Tempête

la surface des forêts françaises, elle atteint actuelle­ ment 16,1 millions d’hectares. Cette surface a fortement aug­ menté depuis la seconde moi­ tié du XIXe siècle. Sur les trente dernières années, la progres­ sion est d’environ 20 %. Depuis la tempête Klaus de janvier 2009, les pouvoirs pu­ blics ont compris la nécessité de valoriser et de redévelopper le patrimoine forestier fran­ çais. La loi de modernisation de l’agriculture du 27 juillet dernier apporte au secteur fo­ restier un dispositif

depuis un bon moment. Mais de toute façon, ce n' était pas comme si il se passait quelque chose d' intéressant dans sa vie. Tout était calme et silencieux, de même que les jeunes femmes. Certains appellent cela le calme avant la tempête. Mais ce n' était pas une tempête : Han-na sentit le sol trembler, puis tout s' effondra. Elle ne put retenir ses cris, ni ne pas entendre ceux de Alice. Que s' était-il passé ? Comment ? Pourquoi ?, furent les dernières questions qu'elle de posa avant de sombrer

qui se trouve au fond du tableau et qu'on devine être un bateau. Un personnage montre du doigt le bateau, d'autres agitent des draps. La composition : Sur la partie inférieure de la ligne d'horizon marquée par la mer, l'eau est agitée , il y a une tempête ( visible aussi par le vent dans a voile et les nuages noirs). Dans la partie supérieure à droite, on peut distinguer au loin que la mer semble plus calme. Les formes : Les personnages de l'arrière plan forment une pyramide. Ceux-ci s'opposent aux

espace hostile ● L’hostilité de la mer se mesure d’abord par rapport à la terre. En effet, cette dernière offre aux hommes une stabilité que la mer ne leur procure pas. Elle est agitée par les vents, parcourue de remous qui deviennent parfois des tempêtes, nous y reviendrons. Par ailleurs, la terre est fertile et productrice de produits que les hommes utilisent pour se nourrir et s’abreuver : le blé que les hommes transforment en pain, la vigne que les hommes transforment en vin. Telle se présente

Le Songe d'une nuit d'été peut être regardé comme le pendant de la Tempête. C'est encore ici une pièce de féerie, où l'imagination semble avoir été le seul guide de Shakespeare. Aussi, pour la juger, faut-il ne pas oublier son titre et se livrer au caprice du poëte, qui a dû sentir lui-même tout ce qu'aurait de choquant pour un esprit méthodique et froid le mélange bizarre de la mythologie ancienne et de la mythologie moderne, le transport rapide du spectateur d'un monde réel dans un monde fantastique

la liberte Strophes 3 a 5 portent jusqu'à l’ivresse cette joie d’etre libre « joie intense, euphorique » Cette violence s’exprime par la rencontre violente avec la mer * « tohus-bohus » plus triomphantsoxymore v.12 * « tempete benit mes eveils maritimes » ; tempete sentit comme une benediction * « il est perdu, il ne voit plus les phares. Il est aussi leger qu’un bouchon, plus il se perd, plus il se sent libre » * Le Gouvernail part, on a l’impression que le bateau s’en gouffre,

il est aussi attaché à lui. C’est son diakka. En l’absence du père, Saviélitch est un intermédiaire pour exercer l’autorité sans pour autant avoir l’autorité du père. Chapitre 2 → La tempête de neige : ils se perdent. On y trouve l’image du chemin vers l’âge adulte où le personnage en perd le fil. La tempête de neige créée un obstacle, un retard, voire même parfois un échec (pas le cas dans ce récit). Le cocher veut s’arrêter et Saviélitch aussi mais le désir déraisonnable de Griniov de montrer

marqués à leur tour par le rejet du vers 11 « je courus ». Le bateau se réjouit de ce nouveau sentiment, de cette sensation de liberté, il qualifie son départ de «tohu-bohus triomphants ». Le 4 ème quatrain approuve le nouveau départ du bateau. La tempête joue le rôle de bénédiction océanique, de baptême marin, elle fait renaître l’être à une vie délivrée et euphorique, cette nouvelle vie n’inspire à celui-ci aucun regret et marque à son tour l’âme mouvante du poème. II / L’âme mouvante du poème

= l’orage qui gronde et qui accompagne la tempête. Métaphore filée, il insiste sur les ailes de l’oiseau, montre le talent et l’imagination du poète. Basculement : « tempête » devient « le sol » ; « nuées » deviennent les « huées » avec la paronomase (proximité sonore). Le rire de l’albatros devient le rire des matelots. Les derniers vers rejouent symboliquement tout le poème en raccourcis. Le poète et l’albatros hantent la tempête, mot poète et tempête riment entre eux = révélation baudelairienne

qui risquent leur vie à chaque seconde. On lit aussi le récit des aviateurs en vol. Un jour, lorsque les services radio annoncent que partout, le ciel est beau et dégagé, Julien, jeune aviateur marié par en vol de nuit. Mais il rencontre une tempête. Il ne peut ni la contourner, ni la traverser, ni atterrir puisqu’il se retrouve dérivé au-dessus de la mer. Au sol, on suit les efforts de ses supérieurs pour l’aider ainsi que la tristesse de sa femme qui est folle d’inquiétude. Tous les moyen possible