Temps présent

ces deux temps, le passé et l'avenir, sont ils, puisque le passé n'est plus et que l'avenir n'est pas encore ? Quant au présent, s'il était toujours présent, s'il n'allait pas rejoindre le passé, il ne serait pas du temps, il serait l'éternité. Si bien que ce qui nous autorise à affirmer que le temps est, c'est qu'il tend a n'être plus." Augustin Augustin, par ces quelques mots, montre la difficulté que l'on peut éprouver lorsqu'il s'agit de philosopher autour de la question du temps. Le passé

d'énoncés qui n'emploient pas les mêmes mots. Les énoncés rattachés à la situation d'énonciation > Je n'ai pas eu le temps de t'écrire hier car je suis très occupée en ce moment. - Ce type d'énoncé, lié au moment où l'on exprime et à la personne qui l'énonce (le locuteur), ne se comprend que si l'on connaît la situation dans laquelle il a été prononcé. - Le temps dominant est le présent : le moment où le locuteur s'exprime et celui des faits dont il parle sont les mêmes. - Ce type d'énoncé se trouve

et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : " Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! " Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux. " Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : Sois plus lente ;

qui m’est chère 20 Laissa tomber ces mots : 21« Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices ! 22Suspendez votre cours : 23Laissez-nous savourer les rapides délices 24Des plus beaux de nos jours ! 25« Assez de malheureux ici-bas vous implorent, 26Coulez, coulez pour eux ; 27Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; 28Oubliez les heureux. 29« Mais je demande en vain quelques moments encore, 30 Le temps m’échappe et fuit ; 31Je dis à cette nuit : Sois plus lente

conjurer ou annuler les effets du temps dont l'irréversibilité même suscite l'angoisse d'une fin plus ou moins proche. Et peut-être est-ce par cette peur du temps qui passe et qui s'écoule inexorablement jusqu'à l'idée de la mort, que le mythe ou même la religion cherchent à réfuter cette irréversibilité à travers divers termes tels que, la résurrection ou bien celui « d'éternité ». A l'instar d'un temps hors du temps : un au-delà. Mais rien n'est éternel, sauf le temps qui est à lui-même son propre

Les valeurs des temps du passé Donner la valeur d'une forme verbale, c'est expliquer pourquoi on emploie ce temps. I) Les valeurs de l'imparfait L'imparfait désigne une action qui est en train de se dérouler dans le passé, dont on ne peut indiquer le début ni la fin. Ses valeurs sont : 1) Il désigne une action de second plan dans le récit : Il s'oppose alors au passé simple. 2) L'imparfait de description 3) L'imparfait itératif 4) L'imparfait d'opinion/commentaire 5) L'imparfait

parties ........................................ p. 6 4. Analyses d’un passage ……………....……………….....…….….… p. 7 * La scène du meurtre ………………………………………….… p. 7 * Simultanéité et structure de la narration ....…………….………. p. 8 * Un temps peu narratif ………………..………………………… p. 10 * L’imparfait ……..……….……………………………………… p. 11 * Valeur d’accompli et valeur d’antériorité ………………..…….. p. 13 * Flou temporel, passivité, absurde …………………...………….. p. 15 5. Conclusion …........

A) L’expression du temps qui passe Traitement du temps particulier : Est-ce qu’il se sent mort depuis sa rupture ? « m’en souvienne » « et nos amours » = COI temps = nostalgie Paradoxe : temps qui s’écoule/ temps qui s’arrête « je demeure » = aucune solution pour s’échapper →à part, seul, monde # lui →Le temps s’est arrêter ou torture par le temps qui s’écoule ? Present : récit des faits et dans la 2e strophe : souvenir, evoque le passé Imparfait : durée, toujours Present du subjonctif : désir

et en plus, de Lamartine considérait la nature comme le réfuge de l’homme. Dans son poème « Le lac», le temps et la nature sont les thèmes centraux. L’auteur exprime ses pensées et ses faiblesses face à une vielle passion brisée et ces deux éléments sont d’abord misent en évidence par son envie de dénoncer la puissance du temps, puis par le fait qu’il supplie à la nature, elle, qui «le temps épargne», de concerver les souvenir de sa passion brisée. Une peine d’amour incite le poète à dénoncer

seule présence de l’homme au moment où il pense; et une conscience réfléchie, qui dépasse le simple présent. Cette seconde conscience est le propre de l’homme. Pourquoi, selon Bergson, la conscience de soi est-elle intimement liée à la conscience du temps, aussi bien passé, présent, que futur ? Nous suivrons l’argumentation de l’auteur pour expliquer ce texte, en remarquant qu’elle se fait en deux temps : tout d’abord nous comprendrons pourquoi la conscience est mémoire, puis pourquoi elle est également