Temps libre

Le 14 Juin 2014 DROITS D'AUTEURS Licence Ce document est sous licence “GNU Free documentation 1.3”, hormis les dessins, ceci n'étant pas la production de Nâga. L'objet de cette Licence est de rendre tout manuel, livre ou autre document écrit « libre » au sens de la liberté d'utilisation, à savoir : assurer à chacun la liberté effective de le copier ou de le redistribuer, avec ou sans modifications, commercialement ou non. En outre, cette Licence garantit à l'auteur et à l'éditeur la reconnaissance

justifiant le “sentiment vif et interne” (Descartes) que nous avons d’être libre et qui se trouve en tout homme. Pour définir la liberté, il suffit d’en donner une description adéquate : - Au niveau biologique, la liberté s’identifie avec un organisme en bonne santé. Le malade, au contraire, se sent prisonnier de son propre corps - Au niveau plus élevé, la liberté s’identifie avec la spontanéité des tendances. L’homme est libre quand il peut réaliser ses désirs (Epicure). Mais certaines tendances sont

roman nous propose un avant goût d'une oeuvre révolutionnaire. On peut alors se demander en quoi l'auteur renouvelle en profondeur les codes du genre romanesque dès l'incipit de Jacques le Fataliste et son maître. Nous étudierons dans un premier temps la forme originale que prend cet incipit, puis nous nous pencherons sur la critique du fatalisme, déjà omniprésente avec la mise en place d'un débat sur la liberté de l'individu. C'est en reniant tous les codes de l'incipit romanesque que Diderot

gêner pour affirmer la liberté de l’homme. B- QUE LA LIBERTE N’EST PAS COMPATIBLE AVEC LE DETERMINISME NATUREL : LE LIBRE-ARBITRE 1) Définition de la liberté comme libre-arbitre En effet, qu’est-ce que la liberté ? Nous pensons tous qu’être libre, c’est avoir le choix entre plusieurs contraires ou possibilités, et que ce que j’ai fait ou fais maintenant, en vertu de ce (libre) choix, aurait pu être différent. On a donc plusieurs idées : -Je n’ai pas été contraint, poussé, déterminé,

phénomènes naturels ou les comportements animaux, les effets nécessaires de causes déterminantes, je n’en serais alors point l’auteur libre et responsable et le jugement moral ne serait plus de mise. La morale suppose donc chez l’homme un « pouvoir de se déterminer soi-même sans être déterminé par rien » (Marcel Conche) qu’on appelle traditionnellement libre arbitre. Mais ce libre arbitre existe-t-il vraiment ? L’homme dispose-t-il de ce pouvoir absolument indéterminé de se déterminer soi-même ? A tout ce

l’activité économique de tout pays. Le commerce extérieur s’est amplifié après la deuxième guerre mondiale dans de nombreux pays occidentaux sous l’influence de nouvelles politiques économiques favorisant ainsi le libre échange et l’économie ouverte. Ces nouvelles politiques ont été bloquées de temps à autre par des faits externes qui ont perturbé l’économie en particulier la balance commerciale étant donnée que celle-ci représente la différence entre les exportations et importations. Nous pensons notamment

les principaux organismes qui régissent son commerce extérieur. Je ne parlerais pas des fondements des échanges internationaux et de ses théories que sont « le libre échange et le protectionnisme » (théorie classique sur le libre échange: d’Adam SMITH et la théorie des avantages compaatifs de David RICARDO). Les mots clés à connaître : libre-échange, division internationale du travail, avantages absolus, avantages comparatifs, protectionnisme, barrières tarifaires et non tarifaires, PVD, balance des

départ que le sentiment commun et immédiat éprouvé par tout homme est de se sentir libre : en effet, chaque homme peut faire l’expérience, du moins intérieure, d’une liberté de penser et d’agir, indépendamment de toute contrainte extérieure. Cette conviction intérieure est donc profondément ancrée en chacun de nous. Cependant, la liberté ne serait-elle pas une illusion ? Ou pour le dire autrement, le fait de se sentir libre n’est-il pas susceptible de ne renvoyer qu’à une croyance illusoire ? Le sentiment

épreuves avec sérénité. Pour les Grecques, le sage est un savant qui possède un savoir énorme et un comportement bien – heureux ce qui le différencie d'un ignorant. Par ailleurs, le salut et le savoir sont des notions liées. La philosophie est en même temps une façon de vivre et un genre de connaissance. D'après Pythagore, la philosophie n'est pas la sagesse mais l'amour de la sagesse. On ne peut pas être un sage, mais seulement un ami de la sagesse. La philosophie n'est pas une possession mais une

naturellement libre ? On a tendance à penser que le monde animal est bien plus « libre » que le monde Humain ; absence de contrainte sociale, liberté total de mouvement, indépendance etcetera. Cependant à y regarder de plus prêt on se rend vite compte que cette « liberté » Est bien illusoire : en effet les animaux sont absolument esclave de leurs instincts. Cela est lié à leur absence de conscience, de libre arbitre. L’homme quand à lui est le seul être vivant à disposer du libre arbitre. La