Temple de Mars vengeur

du forum romain (ce dernier était fort fréquenté et surpeuplé) et dans le but de célébrer l’immense puissance de Jules César. Différents monuments s’y trouvaient : Une statue équestre de Jules César, se trouvant au centre de la place du forum. Le temple de Vénus Genitrix, l’élément principal du forum, a été érigé car l’empereur se croyait descendant de la célèbre déesse. La Basilique Argentaria, n’étant pas encore présente à l’époque de César, a été achevée sous Trajan, en 113 après JC. 2. Le forum

Le Panthéon Présentation du bâtiment. Il s'agit d'un temple dédié à l'ensemble des divinités romaines. Le Panthéon fut construit entre l'an 120 et 124 de notre ère (ou 118-128), sous l'empereur Hadrien. Le temple a été édifié sur les vestiges d'un temple plus ancien, datant d'entre 27 avant notre ère et 14 de notre ère, sous l'empereur Auguste. Etat de conservation remarquable qui s’expliquer par le fait qu’il a été transformé en église par le pape Boniface IV en 609. Aujourd’hui étouffé

mère avant nous. Refrain (seulement ici)La République vous appellesachez vaincre ou sachez périrun Français doit vivre pour ellePour elle un Français doit mourir Deux vieillardsQue le fer paternel arme la main des braves ;Songez à nous au champ de Mars ;Consacrez dans le sang des rois et des esclavesLe fer béni par vos vieillards ;Et, rapportant sous la chaumièreDes blessures et des vertus,Venez fermer notre paupièreQuand les tyrans ne seront plus.(Refrain) Un enfantDe Barra, de Viala le sort nous

trois colonies romaines ne participent pas au culte). Il y a un culte à l'échelon de la cité avec un prêtre d'Auguste, appelé flamine, c'est un notable local élu parmi les membres du conseil municipal, les villes les plus riches peuvent construire un temple (Augusteum), le culte est rendu par les autorités locales lors des fêtes de l'empire. Il y a aussi un culte provincial, l'aspect religieux se double d'un aspect politique. * À la fin du Triumvirat, Auguste est considéré comme un dieu en Egypte

appartenait à une famille de l'ordre équestre importante mais peu connue ; il fut gouverneur de la province de Macédoine jusqu'à sa mort en 59 av. J.-C. Sa mère, Atia, est la nièce de Jules César. Après l'assassinat de Jules César aux ides de mars (le 15 mars) - 44, alors qu'il est encore à Apollonie, il décide de rentrer à Rome pour récupérer son héritage. En effet, César, sans descendance légitime, a adopté Auguste dans son testament. En débarquant à Brindisi, le jeune homme alors âgé de 19 ans

a été désorganisée avec des temples détruits, des cultes qui ne sont plus assurés et des prêtrises abandonnées. Pour Auguste, il est ainsi nécessaire de recréer la pax deorum . Celui-ci, remet donc d'anciens cultes au gout du jour, fait restaurer de nombreux temples (comme celui de Jupiter sur le Capitole en 9 av.J-C.), en fait construire de nouveaux tel celui d'Apollon consacré dès 28 av.J-C. sur le palatin ou celui de Mars Ultor ( « vengeur » de la mort de César ) inaugurée

surtout pour les divinités solaires (Zeus, Athéna…) avec lesquels il est naturellement en lutte. Bien que faisant partie des douze grands dieux de l’Olympe (ὁ Ὄλυμπος, ου), Arès n’a jamais tenu en Grèce, dans le culte ni dans les croyances, le rang que Mars occupe dans le Panthéon romain ; il n’est le dieu protecteur d’aucune race, d’aucune cité ; et, s’il joue dans l’Iliade (ἡ Ἰλιάς, άδος), poème de guerre, le rôle que lui assigne naturellement sa qualité de dieu belliqueux (πολεμοχαρής), il semble

adultère. Quand H est loin et qu’elle pense moins à lui, elle retrouve son innocence. Un amour qui devient une obsession  v.18 « le voyant sans cesse » ; v.22 « Mes yeux le retrouvaient dans les traits de son père »  P voit H même dans les temples consacrés aux dieux  P voit H partout, elle est obsédée par son l’objet de son amour, cette vision omniprésente l’empêche de combattre ce sentiment criminel. Elle retrouve chez son mari, la dernière personne au monde qui devrait connaître son secret

Même genre d’affaire en 63-62, appuyé par César) et des volques (peuple installés d’Orange à Toulouse). « souillent leurs autels et leurs temples de victimes humaines » (l. 16-17) ; « coutume monstrueuse et barbare d’immoler des hommes » (l. 19-20) : Lucain Pharphale mentionnera des sacrifices humains pour Teutatès (Mercure ?) par la noyade, pour Esus (Mars ?) par la pendaison et l’écartèlement et pour Tanaris (Jupiter ?) l’immolation dans un mannequin en bois (comme le mentionnera plus tard César)

présente un temple en ruine, duquel s'échappe Enée, son père et son fils ou encore cette femme qui sauve son bébé des flammes. Ce temple rappellent la colonnade corinthienne du Temple de Mars le Vengeur, temple dont les travaux prirent fin en -2. Ce temple était composé de huit colonnes corinthiennes, il n'en subsiste que trois colonnes latérales en marbre comme dans l'oeuvre de Raphaël. Le coté droit de l'oeuvre présente des femmes qui essaient d'éteindre les flammes dans un temple qui s'apparenterait