. En effet, il représente environ 8% du Produit Intérieur Brut (PIB) et fournit plus de 320'000 emplois. En 2009, le nombre d'arrivées internationales de touristes s'est élevé à 8.34 millions: une augmentation de 1,2% par rapport à l'année précédente. Le Maroc s'est donc fixé des perspectives encore plus ambitieuses

CaraCtéristiques de La CroissanCe éConomique La croissance économique ●●La croissance économique est l’augmentation régulière et soutenue de la production de biens et de services . C’est la richesse d’un État qui est mesurée grâce au PIB (produit intérieur brut) . Elle repose sur plusieurs facteurs qui se combinent . © Bordas L’innovation technologique ●●L’innovation est le moteur de la seconde industrialisation qui débute à partir des années 1850 . Ainsi, les progrès techniques dans la sidérurgie

accrues de protection sociale. Elles résultent à la fois d'une croissance ralentie et de •  l'évolution démographique (« l'encours de cette dette a été multiplié par 18 entre 1978 et 2008 •  ; sur la même période, sa part dans le produit intérieur brut (PIB) est passée de 21,1 % à 67,4 •  % » (document 1 par exemple). •  III Politique de réduction des déficits publics et effets escomptés •  La politique de réduction des déficits publics correspond à une politique de rigueur (ou politique •  d'austérité)

ajoutée : Valeur ajoutée = Marge commerciale + Production de l’exercice – consommations en provenance des tiers (« 60 » sauf achat et variation stock marchandises + « 61 » + « 62 ») Elle représente la richesse créée par l’entreprise. d. L’excédent Brut d’Exploitation (EBE) EBE = VA + subventions d’exploitations (« 74 ») – Impôts et taxes (« 63 ») – charges de perso (« 64 ») Il s’agit d’un résultat partiel obtenu grâce à la gestion habituelle de l’entreprise avant intégration des dotations aux